Obamacare

[MASTER 2 MIPTM – IAE LYON] Obamacare Une réforme du système de santé aux Etats‐Unis Etude d’une loi et ses conséquences Xue CHEN, Robin DURAND, Nathalie RENJEL, Mathilde TERSIGUEL [05/03/2013] Sommaire I. Processus d’adoption d’une réforme aux Etats Unis ............................................................................... 6 1. La répartition des pouvoirs ................................................................................................................. 6 a) Le pouvoir

hcsp.fr/Explore.cgi/Telecharger?NomFichier=ad710912.pdf http://www.contrepoints.org/2013/11/15/146362-obamacare-de-plus-en-plus-impopulaire-a-cause-des-problemes-du-site-web http://www.mediapart.fr/journal/international/191113/obamacare-la-reforme-sante-vire-au-cauchemar http://fr.euronews.com/2013/09/29/vers-un-report-d-obamacare/http://fr.euronews.com/2013/09/29/vers-un-report-d-obamacare http://www.lexpress.fr/actualite/monde/amerique/la-reforme-de-la-sante-d-obama-validee-par-la-cour-supreme_1131999

en s'attaquant à l'"Obamacare", surnom de la réforme du système de santé portée par Barack Obama, dont un pan majeur entre en vigueur le 1er octobre. Le président est clair : il ne cèdera pas sur cette loi – et il n'a effectivement pas cédé. Après plusieurs heures de débat lundi, aucun accord n'a finalement été trouvé entre les deux partis. En revanche, le volet majeur de l'Obamacare est entré en vigueur comme prévu. Lire : "Le volet le plus important de l''Obamacare' survit au 'shutdown'"

la création d'emplois Stopper la création de nouvelles réglementations sur le travail et l'industrie qui défavorisent l'économie Américaine Protéger les salariés et les employeurs en diminuant le pouvoir des syndicats Supprimer et remplacer "ObamaCare" pour un système qui améliore la qualité et se concentre sur une diminution des coûts pour les consommateurs.     Santé Faire de la santé un véritable marché libre afin de diminuer les coûts et augmenter la qualité des soins. Garantir le financement

majoritaire depuis les élections de novembre 2010, a adopté dimanche un projet de budget qui permettrait au gouvernement de payer ses factures jusqu'au 15 décembre. Ce texte exige le report d'un an de l'entrée en vigueur de la loi sur la santé, l'«Obamacare», réforme emblématique du président démocrate, honnie par les républicains. Pour la Maison-Blanche, pas question de reporter l'Obamacare. Le Sénat, à majorité démocrate, a rejeté lundi soir le projet de loi de la Chambre. L'année budgétaire, qui

polarisé A) Les effets de la polarisation - La «vague de polarisation» oblige l'électeur à choisir un camp politique et vote pour l'ensemble de ses politiques - Il est donc difficile pour les députés de commencer à compromettre (par exemple Obamacare.), de peur de ne pas représenter les souhaits de ses électeurs et donc ne pas être réélus B) Le bipartisme: Situation idéale pour les centristes/ modérés - Le terme «bipartite» est en train de prendre sa place dans le «Dictionnaire de la rectitude

une masse commune. CHAPITRE VI "Les Américains ont reconnu aux juges le droit de fonder leur arrêts sur la constitution plutôt que sur les lois" (peuvent ne pas appliquer les lois qu'ils trouvent anticonstitutionnelles) Ex. récemment, la loi Obamacare pour la santé au États-Unis soumis devant les juges de la cour suprême pour la constitutionalité de la loi. Jugée constitutionnelle en fin de compte. PARTIE 2 Liberté: CHAPITRE I CHAPITRE III En France meilleure qualité de journalistes et

d'infrastructures dans les transports. * Sa politique intérieure : La santé _ Pas de réforme majeure de la sécurité sociale du fait de la mesure phare de son premier mandat, un système national d'assurance santé par redistribution nommé Obamacare. Le point essentiel de cette loi est l'obligation pour tout Américain d'être muni d'une assurance. _ Cependant il prône une couverture universelle obligatoire pour les enfants. Il est fortement opposé à la privatisation de la Sécurité Sociale et

dépenses qu'ils jugent superflues et causant une hausse de leurs impôts (ce qui est d'ailleurs particulièrement le cas des plus riches, qui devront payer proportionnellement plus d'impôts qu'auparavant selon le plan de taxation relié entre autres au Obamacare). Cette déclaration faite lors du State of the Union peut donc être vue comme une tentative de regagner le cœur des électeurs, perdu en raison des dépenses de l'État, jugées trop élevées. Finalement, force est de reconnaître que cette déclaration

financière de 2008. Bref, la classe moyenne ne peut pas compter sur le gouvernement pour lever le petit doigt pour elle. Quand une mesure sociale passe, c'est toujours un truc plein de consensus dont l'effet est quasiment insignifiant. Prenez la Obamacare par exemple. Elle ne procure par une assurance maladie gratuite et universelle pour tous les américains. Elle facilite juste l'accès à l'assurance maladie mais il faut toujours la payer de sa poche ou de celle de l'employeur s'il est généreux (ce