Oncle et tante

l’a effrayé. Elle a vu son oncle sur sa cousine : accès d’angoisse. Elle ne sait pas pk elle a eu si peur. Réaction disproportionnée. Il y a donc autre chose. Que s’est-il passé en elle ? « J’ai eu un tel choc que j’ai tout oublié » : Elle parle alors du refoulement. Il revient sur le visage. C’est flou, elle ne sait pas. Elle dit qu’elle a été dégoutée. La notion de dégout est toujours liée aux vomissements. Elle a dit à sa tante ce qu’elle a vu : divorce oncle/tante. Ce qui fait de la culpabilité

L’eau courante, des chambres séparées pour chaque membre de la famille, une grande terrasse donnant une superbe vue sur la vallée, la forêt et la brousse sont proches donc le gibier aussi… l’habitat de rêve de n’importe pithécanthrope…L’oncle Ian, un oncle que l’on rencontre brièvement au cours de l’histoire mais ayant beaucoup voyagé, nous décrit aussi d’autres espaces :· l’immense forêt d’Afrique centrale (Guinée).· le Sahara, qu’il désigne comme le « paradis terrestre » (étonnant n’est-ce pas ?),

Marcel Proust Biographie synthétique L’enfance et l’adolescence : 1871-1889  Marcel Proust est né le 10 juillet 1871 à Auteuil dans la maison située au 96 rue La Fontaine que possédait son grand oncle Louis Weil. Son père Adrien Proust, né à Illiers en 1834, était déjà alors un médecin réputé, spécialiste en hygiène, titulaire de la légion d’honneur, chef de service à l’hôpital de la Charité. Il avait épousé l’année précédente Jeanne Weil née elle en 1849 et issue d’une riche famille bourgeoise

vieille grand-tante à Othys. VI — Othys. « C’est mon amoureux ! », c’est ainsi que le narrateur est présenté à la grand-tante. Cette dernière les régale de mets savoureux. Sylvie dérobe la clef d’un tiroir toujours fermé. Les deux amoureux montent dans la chambre, trouvent dans le tiroir des souvenirs de jeunesse de la tante ainsi que sa robe de mariée. Les deux jeunes revêtent les habits de mariés, ce qui crée une grande émotion chez la tante lorsqu’ils redescendent à la cuisine. La tante raconte

courante, des chambres séparées pour chaque membre de la famille, une grande terrasse donnant une superbe vue sur la vallée, la forêt et la brousse sont proches donc le gibier aussi... l’habitat de rêve de n’importe pithécanthrope... L ’oncle Ian, un oncle qu e l’on rencontre brièvement au cours de l’histoire mais ayant beaucoup voyagé, nous décrit aussi d’autres espaces : - l’immense forêt d’Afrique centrale (Guinée) . - le Sahara, qu’il désigne comme le « paradis terrestre » (étonnant

est barrée pour des travaux. Heureusement, Medza rencontre sa tante Amou qui s’offre de transporter sa valise sur sa bicyclette jusqu’au village alors que lui, doit parcourir les dix kilomètres qui le séparent de son village à pieds. Une fois au village, alors qu’il croit devoir se reposer, il est investit d’une mission par le patriarche Bikokolo. Ce dernier lui demande sur consentement de tous les villageois malgré l’opposition de tante Amou d’aller à Kala chercher la femme de son cousin Niam qui

disais que j’aurais le temps, que j’irais lorsqu’il s’aura réveillé. Au contraire mon frère voulait le voir à tout pris. Mes parents hésitaient, puis ils acceptaient ne voulant pas qu’il regrette de ne l’avoir pas vu. Mon frère partit avec mon oncle et ma tante, mes parents restaient avec moi pour me réconforter. En milieu d’après-midi le téléphone retentit. Mon cœur battait à une vitesse affolante ! A l’autre bout du fil c’était mon frère qu’allait-il nous dire une bonne ou une mauvaise nouvelle ?

bébé et veux gouter a toutes les spécialités. Pour ce voyage il demande à sa mère 100 DM mais refuse car elle pense que 50 DM suffisent largement. Florian lui dit qu'avec 100 DM il pourra appeler chaque jours ses grands parents ainsi que son oncle, sa tante et envoyer une carte de spécialité a Annelise. Il pourra acheter aussi un couteau suisse et une montre. Sa mère lui donne d'autres conseils comme ne pas manger trop de chocolat,partir tôt au lit et de faire attention a ces affaires car il ne connais

maternité-hôpital d'Oxford Street, à Liverpool, pendant un raid particulièrement violent de l'aviation allemande, en pleine période du Blitza 1. Il est le fils d'Alfred « Fred » Lennon et de Julia Stanley. Pour se rendre à l'hôpital où il vient de naître, sa tante Mary « Mimi » Elizabeth est obligée de traverser la ville, de nuit, en se guidant à la lumière des explosionsb 1,1. John tient son premier prénom de son grand-père John « Jack » Lennon, et son deuxième prénom, Winston, lui a été donné en hommage au

jour où j'ai découvert la ville avec mon Oncle, j'ai trouvé ça magique, les routes n'étaient pas faite de terre mais de goudron, ou de bitume, il a plein de voiture, de camion, et de vélo sur les routes, je ne pensais pas qu'il pouvait y en avoir autant !! Dans la capitale, il y a de grand bâtiment, on appelle ça des immeuble, et dedans, il y a plein de petite maison, ce sont des appartement, c'est dans un de ces appartement que vis mon oncle et ma tante. Ils ont une belle cuisine, et même une salle