Pacte budgétaire européen

montrent que la dette publique française a été de 73,9 % du PIB en 2009 (seulement 66% étaient prévus), et cette tendance à la hausse s’est poursuivie avec une dette de 78 % du PIB atteinte en 2010. Les critères « Pacte de Stabilité et de Croissance » ne sont pas du tout respectés. Selon ce pacte, un pays ne doit pas avoir une dette publique dépassant 60% de son PIB, et son déficit, lui, ne doit pas dépasser les 3% du PIB. La France a pourtant un déficit de plus de 8% de son PIB. Deux facteur peuvent

dumping social. • Concentration des efforts sur la recherche et le développement (R&D) • Création d’un espace européen de justice pour lutter contre le crime organisé • Création d’une armée commune. Structure des Etats-Unis d’Europe en 2 cercles concentriques : • Noyau politique appuyé par la zone euro • Organisation des États européens ( Condition unique : volonté inconditionnelle de collaborer au projet politique dans son ensemble. Point de

Système Monétaire Européen et Union Economique et Monétaire Baptiste Venet1 Université Paris Dauphine Avril 2001 remercie Alain Béraud, Annie Kawecki et Marc Raffinot pour leurs nombreuses remarques pertinentes. Toutes erreurs ou omissions demeurent de ma seule responsabilité. 1 Je Table des matières 1 Introduction 2 Le calendrier du passage à l’euro 1 2 3 Une (brève) histoire du Système Monétaire Européen (S.M.E). 3 3.1 Aspects institutionnels. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

étudions ensuite les différentes réformes qui ont été entreprises par l’Union européenne et les gouvernements avant d’exposer les risques de contagion auxquels font face les autres membres de la zone euro. Finalement, nous discutons certaines réformes qui peuvent aider à préserver la zone euro et éviter ainsi une nouvelle crise. Codes JEL: F31, F33, F34, F41, H63 Mots clés: Crise de dette, plans de sauvetage, Union européenne, euro ⇤ Auteur de contact: HEC Montréal, Département de Finance, 3000 Côte-Sainte-Catherine

L’application des dispositifs II- La légitimité de L’Union Européenne au regard de la crise pages 12 à 19 1- Les actions légitimes de l’Union Européenne grâce * au traité de Lisbonne * a- La politique monétaire, principale outil de stabilisation Le rôle de la BCE et son apport dans la crise actuelle L’implication du Conseil Européen et des avancées techniques * Les limites de la gouvernance de l’Union Européenne * a- Un déficit de légitimité démocratique, des

fond de la baisse du pouvoir d’achat à l’époque. Ex : politique économique appliquée en 81 sous Mitterrand, la conjoncture était de la sorte que le PIB a ralenti. Donc on applique un politique de relance pour stimuler l’économie, politique dite « budgétaire expansionniste ». C’est la politique keynésienne. Résultat : la croissance redémarre à partir de 82. Le taux passe de 6 à 13%  ce qui correspond à un taux d’inflation très élevé. Depuis on a une politique du « stop and go » : on fait l’inverse de

comme débiteur par rapport à tous ses créanciers. L’Irlande, membre de l’Union Européenne depuis 1973 était encore il y a 2 ans un modèle économique et de croissance au sein de l’Union. Avec une croissance du PIB de 5.30% en 2007 et un PIB par habitants de 45600 euros, le pays se placer au niveau de ces indicateurs en dixième position mondiale et troisième en Europe. [pic] [pic][1] Avec un déficit budgétaire quasi nul et un taux de chômage très peu élevé, le « Tigre Celtique », comme on le

est en meilleure situation que les Etats-Unis ou encore que le Royaume-Uni, tant en ce qui concerne sa situation budgétaire que ses comptes extérieurs (cf. graphiques 1, 2 et 3). Si le constat est indéniable, le fait que la zone euro ne soit pas une véritable union monétaire rend la comparaison peu pertinente. C’est une « construction originale » car dépourvue de fédéralisme budgétaire, l’un des éléments clés d’une union monétaire optimale. Sans doute, les marchés sont- ils sous influence1 et sous-estiment-ils

coopération entre états européens a parfois pris la forme de projets industriels (on pense notamment à Airbus ou Arianespace), mais l'intégration économique s'est surtout faite par la libéralisation des échanges économiques entre les nations d'Europe – c'est-à-dire par l'instauration progressive d'un libre échange presque total. Voyons d'abord les étapes de cette libéralisation et les avantages que l'on en attendait. Le premier pas de l'intégration économique fut la Communauté Européenne du Charbon et de

des 10 ans d’existence de l’euro ! Seize Etats sur les 27 de l’Union européenne (UE) utilisent aujourd’hui cette monnaie commune. Au-delà de l’intérêt évident de la suppression du change et donc des risques sur les taux de change dans le commerce intra communautaire, la monnaie européenne vise non seulement la performance économique en Europe, mais aussi le statut de devise internationale reconnue. La Banque centrale européenne (BCE) a été créée en 1998, avec pour mission principale le pilotage de