Panurge

beauté, c’est de dire que celle-ci est subjective. C’est quelque chose de personnelle comme le dit très bien ce célèbre proverbe : « Les goûts et les couleurs, ca ne se discute pas ». Il ne faut certainement pas se comporter comme des « moutons de Panurge » sinon, les longues conversations autour d'un verre seraient bien tristes. Certaine personne vont trouver cette chose très belle alors que d’autre vont trouver cette même chose horriblement laid. Pour en revenir à la beauté des œuvres d’art, celle-ci

l'histoire illustrent la nécessitée de désobéir pour obtenir la liberté. Elles servent d'exemples pour les indisciplinés du futur. Il y a des cas où l'indiscipline était essentiel voir même vitale, mais où rien n'a été réalisé. Dans « les moutons de Panurge » du Quart livre de Rabelais, on observe le comportement absurde de l'homme qui suit aveuglément les autres quitte à mourir. Or pour ma part dans cette situation, il aurait été primordiale pour eux de réagir et de se révolté. C'est à peu près le même

superficialité de notre monde actuel, mais aussi des sujets plus « sérieux » tel que le fait que la plupart des gens ne cherchent pas à faire leur propre opinion par eux-mêmes se contentant de suivre un leader on peut donc les comparer à des « moutons de Panurge ». L’auteur aborde également des problèmes écologiques comme par exemple lorsque Tally (l’héroïne) se retrouve dans une monoculture d’orchidée tigre blanche : en effet une Rouillée (c'est-à-dire une humaine de notre époque) avait modifié ses gènes

époque où tout semble aller à vau-l’eau, où quelque soit l’endroit vers lequel on se tourne, on peut légitimement, se poser la question de savoir vers quel destin tous nos leaders nous entraînent ? Si nous ne sommes pas tous devenus des moutons de panurge aux mains de manipulateurs en tous genres ? Ne serait-il pas opportun de remettre d’actualité, de réinventer «Le Contrat Social» ? Un pensum qui allait bien changer, ou tout au moins tenter de le faire, la face du monde. Particulièrement en établissant

dysfonctionnement des économies capitalistes. Lorsque l'information n'existe pas, chacun épie l'autre en espérant que cet autre bénéficie d'une meilleure information. Ainsi naissent les comportements mimétiques qui peuvent déboucher, à la façon des moutons de Panurge, sur des mouvements suicidaires. Sans aller jusque-là, voici un exemple proposé par T.Scitovsky, un économiste américain d'orientation keynésienne, pour illustrer les conséquences négatives d'une absence de coordination. Une industrie sidérurgique

que ce monde décrit par Alcofribas concorde tout à fait avec le reflet de l’intériorité de Pantagruel qui a déjà eu l’occasion de montrer ses aspects humanistes (entre autre il suit l’avis de son père exposé dans la lettre et ce qui l’attire chez Panurge est qu’il soit polyglotte et qu’il n’en sache pas l’origine de prime abord). Si Voltaire écrira plus tard qu’ « il faut cultiver son jardin », le jardin, qui est la première chose que voit de près le narrateur, est avant tout symbole de culture, de

Jeannot » ou les patronymes « Grosjean » signifiaient dans l'ancienne langue « cocu ». La Fontaine fait référence , sans doute, à la célèbre harangue de Janotus de Braguemardo dans « Gargantua ». Mais aussi à Jehan Jeudi, qui habite la braguette de Panurge dans le roman « Pantagruel » (chapitre XXI) : il désigne le pénis de ce héros de la chronique pantagruélienne obsédé par le macrogénitomorphisme des Lorrains. Enfin, dans le « Quart Livre » de François Rabelais, il est bien question d'un certain «

traditionnels qui font que chaque animal a une fonction et une symbolique précise dans la fable. Ainsi dans les autres fables, la chèvre est toujours un animal stupide et borné. De même le mouton, qui suit sans rien dire, rappelle les moutons de Panurge (d’où la notation ironique  « Il est sage »). Le cochon se distingue des autres par son titre de Dom Pourceau (deux occurrences) qui l’assimile au personnage du moine gros et gras des fabliaux médiévaux ou de Rabelais. – Comme dans bien des fables

qui donne au contraire tous les droits au préteur, laissant la porte ouverte aux pires abus. le commentaire de La Fleche résume les dangers de cette pratique : « je vous vois, monsieur, ne vous en déplaise, dans le grand chemin justement qui tenait panurge pour se ruiner, prenant argent d’avance, achetant cher, vendant a bon marché, et mangeant son blé en herbe. » Le vieillard amoureux : un motif comique L’acte II introduit un nouveau motif dont la valeur est essentiellement comique. Dans son rôle

est différent. Je la comparerais aussi avec l’homme Aryen qui est une peinture de propagande lors de la seconde guerre mondiale, qui montre en fait l’homme parfait, tout le monde doit lui ressembler. Enfin, je la comparerais avec Les moutons de Panurge de François Rabelais car les gens suivent les lois comme des moutons, sans résister, naïvement, bêtement.