Ojibwés

Les deux mouvements sont tirés du poème de LONGFELLOW, Chant de Hiawatha (1855). Le poème évoque la vie d'un Indien qui puise ses références dans les légendes et les histoires des tribus indiennes nord-américaines, particulièrement celles des Ojibwés du Michigan du Nord, du Wisconsin, et du Minnesota. 1. Le second mouvement. C’est le mouvement le plus typiquement américain. DVORAK l’avait d’abord intitulé « Légende ». Il se situerait dans la scène des funérailles dans la forêt du poème de

PAIX DE MONTRÉAL Cette paix marque non seulement la fin des hostilités entre les Français et les Iroquois, mais aussi entre les Iroquois et les tribus amérindiennes alliées aux Français (Illinois, Outaouais, Hurons, Poutéouatamis, Miamis, Cris, Ojibwés, etc.). Dans les cérémonies et les négociations, les rituels amérindiens dominent. Cela est particulièrement visible lors de l’enterrement du chef Kondiaronk, le 2 août 1701. Par la Grande Paix de Montréal, le pouvoir français se place au-dessus

vingt ans (jusqu’en 1808). Notes [1] René Rémond, Histoire des États-Unis (1959)Paris, Puf« Quadrige », 2011, p. 7 [2] Le nom « Massachusetts » désigne une tribu algonquienne (« à la grande colline »). « Michigan » et « Mississippi » sont des mots ojibwés qui désignent un « grand lac » pour le premier et un « grand fleuve » pour le second. « Ohio » signifie « bonne rivière » chez les Iroquois. [3] David Armitage, The Declaration of Independance : a Global History, Harvard University Press, 2007 [4]