Onomastique Rastignac

Voir des pages 126 à 129 dans le livre. Eugène de Rastignac : Jeune provincial âgé de 22ans, sans aucune fortune. Il rêve d'entrer dans la haute société de Paris. Pour arriver à ses fins, il demande de l'aide à la Vicomtesse de Beauséant, sa cousine, qu'elle lui apportera. En effet, elle le met en relation avec Madame de Nucingen (baronne) lors d'une sortie au théâtre. Celle-ci prendre alors celui-ci comme confident, et plus tard amant. Rastignac permettra également à la baronne de reprendre contact

d’aisance a ses deux être les plus chers en sacrifiant plus ou moins la sienne. Le père Goriot peut être considéré comme le personnage le plus important de l’œuvre de Balzac, étant au centre de l’intrigue même si il est moins actif qu’Eugène de Rastignac, l’histoire gravite autour de lui. Balzac disait dans Autre étude de femme « L’amour unique et vrai […] produit une sorte d’apathie corporelle en harmonie avec la contemplation dans laquelle on tombe » et c’est peu être ainsi que l’on doit qualifier

Eugène de Rastignac, fils aîné du baron et de la baronne de Rastignac, né à Rastignac, près de Ruffoc, en 1797. Il vint à Paris, en 1819, pour étudier le droit ; habita, d’abord, le troisième étage de la pension Vauquer, rue Neuve-Sainte-Geneviève, fut alors en relations avec Jacques Collin, dit Vautrin, qui s’intéressera particulièrement a lui et voulut lui faire épouser Victorine Taillefer ; devint l’amant de Mme de Nucingen, seconde fille de Joachim Goriot, ancien vermicellier, et, en février

1819,à Paris, dans une très modeste pension tenue par Madame Vauquer logent différents pensionnaires : Mlle Michonneau, Victorine Taillefer Monsieur Poiret, Bianchon, mais surtout Vautrin qui se fait passer pour un ancien commerçant, Eugène de Rastignac venu faire son droit à Paris et le Père Goriot. Le Père Goriot est le plus âgé et le plus ancien des pensionnaires. Il avait, dans un premier temps, des revenus suffisants pour habiter au premier étage un très bel appartement mais au fur et à

(1835) IV, excipit[pic] du roman. |[pic] |[Eugène de Rastignac, étudiant pauvre mais ambitieux, assiste ici aux obsèques du père Goriot. Logé comme lui à la pension Vauquer, ce vieillard est mort sans que ses deux filles, pour lesquelles il éprouve un amour passionné, se soient déplacées à son chevet. Eugène a été le témoin compatissant de cet abandon.] | | |  Les deux prêtres, l'enfant de chœur et le bedeau vinrent et |[pic] sujet  : Rastignac (Eugène, l'étudiant). Sa position, son regard |

la vie elle-même est prise avec le Désir, principe de toute passion[14]. » Honoré de Balzac a brossé un vaste tableau de la société de son temps créant des archétypes comme celui du jeune provincial ambitieux à la conquête de Paris Eugène de Rastignac, de l'avare tyran domestique : Félix Grandet, l'icône du père : Jean-Joachim Goriot, ce « Christ de la paternité[15]», ou le bagnard reconverti en policier : Vautrin. Il a influencé directement des auteurs comme Gustave Flaubert dont le roman

leur vies. Par exemple Mne de Bauséant est inspirée de la femme abandonnée. Résumé du livre[pic] Au début de l'année 1819, la maison Vauquer, près du Panthéon, à Paris, abrite plusieurs pensionnaires de caractères très différents : Eugène de Rastignac, - le père Goriot, qui a deux filles Delphine et Anastasie. Vautrin, ancien forçat connu aussi sous le surnom « Trompe-la-mort» ou le nom: Jacques Collin. Mne de Bauséant, cousine d’Eugène. ____________________________________________________________

Goriot fait les sacrifices pendant toute sa vie pour faire plaisir à ses filles. Il finit par mourir sans un seul sou. 2. EUGENE DE RASTIGNAC : Jeune « ambitieux » qui rêve de s’introduire dans la haute société parisienne. Rastignac prend gout aux soirées parisiennes et il se rend compte qu’il est possible de réussir dans la société à travers les femmes. Rastignac finit par accepter ses choix et réalité de la vraie vie parisienne à la fin du livre. 3. VAUTRIN Mystérieux pensionnaire d une

I - Portrait de Rastignac Eugène de Rastignac est le fils du Baron et de la Baronne de Rastignac, il a 2 frères et 2 sœurs ainsi qu'une tante (Madame de Marillac). Il est issu d'une famille noble mais qui détient très peu d’argent (p°82 « Ce domaine d'un revenu d'environ trois mille francs était soumis à l'incertitude qui régit le produit tout industriel de la vigne, et néanmoins il fallait en extraire chaque année douze cents francs pour lui ») il vient de la campagne provinciale et ses parents

ainsi : « Il avait les épaules larges, le buste bien développé, les muscles apparents, des mains épaisses, carrées et fortement marquées aux phalanges par des bouquets de poils touffus et d’un roux ardent. » Il s’intéresse beaucoup au jeune Eugène de Rastignac qu’il veut aider à faire fortune. Le chef de police, demande de l’aide à Mlle Michonneau et Poiret, en leur racontant que Jacques Collin a été condamné à vingt ans de bagne pour un faux meurtre commis par un autre, « un beau jeune homme, un Italien »