Ouidah

d’Abomey-Calavi, une des huit (8) communes du département de l’Atlantique, est limitée au Nord par la commune de Zè, au Sud par l’Océan Atlantique, à l’Est par les communes de Sô-Ava et Cotonou, et à l’Ouest par les communes de Tori-Bossito et de Ouidah (figure n°3). Avec une superficie de 539 km² (soit 20% de la superficie de la commune et 0,47% de celle du Bénin), elle constitue la commune la plus vaste du département de l’Atlantique. Abomey-Calavi compte soixante dix (70) villages et quartiers

des sous-ensembles de pôles régionaux : - un maillage moderne rassemblant les villes autour des pôles économiques à forte expansion : Cotonou et Parakou ; - un maillage traditionnel à forte dépendance de la campagne environnante : Porto- Novo, Ouidah, Allada, Abomey, Bohicon, Dassa-Zoumé, Savalou, Savè, Kandi, etc. Quel que soit le type d’espace considéré, sa gestion pose aujourd’hui problème. L’identification et la promotion des pôles régionaux de développement passent par la mise en place

verser aux ayants droit le montant de ce prix majoré d'un dixième. Toutefois, le délai sera réduit à trois mois lorsque l'acte ou la déclaration aura été enregistré à Cotonou et concernera un bien situé à Cotonou ou dans les communes d'Abomey-Calavi, Ouidah ou Porto-Novo. Ce droit est exercé sur autorisation du ministre chargé des Finances, mais sans que le service ait à justifier de cette autorisation. Il résulte d'une notification à l'acquéreur, soit à domicile réel, soit au domicile élu dans l'acte

des seconds. Par exemple, le taux d'occupation des établissements hospitaliers publics (Borgou, Ouémé, Zou) est de 36% contre 51 % au profit de deux établissements du secteur hospitalier privé confessionnel situé dans le Nord du pays. En outre, à Ouidah, il est de 20% pour le secteur public contre 70% pour le secteur privé confessionnel. La faiblesse des taux d'utilisation des formations sanitaires publiques relève également d'une accessibilité géographique souvent difficile en milieu rural. Ce qui

réconciliation, de la justice et de la paix. 177. Puisse l’Église catholique en Afrique être toujours un des poumons spirituels de l’humanité, et devenir chaque jour davantage une bénédiction pour le noble continent africain et pour le monde entier ! Donné à Ouidah, au Bénin, le 19 novembre 2011, en la septième année de mon pontificat.   BENEDICTUS PP. XVI   [pic] [1] Jean-Paul II, Exhort. apost. post-synodale Ecclesia in Africa (14 septembre 1995), n. 1 : AAS 88 (1996), p. 5 ; La Documentation catholique

deuxième classe. Ils sont au nombre de vingt-cinq (25). C’est ainsi que le Bénin compte vingt-huit tribunaux de - 43 - J. DJOGBENOU, Introduction à l’étude du droit première instance. Parmi ces tribunaux, seuls huit sont fonctionnels (Cotonou, Ouidah, Lokossa, Porto-Novo, Abomey, Parakou, Natitingou, Kandi). Les autres ne sont pas encore installés. Si on arrivait même à installer tous ces tribunaux, le taux de couverture des juridictions de première instance serait de 1 tribunal pour 320 000 habitants

commerce de Traite, mais les Portu ais, qui ont acquis leur indépendance de e e l'Espagne en 1640,ont alors repris l rô e de leader :en particulier,ils ont "acheté" aux Hollandais l droit de commercer dans quatre ports de l baie du Bénin (Grand e a Popo,Ouidah,Jaquin e Apa). Puis ils ont rebaptisé cette région "Costa da Mina",pour t a carte finalement étendre l terme à l côte allant du Cap de Mount au Cap Lopez (Cf e n"2)e ne plus rien payer aux Hollandais. t k t e Les Français e les Anglais se sont

Cotonou en République du Benin, par l’élargissement et l’approfondissement du chenal d’accès, l’aménagement du bassin portuaire, l‘acquisition d’équipements de (...) Lire LA BIDC accorde 4,5 milliards pour le pavage et l’assainissement des rues de Ouidah, Pobè, Sakété, Bohicon et Dassa-Zoumé, La Banque d’investissement et de développement de la CEDEAO (BIDC) a approuvé six importants dossiers comprenant un financement partiel de 7,65 milliards de francs Cfa en faveur d’un projet de construction et

à la fois littérale et symbolique, les routes de la traite entre l’Afrique, l’Europe et les Amériques. Il a été lancé officiellement lors de la première session du Comité scientifique international du projet « La route de l’esclave » réuni en 1994 à Ouidah, au Bénin, qui fut l’un des carrefours de la traite dans le Golfe de Guinée. Le concept de « route » exprime la dynamique du mouvement des peuples, des civilisations et des cultures, tandis que le terme « esclave » ne renvoie pas seulement au phénomène

que, depuis des années, Maixent et Ali s’envolent souvent, 214/264 à la tombée de la nuit, à bord d’un avion d’Afrijet (la compagnie de Michel Tomi) ou de la présidence, pour Cotonou, capitale du Bénin. De là, les deux hommes se rendent à Ouidah, la Mecque du vaudou, d’où est originaire le père de Maixent. Maixent y est perçu comme le messager de Dieu, très généreux avec les habitants et faisant vivre la région. « Il achète grassement les prêtres vaudous », m’a confié un Béninois. Maixent