Pagus

Le chancelier, chargé de la rédaction des actes législatif, il se fait aider par un personnel important qui est composé de clercs car ce sont les seuls qui savent écrire. L’administration locale : - le comté demeure la structure de base (= pagus). Il n’y a plus d’unité au sein des comtés, ils sont de tailles inégales, ils étaient au nombre de 600 à 700 au 9ème siècle. Le comte est un représentant permanent nommé et révoqué par le roi. - A côté du comté on a une autre circonscription, les

occasions de redistribuer les cartes d’autant que le clergé n’autorise pas le remariage avec le frère ou la sœur du conjoint défunt. Seigneurie et pouvoirs locaux L’exercice du pouvoir local est hérité du monde carolingien : un comte à la tête d’un pagus, appuyé sur un réseau de fidèles, qui lui ont prêté serment, et d’intermédiaires : ce sont à l’origine les viguiers ou centeniers en charge d’une portion du territoire , où ils reproduisent la même organisation, tenant les plaids, recevant les plaintes

autorité sur des fidèles (= les Leudes) qui lui doivent un dénouement complet. Cette pratique place les guerriers au service d’1 homme et non au service d’1 institution. (pas même au service de la royauté). C’est valable également dans les provinces (=pagus). A partir du VIIème siècle, dégradation. B. L’Echec de la Dynastie Dagobert (629-630), dernier grand roi mérovingien. C’est lui qui a rassemblée pour la dernière fois tous les pays de l’Empire Francs. Cette royauté décline avec 2 difficultés :

le droit de vengeance ou FAIDA. Ces disposition pénal favorisent le recourt à une justice qui seras rendu dans le cadre d'un tribunal appelé le Malus et présidé par le comte entouré des rachinbourgs. La circonscription administrative du comte es la PAGUS qui a donné pays. Cette tarification des composition pécuniaire reste interessante à cette période car elle montre qu'il y à un esprit pacificateur. Le prix a payer varie selon l'inflation qui est une atteinte au biens ou aux personnes. Mais le prix

permettre aux Carolingiens de contrôler les grands domaines privés qui s’étaient constitués et qui jusqu’à lors avait échappé à l’autorité des souverains. Les Carolingiens vont s’attacher à unifier l’administration dans tout le royaume, le Pagus. Conclusion : à l’époque carolingienne un programme délibéré d’unification du continent donne une dimension universelle à l’Empire. L’Empire fini par se disloquer mais l’idée impériale ne disparait pas pour autant. Paragraphe 2 : Le saint

comte de la cité. Les comtes de la cité étaient indifféremment des wisigoths ou des romains. Chez les francs, le mot civitas a disparu mais pas la circonscription. Dans le royaume des francs, une division a été faite en circonscriptions appelées pagus qui a donné pays. Même système : les membres les plus dévoué du roi administraient un pays au nom du roi. Ces fidèles, étant appelés des comtes, on donnera ensuite le nom de comté à cette circonscription territoriale administré par les comtes.

censées être prises avec l'assentiment de tous (tous les sujets sont supposés avoir été convoqués et être présents). On y établit les capitulaires. - l'administration locale ordinaire. - l'administration civile : la structure de base est le comté (= le pagus). On en ignore le nombre exact (de 200 à 700), et leur taille varie (vaste au N, restreint au S). Le comte est un représentant permanent de l'empereur, c'est un fonctionnaire nommé par l'empereur et révocable. Il est rétribué par une dotation foncière

valeur historique, en rien compa- rables aux grandes dédicaces de Tiddi, d'Oudjel et d'Aïn- Phoua, petites républiques d'un rang inférieur à celui de Milev. Placée sur la roule de Cirta à Cuiculum, dans une con- de nombreux pagus, notre cité trée lértilo, au milieu dû èlre une ville assez importante et riche en monuments dédiés, soit à des empereurs, soit à des magistrats par leur équité qui, gagné avaient bienveillance, leur

laissé la place à une structure rudimentaire. Le royaume est divisé en pagi, ou « pays », administrés par des comtes, et les pagi en « centaines », dirigés par des « centeniers ». Le pagus, dénommé plus tard « comté », est une circosncription étendue. Quant à la surface, le pagus se place entre les actuels région et département. Grégoire de Tours et Venance Fortunat mentionnent soixante quatre comtés dans le royaume. Les circonscriptions locales demeurent, mais les villes vivotent

ne reste que la « civitas », la cité, et les rois barbares vont établir à l’intérieur de cette circonscription, un administrateur qui est le comte. Clovis maintient le Comte au sein de la cité et peu à peu le mot civitas va être remplacé par le mot pagus qui signifie pays. L’habitant du pays est paganisis qui donne le mot paysan. 1.Le recrutement des comtes - Premier choix : recrutement au choix du roi. C’est le princeps qui en vertu de son auctoritas, qui les choisit. - Deuxième caractéristique