On Vit On Parle Victor Hugo Commentaire

particulier, celui d’Arcachon) il fut, dès sa plus tendre enfance, sensibilisé à la scène et au phénomène du spectacle. Mais, comme, au premier entracte, on l’envoyait se coucher, il terminait mentalement les pièces avant de s’endormir. Plus tard, lorsqu’il vit les vrais dénouements, il fut souvent fort déçu. Très tôt pris de passion pour le théâtre, de douze à seize ans, il écrivit de «fausses pièces» et découvrit les grands auteurs classiques : Molière, Marivaux et Musset, «mille fois relus». La famile

allait vouer une amitié affectueuse et libérale qui ne se démentit jamais. Il termina sa tragédie : ____________________________________________________________ _____________________ “Oedipe” (1715) Tragédie en cinq actes et en vers Commentaire C’est une tragédie à l’antique, avec des choeurs, Voltaire se voulant le continuateur de Racine, affirmant son attachement aux trois unités, à l'alexandrin et aux maîtres grecs. Mais, quoi qu'il en ait pensé, la pièce était tout de même une déclaration

remaniement, ultime strate d’une multiplicité de strates d’écriture. Autant que de la forme de ses vers, il se soucia de leur mise en page. Tantôt il se bat pour obtenir un texte plus aéré et donc un volume plus fort, car il vit dans ce qu’il appelle « la terreur de la plaquette », tantôt il s’acharne à faire respecter l’originalité de sa ponctuation « qui sert - précise-t-il - à noter non seulement le sens, mais

côtoyés avec des sentiments réciproques de convoitise et de jalousie, complices malgré leurs dissemblances, dans le secret vivace de se vaincre l’un l’autre. »1 C’est dans le regard de l’autre, de celui que l’on considère comme son rival, que l’on vit, que l’on se construit. C’est en cela que cette étude est intéressante, puisqu’elle met en relief cette relation entre deux cultures qui s’opposent et se fascinent à la fois. 1 Béji, Hélé : Esprit, n°1, janvier 1997, p. 108. 4 L’Occident

universelle ? Cela peut-il justifier qu’on n’en respecte pas les dispositions ? Article 3 Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne. « Que dit la société ? “Tu ne tueras pas”. Comment le dit-elle ? En tuant ! » Victor Hugo, plaidoyer contre la peine de mort. n Comment expliquer que l’on prive d’aucuns du droit à la vie, au nom de ce même droit pour d’autres ? « Tu crois pouvoir écraser une chenille ? Bien, c’est fait : ce n’était pas difficile. Maintenant refais-la

parfois dans son récit pour le commenter. Relevez deux ou trois exemples de ces interventions. Le narrateur de ce roman ne se borne pas à faire le récit de ses aventures et de celles de son ami. Il les commente à maintes reprises. Ce sont même ces commentaires qui nous permettent de saisir indirectement sa personnalité. Quelques exemples : l’explication qu’il donne après l’incipit sur la Révolution culturelle (p. 12-13) ; l’ironie d’une expression comme « le fils d’un grand ennemi du peuple qui avait

……………………………………………....30 5 3. L’analyse de la deuxième pièce : «en attendant que le chat miaule »....32 3.1 L’analyse………………………………………………………...32 3.2 Commentaire ……………………………………………………34 4. L’analyse de la troisième pièce : « le crie de la girafe » ……………....36 4.1 L’analyse………………………………………………………..36 4.2 Commentaire……………………………………………………39 5. Commentaire sur l’ensemble de la trilogie…………………………….40 Conclusion …………………………………………………………………….43 Bibliographie…………………………………………………………………...46 Annexe …………………………………………………………………………48

éléments majeurs dans son art ; → rejet du matériel, faire de l’art avec des idées ou au moins des choses idéelles. - point gris = point fatidique entre ce qui vit et ce qui meurt, l’atteindre serait représenter quelque chose qu’on ne connaît pas ; cosmogonie du monde ; perspective syncrétique entre art et philosophie (chez Victor Hugo syncrétisme entre religion et art) Kandinsky et Klee veulent créer une « grammaire du sensible » ; ils font passer la peinture dans un régime intellectuel, ce

                               Corpus  :  17  ouvrages         Balzac  (de)   Balzac  (de)   Beaumarchais   Beaumarchais   Cervantès   Corneille   Diderot   Flaubert   Hugo   Marivaux   Maupassant   Molière     Molière     Molière     Molière     Racine   Zola   Eugénie  Grandet   La  Rabouilleuse  ou  Un  ménage  de  garçon   Le  Mariage  de  Figaro   Le  Barbier

Bibliographie générale et sitographie B. Pour une anthologie école-collège des Fables de La Fontaine 4 Je chante les héros dont Esope est le père, Troupe de qui l’histoire, encor que mensongère, Contient des vérités qui servent de leçons. Tout parle en mon ouvrage, et même les poissons : Ce qu’ils disent s’adresse à tous tant que nous sommes. Je me sers d’animaux pour instruire les hommes. […] 5 INTRODUCTION La Fontaine n’est pas un écrivain pour enfants. Ce sont bien « les hommes »