Otton IV

Scène 5, acte 5 : Analyse de la folie d’Oreste Je relève |je procède |j’interprète | |Quoi ? Pyrrhus, je te rencontre encore ? (vers 1629 ) Trouverai-je partout un rival que j’abhorre ? (vers1630) Percé de tant de coups, comment t’es-tu sauvé ? (vers 1631) |Images hallucinatoires |Oreste a des visions : il croit que Pyrrhus est vivant alors qu’il est mort. Il est devenu fou. | |Tiens, tiens, voilà le coup que je t’ai réservé.(vers 1632) |Images hallucinatoires |Il veut même le tuer de nouveau

l'écrivain doit disparaître derrière son œuvre. Inspirée par le romantisme allemand et le surréalisme, l'œuvre de Julien Gracq mêle l'insolite et le symbolisme fantastique. Il fait ses études au Lycée Georges Clemenceau à Nantes, puis au Lycée Henri-IV à Paris. Il sera par la suite étudiant à l'École normale supérieure (promotion 1930), puis à l'École libre des sciences politiques. La découverte en 1943 de Sur les falaises de marbre, le roman emblématique d'Ernst Jünger, sont pour Gracq une révélation

contre des puissances extérieures d’une part (le pape et l’empereur du Saint Empire Romain Germanique), et internes d’autre part (seigneur féodaux). La puissance du Roi augmente à la fin du XIIIème siècle, suite au conflit entre le roi de France Philippe IV et le pape Boniface VIII. Pour lutter contre les seigneurs féodaux, 2 moyens principaux s’imposent : instaurer une administration soumise au Roi et autonome des seigneurs, et mettre en place une fiscalité autonome. • On peut remonter l’origines d’une

d’adultère, et qui meurt en 1316 sans laisser d’héritier mâle. La couronne revient alors au frère du roi Philippe le Long, tandis qu’on écarte de la succession les filles. Lorsque ce dernier meurt sans héritier mâle non plus, la couronne revient à Charles IV. Et le même scénario se répète, sauf que la branche aînée des Capétiens est tarie. A qui revient la couronne ? Plusieurs têtes se tendent : Tout d’abord celle de Philippe III d’Evreux, marié à Jeanne, la fille de Louis X. Mais on réfute sa candidature

Fiche biographique Nom : Alfred de Musset Naissance : 11 décembre 1810 à Paris Famille cultivée de petite noblesse. C'était un brillant élève eu collège Henri IV de Paris. Il désirait être poète malgré les réticences de son père qui le poussait vers des études de droit et de médecine. Il fut admis en 1828 dans les cercles romantiques réunis autour de Victor Hugo et de Charles Nodier. Il publia la même année « L'Anglais mangeur d'opium » Le 1er décembre 1830, la représentation de son

l'École polytechnique, et sera plus tard secrétaire perpétuel de l'École des Beaux-Arts. Sa mère, Anne Moreau est portraitiste, et enseigne, elle aussi, le dessin Elevé dans un milieu bourgeois et artistique, Prosper Mérimée suit ses études au lycée Henri-IV, puis fait son droit, tout en fréquentant les salons littéraires de l'époque (http://www.alalettre.com/merimee-intro.htm). Prosper fit son droit et étudia aussi de nombreuses langues. Reçu avocat, il se livra à la littérature. Il demanda à Viollet

de Jean-François-Léonor Mérimée, peintre et chimiste français, arrière-petit-fils d'un avocat au Parlement de Normandie, devenu intendant du maréchal de Broglie. Elevé dans un milieu bourgeois et artistique, Mérimée suit ses études au lycée Henri-IV, puis fait son droit, tout en fréquentant les salons littéraires de l'époque.  Il entre en littérature par une double mystification, publiant en 1825 ‘Le Théâtre de Clara Gazul’, sous un nom d'emprunt.  Esprit libéral, il accueille avec joie en

Philippe IV le Bel (1268 – 29 novembre 1314) | 1285 – 1314 | Capétiens | Devient roi de Navarre (sous le nom de Philippe Ier) en épousant la reine Jeanne Ire, le 14 août 1284, puis roi de France à la mort de son père Philippe III, le 5 octobre 1285. Est sacré à Reims le 6 janvier 1286. Meurt le 29 novembre 1314. | 46 | | Louis X le Hutin (4 octobre 1289 – 5 juin 1316) | 1314 – 1316 | Capétiens | Devient roi de France et de Navarre (sous le nom de Louis Ier) à la mort de son père Philippe IV, le 29 novembre 1314

Issu d'un père médecin et républicain convaincu, Berthelot fit de brillantes études au lycée Henri-IV, s'intéressant entre autres à l'histoire et à la philosophie. C'est là qu'il fit la connaissance de Renan qui avait quitté le séminaire et travaillait dans cet établissement comme maître d'études ; ils nouèrent une amitié qui devait durer jusqu'à la mort[2]. En effet, c'est à la Faculté des sciences de Paris qu'il entra par la suite. Il commença vraiment ses recherches dans le laboratoire privé de

apparaît en image), il ne bénéficiait pas de la rigueur et de l’application nécessaires à la réussite scolaire. Son avenir semblant des plus incertains, le jeune Jean était une source d’inquiétude intarissable pour ses parents. Élève au Lycée Henri-IV, il redouble sa seconde puis obtient finalement son baccalauréat en 1969, bien que ses moyennes plafonnent à 8. Les études supérieures du jeune homme n’ont pas été plus glorieuses que ses années de lycée. Alors qu’il souhaitait étudier le théâtre