Ordre des ingénieurs du Québec

Qualité de l’Air Missions permanentes Convention 05000051 Financée par la Direction des Préventions des Pollutions et des Risques (DPPR) Novembre 2005 Ce document comporte 29 pages (hors couverture et annexe). Rédaction NOM Corinne MANDIN Ingénieur unité Évaluation des risques sanitaires Direction des Risques Chroniques Vérification André CICOLELLA Responsable unité Évaluation des risques sanitaires Direction des Risques Chroniques Approbation Martine RAMEL Responsable LCSQA/INERIS

d’ingénieurs, et l’Ecole des Mines de Douai n’échappe pas bien sûr à ce qui va suivre, les élèves sont munis d’outils, de connaissances, de savoirs, de méthodes qui vont leur permettre de développer un ensemble de compétences afin de devenir de bons ingénieurs. A partir de ces compétences, ils vont être capables de résoudre des problèmes dans un cadre technique ou organisationnel. Les choix qu’ils vont devoir faire dans la mise en œuvre de ces compétences seront certes étendus dans les options qui leur

répéter une décision apparemment mauvaise ou à attribuer davantage de ressources à une activité vouée à l’échec. Dans le cas des entreprises à trajectoire ciblée ou inventive, il y a plusieurs raisons qui le prouvent dont l’autojustification. Les ingénieurs ou chercheurs essaient de sauver la face en polissant leur image pour donner l’impression d’avoir réussi. Il y a également l’illusion du joueur où les décideurs sous-estiment les risques et surestiment les probabilités de réussite. Et finalement

Sébastien Le Prestre de Vauban est né à Saint Léger en  mai  1633.  Il  entre  à  l’âge  de  20  ans  dans  l’armée  du  roi  de  France. De 1653 à 1659, Vauban participe à quatorze sièges au  cours desquels il est blessé plusieurs fois. Il devient ingénieur  militaire  spécialisé  dans  les  fortifications  à  l’âge  de  22  ans. Image 1 : Portrait de Vauban. www.wikipédia.org  Le  contexte  historique  de  l’époque  va  influer  sur  la  réflexion  de  Vauban ;  pour  renforcer  le  pouvoir  de 

sièges) sciences humaines, sciences sociales, arts (4 sièges). - Collège D : 2 représentants des autres enseignants et chercheurs, les personnels enseignants chercheurs assimilés titulaires d’un doctorat d’université. - Collège E : 3 représentants des ingénieurs et techniciens n’appartenant pas aux collèges précédents. Les membres des conseils sont élus au scrutin de liste à un tour à la représentation proportionnelle, avec répartition des sièges restant à pourvoir, selon la règle du plus fort reste

..................................................................................................72 c.Attente de coopération vis-à-vis des ingénieurs du son........................................................76 d.Impact sur la composition.....................................................................................................78 2.Ingénieurs du son.......................................................................................................................79 2 a.Demande

UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À RIMOUSKI LES BIAIS COMMUNICATIONNELS DANS LA GESTION DE LA QUALITÉ D’UN PROJET Mémoire présenté dans le cadre du programme de maîtrise en gestion PAR © JESSICA FRASER Décembre 2011 ii Composition du jury : Bruno Urli, président du jury, UQAR Farid Ben Hassel, directeur de recherche, UQAR Benoît Raveleau, membre externe, professeur, directeur du M2 IRH, Université Catholique de l’Ouest, IPSA, Angers, France. Dépôt initial le 2 décembre 2011 Dépôt

Alphonse Allais Pas de bile ! BeQ Alphonse Allais Pas de bile ! La Bibliothèque électronique du Québec Collection À tous les vents Volume 852 : version 1.0 2 Du même auteur, à la Bibliothèque : Le parapluie de l’escouade Amours, délices et orgues Deux et deux font cinq Pour cause de fin de bail Ne nous frappons pas L’affaire Blaireau À se tordre Faits divers Vive la vie ! À l’œil À la une Plaisir d’humour 3 Pas de bile ! Édition de référence : Paris, Librairie Marpon

systèmes opérationnels de gestion des ressources humaines. Il vise également à présenter une typologie des pratiques organisationnelles de gestion des carrières. Thierry Wils est professeur au département de relations industrielles à l’Université du Québec à Hull. QU’EST-CE QU’UN SYSTÈME DE GESTION DES CARRIÈRES? On peut identifier deux visions : une vision élargie et une vision étroite. – La vision élargie : Pour certains auteurs (Walker, 1980; Sonnenfeld, 1984; Walker, 1985; Sonnenfeld, Gestion

Dominique-Racine de Chicoutimi, Québec Courriel: mailto:mabergeron@videotron.ca Site web: http://www.geocities.com/areqchicoutimi_valin Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" dirigée et fondée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index.html Une collection développée en collaboration avec la Bibliothèque Paul-Émile-Boulet de l'Université du Québec à Chicoutimi Site web: