Pacte anti-Komintern

et de la finance. On retrouve ce progressisme à travers les programmes de présidents américains Théodore Roosevelt et Woodrow Wilson. Voici certaines mesures prises par l'Etat fédéral: * Ebauche d'une législation ouvrière ; * Réglementation anti trust * Adoption d’un impôt sur le revenu  Empire Ottoman :  Bastion de l'absolutisme politique en Europe, quelques tentatives de réformes par les jeunes turcs avaient tout de même été entreprises, mais en vain. La Russie :  Elle connaît une

l'État (avec 95% de catholiques). L'unité italienne s'est donc faite contre le Pape. Il y a un fossé très important entre le monde catholique et le patriotisme italien. L'Italie libérale (jusqu'au fascisme) est une classe politique essentiellement anti-cléricale (forte présence des francs-maçons). L'Italie se construit contre une partie de sa propre identité. Cela va être aggravé par le fait que le Pape va « interdire » aux catholiques de participer à la vie politique au niveau national. Ce « non

processus de fascisation entamé par la dictature franquiste pendant les années de la guerre civile allait se préciser avec son alignement avec les puissances de l’Axe à la veille de la Seconde Guerre  mondiale : ainsi, en 1939 Franco signait le Pacte anti-Komintern et l’Espagne abandonnait la Société des Nations. Or, la situation de l’Espagne ne lui permettait pas de prendre part au conflit du fait de l’épuisement économique et humain du pays après trois ans de guerre civil. En septembre 1939, l’Espagne

et de la finance. On retrouve ce progressisme à travers les programmes de présidents américains Théodore Roosevelt et Woodrow Wilson. Voici certaines mesures prises par l'Etat fédéral: • ébauche d'une législation ouvrière • réglementation anti trust • adoption impôt sur le revenu Empire Ottoman: Bastion de l'absolutisme politique en Europe, quelques tentatives de réformes par les jeunes turcs avaient tout de même entreprises en vain. Russie: Elle connaît une situation équivalente

/ à la Grande Guerre (« Diktat », « Victoire mutilée ») Ces régimes sont enfin anticommunistes et anti-républicains. Ils soutiennent donc Franco et ses partisans en 1936 et se retirent de la SDN qui représente les démocraties. Communisme et universalisme:En URSS, Staline, au nom « l'universalisme » du Communisme (3ème Internationale Communiste) soutient les différents PC d'Europe (cf. Komintern). Inquiété par le Nazisme, il se rapproche des États occidentaux à partir de 1934-35 (cf. Politique

pensée radicale. Mais une fois le programme réalisé que faire ? N’a pas de réelle idéologie, regroupement d’homme autour de grandes idées. Francs maçons, groupes de réflexion de tendance républicaine et radicale, groupes de libre penseurs (gauche, anti religion). Groupe informel qui est un lieu de réunions avec des gens qui ont des idées républicaines et radicale, des notables de gauche. Ils veulent se différencier des hommes de droites et des socialistes qui se prennent beaucoup plus au sérieux

du blocus maritime des puissances européennes, plus relâché du côté nationaliste. Moscou enverra aussi des conseillers militaires, essentiellement utilisés pour faire fonctionner les avions et les chars, ainsi que des commissaires politiques du Komintern, essentiellement pour assurer la répression au sein des forces communistes dissidentes, tels que les trotskistes et les militants du POUM. Les problèmes majeurs, pour les républicains, se posent du côté de l'organisation. En effet, il s'agit d'une

de la SDN. c) Un réseau d'alliances A partir de 1936, Hitler se rapproche des autre dictatures : l'axe Rome-Berlin, c'est-à-dire l'alliance entre l'Allemagne et l'Italie fasciste de Mussolini. Ces deux pays sont rejoints par le Japon dans le Pacte Anti-Komintern. L'Italie et l'Allemagne soutiennent aussi le général Franco lors de la Guerre d'Espagne. 16 d) Les premières annexions Pour répondre à sa volonté de réunir tous les peuples de langue allemande dans un Grand Reich, Hitler envoie l'armée

sang versé. Clemenceau aborde la conférence avec des revendications considérables : l’annexion de la Sarre (frontières de 1814), la création d'un chapelet de petits Etats rhénans autonomes et démilitarisés, la restauration d'une « Pologne forte, anti- allemande et antibolchevique », disposant d'un accès à la mer. Clemenceau réclame enfin des réparations assez lourdes pour saigner à blanc l'économie allemande et donner le temps à la France de rattraper son retard industriel. La question polonaise

du blocus maritime des puissances européennes, plus relâché du côté nationaliste. Moscou enverra aussi des conseillers militaires, essentiellement utilisés pour faire fonctionner les avions et les chars, ainsi que des commissaires politiques du Komintern, essentiellement pour assurer la répression au sein des forces communistes dissidentes, tels que les trotskistes et les militants du POUM. Les problèmes majeurs, pour les républicains, se posent du côté de l'organisation. En effet, il s'agit d'une