Nuria Monfort

constamment pas les apartés , s’intéresse aux personnages et voit mieux leurs caractères et leurs sentiments, cette tonalité n’est pas strictement comique, il y entre des éléments de pathétique. Dans la mise en scène de Jean-Louis Thamin (Théâtre Silvia Monfort, Paris, 2005), l’évanouissement surjoué de Dorante provoque cependant les rires du public : tout peut dépendre de l’interprétation !

Silvia Monfort, de son vrai nom Simonne Marguerite Favre-Bertin, comédienne française et directrice de théâtre, née à Paris le 6 juin 1923, morte dans cette ville le 30 mars 1991. Fille du sculpteur Charles Favre-Bertin et épouse de Pierre Gruneberg, cette comédienne a été une militante du théâtre populaire. Elle a été nommée chevalier de la Légion d'honneur en 1973, officier des Arts et Lettres en 1979 puis commandeur des Arts et Lettres en 1983. Elle est inhumée au cimetière du Père-Lachaise

ce dernier, s'enfuit et tombe sur Fermin Romero de Torres, un semiclochard à la langue bien pendue. Il retourne ensuite cacher le livre de Carax au Cimetière des Livres oubliés. Isaac lui en apprend un peu plus sur Carax. On apprend que sa fille, Nuria, a été en contact avec lui. Le lendemain, Daniel reçoit un super stylo (soi-disant de Victor Hugo) Trompeuses apparences Devant embaucher un nouvel employé dans leur libraire, les Sempere font appel à Fermin Torres. Recherché par l'inspecteur Fuméro

Neri : • Dans le livre : « La place San Felipe Neri, cachée derrière les antiques murailles romaines, n’est qu’un simple répit dans le labyrinthe des rues dont est tissé le quartier gothique. » page 212. • Circonstance : Daniel se rend chez Nuria Monfort, grâce au père de celle-ci qui lui a donné son adresse lors de la visite de Daniel au cimetière des livres oubliés pour cacher le livre de Julian CARAX. • Recherche personnel : La place San Felipe Neri se situe dans le Quartier Gothique de la

205 à 214 : Ils continuent de discuter a ce sujet puis chacun partent un par un. Dans l'après-midi Danniel doit aller voir Bea mais avant il passe chez Nuria, fille d'Issac. 7 → 215 à 229 : Il discute avec Nuria Monfort du passé et notamment de la mort de Juliàn Carax en 1936, sont père n'a pas voulu le reconnaître et ces seuls amis Nuria et l'éditeur M. Cabestany n'était même pas au courant qu'il était revenu sur Barcelone. Lain Coubert est le diable, c'est bien lui qui a voulu acheter

qui est ce Julian Carax, dont quelqu'un cherche à brûler tous les livres? Pourquoi une ombre le suit depuis la découverte du roman? Fermin et lui arriveront-ils à échapper à l'inspecteur Fumero qui ne cesse de les poursuivre? Qui sont réellement Nuria Monfort, Julian et ses camarades de classe, Pénélope Aldaya?... et encore plus important : Qu'elles sont leurs Véritables Histoires? Nous sommes dès lors embarqués dans une aventure traversant les époques et les vies, dont la résolution dépassera tous

livre : Daniel est contraint de descendre du tramway au coin de cette rue car il n’a pas acheté de ticket pour aller à la résidence de la famille Aldaya. XIV) Place San Felipe Neri : Pages 211-212 ; 432 ; 468 Dans le livre : C’est là qu’habite Nuria Monfort, La fille d’Isaac, qui avait caché un exemplaire de chaque livre de Julian Carax dans le cimetière des livres oubliés pour ne as que l’homme au visage brulé ne les détruise. Plus tard il y rencontrera Isaac. Recherches personnelles : Dans le Quartier

« 1945-1949 : Jours de cendre », « 1950-1952 : Malheur et compagnie »). La seconde s’intéresse aux apprentissages, l’habitude est respecté dans l’œuvre, les chapitres suivants (« 1953 : Trompeuses apparences », « 1954 : Ville d’ombres », « 1933-1955 : Nuria Monfort : mémoire des revenants », « L’ombre du vent ») portent sur les difficultés que rencontre Daniel dans son enquête, difficultés qui le rendent plus mature, il dit lui-même : « Je me sentais plus sage et moins Daniel ». La troisième partie théorique

qui vient chercher les amateurs d’histoire d’amour. Un côté dramatique est aussi présent ; le deuil du père Sempere, le côté nostalgique de plusieurs personnages dont ce père et Jacinta, la forte jalousie de Nuria et de Fumero, la découverte tragique de secrets comme ceux gardés par Mme Monfort, et la mort omniprésente de plusieurs personnages, comme Penelope. A cela s’ajoute un côté criminel et mystérieux, où d’autres thèmes comme le crime et la vengeance sont véhiculés. Tout cela fait en sorte qu’il