Orphée et Eurydice

du jeu d’acteur d’Orphée est aussi celle des différents symptômes de la peste. Analysez les étapes de son agonie. Les premiers signes du déchaînement de la maladie se confondent, lors des deux premiers actes, avec le jeu lyrique du chanteur : « Orphée se plaignit » (l. 305), « des tremblements » (l. 309), « un léger excès de pathétique » (l. 310), « gestes saccadés » (l. 311). C’est a posteriori que le narrateur peut les interpréter : « c’est à peine si on remarqua » (l. 308), « qui n’y figuraient

significations : panta dôra, (celle qui a tous les dons) ou pantôn dôra (celle qui est le don de tous les dieux) Vu par Homère dans l'Illiade et par Hésiode ds la Théogonie XXII : « Ta Circé; ta Sirene & ta Magicienne »v4 + « Je seray ton Orphée, & toy mon Eurydice » v14 XXXI « Ma Venus, mon Amour, ma Charite » v5 Tj évoqué H de Troie ds les SPH, elle n'apparait nulle part pour elle-même mais pour servir des buts artistiques et personnels au poète : léguer son nom à la dame, ce qui stimule

inaccessible (Dieu). C'est un extrait du recueil « Les rayons et la Ombres » - fonction poétique : mise en mot d'une tradition orale (peut détruire l'horizon historique si modifications orales) - modifications comme avec Orphée → deux versions : une ou il réussit à ramener Eurydice et l'autre ou il ne réussit passionné Problématique : Quelle est, d'après Victor Hugo, la fonction du poète ? I. Le poète, un prophète a. Un poète proche de Dieu (intertextes forts) b. Une dimension spatiale vaste

ses activités de création la guerre terminée avec des spectacles plus théâtraux, des compositions plus humaines : Danses maternelles, La Mère, la Danse de la Reine, Catulli Carmina, Carmina Burana (Carl 6 Orff, 1955), Alceste (Gluck,1958), Orphée et Eurydice (Gluck,1961). Elle livre ses réflexions sur son art dans Le Langage de la danse paru en 1966. Elle a eu un rôle pédagogique considérable ayant formé entre autres Yvonne Georgi, Hanya Holm, Gret Palucca, Dore Hoyer, Bertha Wiesenthal, Rosalia

hymnes desclaves aux murnes et chansons pour les sirnes, ces enchanteresses de lgende) et sur ses propres uvres (les complaintes de mes annes, la romance du mal-aim) quil y entremle, chaque mention exprimant sa dtresse. Le pote semble sidentifier Orphe qui charma par ses chants les sirnes, sauvant ainsi des tres humains. Mais son tat desprit est plutt une douleur masochiste, une protestation esquisse conte la cruaut des femmes qui, si elles sont des reines, pures et protectrices, sont aussi des sirnes

république. Le dernier livre des Géorgiques s'achève par un récit qui semble bien devoir conclure le poème tout entier. Nous ne sommes pas sûrs de bien le comprendre, et c'est pourquoi peut-être il nous semble vainement compliqué : Orphée descendu aux Enfers y reconquiert Eurydice grâce aux pouvoirs de son chant, mais elle lui échappe à nouveau au moment même où il croyait l'avoir ramenée sur la terre.Au contraire, Aristée, cultivateur tenace, obtient la paix des dieux ; ses ruches ressuscitent. Est-ce

murènes » et « chansons pour les sirènes », ces enchanteresses de légende) et sur ses propres œuvres (« les complaintes de mes années », « la romance du mal-aimé ») qu’il y entremêle, chaque mention exprimant sa détresse. Le poète semble s’identifier à Orphée qui charma par ses chants les sirènes, sauvant ainsi des êtres humains. Mais son état d’esprit est plutôt une douleur masochiste, une protestation esquissée conte la cruauté des femmes qui, si elles sont des « reines », pures et protectrices, sont

murènes » et « chansons pour les sirènes », ces enchanteresses de légende) et sur ses propres œuvres (« les complaintes de mes années », « la romance du mal-aimé ») qu’il y entremêle, chaque mention exprimant sa détresse. Le poète semble s’identifier à Orphée qui charma par ses chants les sirènes, sauvant ainsi des êtres humains. Mais son état d’esprit est plutôt une douleur masochiste, une protestation esquissée conte la cruauté des femmes qui, si elles sont des « reines », pures et protectrices, sont

murènes » et « chansons pour les sirènes », ces enchanteresses de légende) et sur ses propres œuvres (« les complaintes de mes années », « la romance du mal-aimé ») qu’il y entremêle, chaque mention exprimant sa détresse. Le poète semble s’identifier à Orphée qui charma par ses chants les sirènes, sauvant ainsi des êtres humains. Mais son état d’esprit est plutôt une douleur masochiste, une protestation esquissée conte la cruauté des femmes qui, si elles sont des « reines », pures et protectrices, sont

en même temps à Cottard et aux pestiférés. Ce récit restitue l’atmosphère difficile de cette époque et c’est pourquoi le narrateur y attache de l’importance. Cottard avait invité Tarrou et ils étaient allés à l’Opéra municipal où l’on jouait Orphée et Eurydice. Il s’agissait d’une troupe qui était venue, au printemps de la peste, donner des représentations dans la ville. Bloquée par la maladie, cette troupe s’était vue contrainte, après accord avec l’Opéra, de rejouer son spectacle, une fois par semaine