Orthodoxie

grandes invasion tandis que l’Europe de l’Est va subir les invasion jusqu'à la fin du 20e siècle. Les incidences culturelles sur la relation Etat-société. • Deux grands types de nations. Catholicisme / protestantisme / Orthodoxie. Un phénomène de balkanisation ? • A l’Est les frontières moins anciennes et contestables. ( Forte minorité russophone • Mais la fin de la guerre froide réveille des revendications. • A l’Ouest, la relativisation

contestataires de P. Tempels, et, implicitement, à un auteur comme A. Elungu pene Elungu ou encore à E. Njoh-Mouelle (41). Ces derniers se sont vus reprocher leur commune et récurrente référence à la tradition philosophique occidentale érigée en orthodoxie. On peut faire le même grief à J. Kinyongo dont l'ouvrage étaie l'inséparabilité absolue des philosophies occidentale et africaine. L'idée de situer le lieu de la philosophie négro-africaine dans la tradition occidentale agace G. Buakasa qui est

byzantin et orthodoxe) et celles qui éclosent en terre musulmane (Arabie saoudite et Maghreb) : deux cultures expansionnistes, fondées sur des langues discordantes (latin et arabe), sur des religions monothéistes concurrentes (catholicisme puis orthodoxie et Islam). Ces trois civilisations se rencontrent et commercent très tôt, mais s’affrontent également pour des raisons économiques et religieuses, au moment des croisades (point de départ, 1095, l’appel d’Urbain II à Clermont). De leur rencontre

moujiks ne nous intimideront pas. Telle est notre conclusion et nous nous y tenons. Voilà pourquoi nous acceptons la partie de votre discours où vous nous faites des compliments ; mais ce qui est relatif à vos « éléments populaires », et à votre orthodoxie, pardonnez-nous, mais nous n’en voulons pas entendre parler. Nous sommes athées et européens. » Voilà la fâcheuse conclusion que je redoute. Je répète que je ne l’attribue pas à ceux des occidentaux qui m’ont serré les mains, ni même à l’ensemble

à la crise obéissent à 1 logique théorique libérale : Ce sont des politiques de déflation, en conformité avec les croyances des économistes libéraux : les mécanismes spontanés d’ajustement du marché et politique volontariste libérale (stricte orthodoxie financière), se substituant aux défaillances du marché. Les gouvernements espéraient voir jouer « l’effet PIGOU » (pour qui la rigidité des salaires est la cause principale du chômage) : certes, à court terme, la baisse des salaires conduit à

science économique. Le mercantilisme a été bien adapté au développement du capitalisme car la bourgeoisie marchande a besoin de l’Etat. A la fin du XVIIe siècle, de grosses fortunes privées se développent : l’Etat devient un handicap. Orthodoxie libérale : le Marché . Prémices : la « secte » des physiocrates On les considère comme les premiers libéraux. Physiocrates : physis = nature ; cratos = le pouvoir : pouvoir de la nature. L’agriculture est au centre de leur

de la croissance ou l'amélioration de l'emploi, traduit bien la contradiction quasi permanente entre cette optique très particulière et l'ensemble des objectifs collectifs et à long terme d'une bonne politique économique et sociale. Une stricte orthodoxie monétaire et financière au service du capital ne peut tenir lieu de politique nationale. Même dans une entreprise, le directeur financier ne peut prétendre se substituer au président-directeur général. A fortiori, les "traders" ne devraient pas

monarchies absolues. Des historiens anglais ont alors pu dire que « sans Luther, pas de Louis XIV ». Calvin, dans son traité « L’institution chrétienne » dédié à François Ier, réclament des institutions et des structures. Il évoque la nécessité d’une orthodoxie nouvelle qui serait mise en place et non laissée à la conscience de chacun. Il proclame le respect de l’autorité et pose le principe du droit divin de l’ordre établi reprenant l’idée de St Paul : l’ordre établi provient de Dieu et il n’appartient

résurrection, comme il le faisait déjà dans la pratique de Jésus, qu’il n’abandonne pas ce qui est perdu, qu’il n’abandonne pas ceux et celles qui sont torturés dans l’histoire. Et non que leur torture advient selon sa volonté. C’est ainsi que la nouvelle orthodoxie théologique contemporaine du Dieu souffrant, quoiqu’il en soit de son caractère apologétique, s’inscrit dans les paradigmes de l’impuissance et de l’herméneutique des victimes et non plus, ou non plus seulement, dans ceux de l’expiation et de la

Thessalonique en 380 . Querelles internes aux christianismes et les empereurs vont prendre parti pour catholiques contre les hérétiques avec interdiction de leur culte. Théodose mène une politique où l’État se fait le garant d’une orthodoxie . · Répression de la religion traditionnelle : ils vont prendre une série de mesures successives contre les religions traditionnelles (ils s’en prennent aux institutions mêmes : aux autels