Ornement

et les reliefs sculptés.Au début du 20ème siècle, Adolf Loos, un Viennois, extrêmement important dans l’Histoire de l’Architecture, écrit un texte en 1908 intitulé « Ornement et crime ». En 6/7 pages il démontre qu’en 1908 nous sommes arrivés à un niveau de progrès de la société qui fait que nous sommes prêts à nous priver des ornements. Il est dans une logique régalienne, il pense que l’histoire de l’Humanité va dans une direction précise, qu’elle progresse. Selon lui, orner ça constitue un crime

conque qui fait un bruit grave. Les raga sont des modes mélodiques. Ces raga sont une base. Il y a des ornements qui se font autour. Il y a 5 bava différents. Tala c'est le rythme, des coups plus ou moins forts, avec des espaces plus ou moins grand. Lorsque le rythme change, on fait varier le bava. Selon que le tempo est lent ou rapide, on a des sentiments différents. Selon le rythme les ornements associés au raga vont changer. C'est le chanteur et l'orchestre qui en décident, l'acteur va jouer sur

structurale. La société française a mis au monde une écriture unique pendant les temps ou avait triomphé l’idéologie bourgeoise, à la fois instrument et ornement. En effet l’écriture était instrument puisque la forme était au service du fond car elle devait refléter parfaitement la morale de l’idéologie bourgeoise. Elle était aussi ornement puisque elle était décorée de motifs extérieurs à sa fonction empruntés à la tradition. Bien qu’elle soit séparée de la société, ce langage continuait de

l’entrée, il y a des traces architecturales originelles de la tombe : la porte d’entrée flanquée par des colonnes (aujourd’hui il ne reste que les bases). Les colonnes ont été transportées au British muséum. Hypothétiquement : un ornement en zigzag avec un ornement en spiral à la partie haute. Les hypothèses émettent une constitution telle qu’il y aurait différentes couleurs, le vert et le rouge provenant des clairières de Kyprianon en Laconon. On sait qu’il y avait un décor polychrome (différentes

: Quels genres de poèmes doit élire le poète français Distille, avec un style coulant et non scabreux, ces pitoyables élégies, à l'exemple d'un Ovide, d'un Tibulle et d'un Properce, y entremêlant quelquefois de ces fables anciennes, non petit ornement de poésie. Chante- moi ces odes, inconnues encore de la Muse française, d'un luth bien accordé au son de la lyre grecque et romaine, et qu'il n'y ait vers où n'apparaisse quelque vestige de rare et antique érudition. Et quant à ce, te fourniront

serait le langage poétique : sur une ligne droite, sur une mélodie simple et linéaire, sur une information plate et directe, le poète, le musicien, l’interprète ajoutent des petits signes, qui sont des ornements ! quand je m’initiais à la musique en étant jeune, on disait encore que les ornements étaient inutiles ! parce qu’ils venaient interrompre la ligne pure de la mélodie ! C’était une époque où l’on admirait la ligne de l’architecture romane, et où l’on se méfiait comme de la peste de tout l’art

humoristiques et lexicales »[4]. La distinction académique sépare elle aussi les figures de rhétorique, visant la persuasion, des figures stylistiques, visant l'« ornement du discours »[5]. Pourtant, à l'origine, la figure de style est l'une des composantes de l'elocutio, partie de l'art rhétorique qui s'attache au style et aux ornements du discours. Pour Cicéron elle est le propre de l'orateur et « adapte à ce que l'invention fournit des mots et des phrases appropriées[6]. » C'est donc la partie

l’architecture à La Chaux de Fonds et y construit sa première maison en 1905. Il voyage de 1905 à 1907 en Europe, en Afrique du Nord et dans les Balkans. Il travaille chez Auguste Perret et s’installe à Paris en 1917. Il est un adepte des formes pures sans ornements. Il publie Après le cubisme en 1918, mani- feste du purisme en peinture. Il collabore à la revue L’esprit Nouveau et publie Vers une architecture (1923), L’Art décoratif aujourd’hui et Urbanisme (1925). Ces ouvrages sont des manifestes de l’architecture

néo-platonicienne qui détermine leur conception spiritualiste de l’amour et leur attitude par rapport à l’inspiration divine indispensable pour créer, la «fureur poétique». - Théophile Gautier est évoqué avec l’énumération des pierres et ornements : « sans autre ornement, parfum, perles, diamant » comme création poétique, recherche d’une certaine perfection (contrairement à «  la chevelure », Baudelaire va créer dans le plus simple dépouillement et va en faire « de l’or », - Tristan L’hermite : cf

façon des bas-reliefs classiques[4]. La féminité est souvent présente dans les bijoux de René Lalique, incontournable dans ses pendentifs et broches ornés de profils féminins auréolés de chevelures gracieuses flottant au vent, de fleurs et autres ornements[5]. Modèle de prédilection, la femme-libellule est un motif cher à René Lalique qui en décline les formes dans divers pendentifs, mais toujours en prenant soin de mettre en avant la féminité et la sensualité du modèle à la fois humain et animal[6]