Onomastique Rastignac

plat et une espèce de soupière en vermeil, tournait une espèce de câble autour de ces objets richement sculptés, en les serrant avec une si grande force qu'il les tordait vraisemblablement pour les convertir en lingots.- Peste! quel homme! se dit Rastignac en voyant le bras nerveux du vieillard qui, à l'aide de cette corde, pétrissait sans bruit l'argent doré, comme une pâte. Mais serait-ce donc un voleur ou un receleur qui, pour se livrer plus sûrement à son commerce, affecterait la bêtise, l'impuissance

connaissance de Pauline Gaudin, fille de la maîtresse de l’hôtel, gracieuse, belle et discrète. Mais il rencontre également Eugène de Rastignac, qui le fait entrer dans la haute société et lui a présenté Fœdora, une femme admirée à Paris, séduisante et froide, pour laquelle il dépense toute sa fortune. Il gagne un peu d’argent au jeu et il le dilapide avec Rastignac en menant une vie de débauche. Alors il quitte la mansarde et abandonne Pauline : c’est le moment qui corresponde à l’incipit du roman

XIXième telle qu'elle est. Eugène de Rastignac est un jeune étudiant en droit voulant entrer dans la haute société, dans cet extrait il rencontre M. de Restaud et Anastasie de Restaud qui sont des personnes appartenant à cette haute société, Rastignac commettra alors des fautes comme un jeune homme ignorant. En quoi le comportement de Rastignac révèle son incompréhension des codes de la haute société ? Tout d'abord nous montrerons l'ignorance de Rastignac puis dans un second temps nous montrerons

venue d'une « comparaison entre l'Humanité et l'Animalité » (Balzac), but : décrire de façon quasi exhaustive la société l'entourant. Titre envisagé : Études sociales, titre choisi : référence à la Divine Comédie (Dante). 2. Résumé général Rastignac est un jeune homme de petite noblesse qui vient à Paris pour y faire fortune. Mais il n'a ni l'argent, ni la connaissance de la société parisienne nécessaires. Une de ses cousines lointaines, Madame de Beauséant, le prend sous son aile pour l'aider

comtesse de Vandenesse (Une fille d'Eve). Présent dans de nombreux romans, il est lié à Philippe Brideau dans La Rabouilleuse, ami de Lousteau dans La Muse du département, de Béatrix de Rochefide (Béatrix, Un prince de la bohème). – Eugène de RASTIGNAC : provincial venu à Paris comme Lucien, mais qui y réussit. Présent dans la plupart des romans parisiens de La Comédie humaine, il résiste à la tentation offerte par Vautrin (Le Père Goriot) mais sait faire jouer les mécanismes du monde à son profit

l’automne 1819. Dans cette pension tenue par Mme Vauquer se trouvent des pensionnaires et  des habitants du quartier qui viennent seulement y souper. Les pensionnaires les plus présents sont : Eugène de Rastignac, le père Goriot, Vautrin, Monsieur Poiret, Mademoiselle Michonneau… Eugène de Rastignac, personnage central de l’œuvre, est un jeune noble provincial et désargenté dans lequel sa famille a placé tous ses espoirs. C’est un jeune homme ambitieux qui veut intégrer le monde noble parisien. Grâce

lecture - La Peau de chagrin - Balzac Raphaël rencontra ensuite Eugène de Rastignac, qui le fit entrer dans la haute société et lui présenta Fœdora, la femme la plus en vue de Paris. Il s’ensuivit entre eux un long jeu de séduction dans lequel elle se refusa et où, ayant dépensé la totalité de sa fortune, il finit par renoncer. Il gagna alors un petit pactole au jeu, et, dans un élan suicidaire, décida avec Rastignac de le dilapider en menant une vie de débauche. Il quitta pour cela sa mansarde

la vie elle-même est prise avec le Désir, principe de toute passion[13]. » Honoré de Balzac a brossé un vaste tableau de la société de son temps créant des archétypes comme celui du jeune provincial ambitieux à la conquête de Paris Eugène de Rastignac, de l'avare tyran domestique : Félix Grandet, l'icône du père : Jean-Joachim Goriot, ce « Christ de la paternité[14]», ou le bagnard reconverti en policier : Vautrin. Balzac a influencé directement des auteurs comme Gustave Flaubert dont le roman

abandonnée, réapparaît ici, et Rastignac et Vautrin, nouveaux venus de l’univers balzacien, reviendront fréquemment dans les romans ultérieurs. « Un brave homme, – pension bourgeoise, 600 fr. de rente, – s’étant dépouillé pour ses filles qui toutes deux ont 50.000 fr. de rente, mourant comme un chien », tel est le sujet initial du roman conçu par Balzac. Mais la matière, sous sa plume s’est étoffée : à cette intrigue, il faudrait ajouter celle, non moins importante, du jeune Rastignac, dont l’itinéraire fait

l’histoire : L’histoire se passe Paris dans les grandes rues de la capitale, mais la majorité de l’histoire se déroule dans la pension de Mme. Vauquer, rue Neuve-Sainte Geneviève et dans la maison Mme de Nucingen Les personnages : * Eugène de Rastignac, un étudiant, venu de sa Charente natale poursuivre ses études de droit à Paris * Jean-Joachim Goriot (dit le père Goriot), un vieillard quelque peu démuni, qui a fait fortune sous la Révolution dans la fabrication et le commerce de vermicelles