Opinion publique

son propre sort ss réellement assumer ses opinions cad ss réagir. Nul hasard dc, si la plupart des pays dvpés se sont transformés en « démocratie de l’abstention ». * La pensée unique construit une société différente qui va en qq sorte déposséder le citoyen de ses propres devoirs. Le mot de citoyen, arraché à son histoire révolutionnaire, est lessivé. * abstentionnisme = reflet passivité ou négligence des citoyens, peu intéressés par la vie publique ; traduit une crise de la représentation

précisément, contre la persécution religieuse, ont mis en avant l’argument suivant : les opinions privées des personnes, et en particulier leurs opinions religieuses, n’appartiennent qu’à leur conscience ; même si nous estimons que ces opinions sont mauvaises ou fausses, aucune répression ne peut être justifiée et la tolérance est la seule attitude possible. Certains vont jusqu’à dire qu’aux yeux de Dieu, toutes les opinions, toutes les croyances et tous les cultes sont bons à condition que l’homme, qu’il

pas garantir une concordance entre le réel et la chose. On appelle vrai un jugement qui est affirmé universellement par un opinion commun. D'après Charles S.peirce, il existe toujours une réponse "vraie", une conclusion définitive, vers laquelle tend l'opinion de chaque homme . Par exemple , la découverte de l'héliocentrisme de Galilée a été rejetée par l'opinion publique, alors que celui-ci, persuadé que la terre était au milieu de l'univers, avait des démonstrations fondées et très solides.

ne sont en fait que des opinions, des idŽes que nous tenons pour vraies sans en avoir rŽellement analysŽ la teneur et estimŽ la valeur. Ainsi, quand nous nous efforons de penser, cÕest-ˆ-dire ici de juger les choses avec justesse, deux choix s'offrent ˆ nous : rejeter l'opinion ou en faire une authentique pensŽe en l'approfondissant et en la consolidant au moyen d'un raisonnement la justifiant. Nous refusons alors partiellement ou totalement de croire en cette opinion. Pour illustrer ce propos

possibilité d’influences réciproques. Deuxièmement, le contrôle social est habituellement apprécié par les autorités et les majorités. (L’église, l’armée, la famille) Leur objectif, c'est l'équilibre, la résolution indolore des conflits, l'adhésion aux opinions et aux lois existantes, et la propagation d'une seule conception de la réalité. Le changement social, lui, sera nettement souhaité par les individus et les sous-groupes déviants ou marginaux. ?????? Pour eux, la lutte contre les institutions établies

appellent à la moralité du cercle. Dans le sens ou il y a un certaine moeurs du cercle. L'un des plus grands architectes de l'époque Bouillé Louis, il appelle ça le caractère de l'architecture. « oui je crois que nos édifices, surtout les édifices publiques, devraient êtres des poèmes, il devraient faire passer un message analogue à un poème récité. » Quelle sont les valeurs morales du cercle? L'égalité, les individus sont à égale distance du centre, l'union ou la concorde. Le cercle, c'est

—» Canton : En France, subdivision territoriale d'un arrondissement. -» Obscurantisme : Opinion, doctrine des ennemis des «lumières », de ceux qui s'opposent a la diffusion, a la vulgarisation de 1'instruction et de la culture dans les masses populaires. -> Dogmatisme : Caractère des croyances (religieuses, philosophiques) qui s'appuient sur des dogmes (= articles de foi, vérités fondamentales, opinions indiscutables, lois, doctrines). -» Affaire La Barre (1765-1766) : Affaire judiciaire dont

I] Introduction Comment mesurer l’opinion publique ? C’est justement le rôle des sondages, les questions sont posées à quelques personne au hasard, ou non. Leurs réponses permettent donc d’évaluer l’opinion de toute une population. Un sondage est une méthode de collecte d’informations visant à connaître les opinions des individus, cette pratique est surtout utilisée en politique et en mercatique, c’est-à-dire en commerce. Il existe en effet, plusieurs types de sondages, les sondages

préoccupations de la vie quotidienne et proposant des réponses complexes et incompréhensibles pour le commun des mortels. Afin de dissiper tout malentendu, partons d'un constat simple : vous-mêmes et toutes les personnes que vous connaissez possèdent des opinions dans des domaines très variés. Qu'elles soient croyantes, athées, indifférentes, toutes se prononcent à leur manière sur les questions religieuses et sur le sens de l'existence humaine. Même si elles n'ont pas d'engagement politique ou syndical précis

il sait que dévoiler c'est changer et qu'on peut dévoiler qu'en projetant de changer ». Cette citation de Jean-Paul Sartre, philosophe et écrivain engagé du XXe siècle, répond à une question ouverte sur le pouvoir des écrivains qui présentent des opinions en rapport avec un contexte politique, religieux ou social et se voient donc attribuer le titre d'auteur humaniste dès qu'ils prennent position sur des faits d'actualité. Or, nous remarquons que certains écrivains refusent de se voir décerner un