Objet Symbolique Le Rhinoceros Ionesco

sombres histoires de sorciers qui forment de sanglantes tragédies. Les costumes sont somptueux et permettent de situer socialement le personnage. Les accessoires sont d'un réalisme parfait. Chaque couleur à sa fonction : une couleur pour la fonction symbolique ainsi que une couleur pour la fonction dramatique. Le théâtre Elisabéthain est moins marqué par la tragique et le héros anglais se heurte à la toute-puissance du hasard contrairement au théâtre grec. Les représentations. Le théâtre est

femme ambiguë, d’une beauté insolente mais aussi inquiétante. Nous nous attacherons tout d’abord au cheminement symbolique du héros sur les pas de la prostituée dont il a conscience qu’elle l’entraîne sur un chemin de perdition, puis nous nous pencherons sur ce portrait d’une femme à la séduction provocante mais qui ne laisse cependant pas d’être inquiétante. I. Un cheminement symbolique : un chemin de perdition 1. Le dandy en quête d’une prostituée Le lecteur suit la poursuite et l’atteinte

sur la pêche, du rouge sur la joue, un soleil qui sort de dessous la terre. » • Les masques du théâtre antique amplifient et déforment voix et visages pour mieux souligner l'identité du personnage. De même, les costumes prennent une valeur symbolique : le traître est vêtu de noir et porte un large chapeau qui lui couvre le visage pour mieux montrer sa vilenie. • La commedia dell'arte abonde en codes simples qui permettent au spectateur de se repérer et de comprendre les enjeux de l'intrigue

femme ambiguë, d’une beauté insolente mais aussi inquiétante. Nous nous attacherons tout d’abord au cheminement symbolique du héros sur les pas de la prostituée dont il a conscience qu’elle l’entraîne sur un chemin de perdition, puis nous nous pencherons sur ce portrait d’une femme à la séduction provocante mais qui ne laisse cependant pas d’être inquiétante. I. Un cheminement symbolique : un chemin de perdition 1. Le dandy en quête d’une prostituée Le lecteur suit la poursuite et l’atteinte de

femme ambiguë, d’une beauté insolente mais aussi inquiétante. Nous nous attacherons tout d’abord au cheminement symbolique du héros sur les pas de la prostituée dont il a conscience qu’elle l’entraîne sur un chemin de perdition, puis nous nous pencherons sur ce portrait d’une femme à la séduction provocante mais qui ne laisse cependant pas d’être inquiétante. I. Un cheminement symbolique : un chemin de perdition 1. Le dandy en quête d’une prostituée Le lecteur suit la poursuite et l’atteinte de la

important de la culture. En pratiquant la lecture, l’enseignant doit aider les étudiants à augmenter leur compétence de compréhension, d’appréciation et d’analyse des œuvres littéraires et aussi à saisir des techniques de la lecture »(3). Dans les objets d’étude de « La littérature française », l’enseignement de la littérature est intégré dans celui de la langue. En Chine, pour approfondir l’étude de la langue française, un apprentissage, ou  au minimum, une connaissance générale de la littérature

image tragique de l’homme, seul dans un monde dépourvu de sens ; absurdité de la condition humaine et difficulté de communication entre les hommes. Genres dominants : le roman (Sartre, La Nausée, Camus, L’Étranger) ; le théâtre (Ionesco, La Cantatrice chauve, Rhinocéros, Le roi se meurt ; Beckett, En attendant Godot...). le Nouveau Roman dénonciation du roman réaliste, remise en cause des règles du récit et de l’unité des personnages. Genre dominant : le roman (Alain Robbe-Grillet, La Jalousie

472 (ES/S) p. 592 (L/ES/S) Les comparaisons donnent une deuxième personnalité aux deux personnages : le Pharaon et Madame Thénardier. En cela, ils sont des monstres, êtres composites. Le Pharaon est, par le biais de comparaisons qui renvoient à des objets ou des matières, déshumanisé : – casque allongé en mitre ; – la conque de l’oreille ; – un semis de points semblables à des prunelles d’oiseau ; – formés de trois cercles noirs, blancs et rouges ; – comme le granit rose travaillé par un ouvrier habile ;

472 (ES/S) p. 592 (L/ES/S) Les comparaisons donnent une deuxième personnalité aux deux personnages : le Pharaon et Madame Thénardier. En cela, ils sont des monstres, êtres composites. Le Pharaon est, par le biais de comparaisons qui renvoient à des objets ou des matières, déshumanisé : – casque allongé en mitre ; – la conque de l’oreille ; – un semis de points semblables à des prunelles d’oiseau ; – formés de trois cercles noirs, blancs et rouges ; – comme le granit rose travaillé par un ouvrier habile ;

tout moment même dans les moments de joies où on ne s’y attend pas, il faut prendre exemple sur les Egyptiens (ils apportaient des cadavres lors de leurs festins afin de se rappeler que la mort rode autour d’eux), et toujours porter près de nous des objets qui nous rappellent que la mort est près de nous. Intermède latin : Il faut vivre le jour dans lequel on est levé comme si c’était notre dernier jour sur Terre. Quatrième paragraphe : Celui qui sait mourir est affranchit de toute relation de sujétion