Nuque

Val C'est un trou de verdure où chante une rivière, Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le

dessinait bien sa taille souple et sa poitrine grasse. La chair des bras et de la gorge sortait d'une mousse de dentelle blanche dont étaient garnis le corsage et les courtes manches ; et les cheveux relevés au sommet de la tête, frisant un peu sur la nuque, faisaient un léger nuage de duvet blond au-dessus du cou. Duroy se rassurait sous son regard, qui lui rappelait sans qu'il sût pourquoi, celui de la fille rencontrée la veille aux Folies-Bergère. Elle avait les yeux gris, d'un gris azuré qui en rendait

lorsque vous amenez la barre au niveau de l'épaule. 4 Series : 1 série de 9 répétitions à 60%. 24kg (1 série de 9 répétitions à 60%. 24kg) 1 série de 8 répétitions à 65%. 25kg 1 série de 7 répétitions à 70%. 27kg EPAULES Développé nuque {text:soft-page-break} {draw:frame} TRAPEZES Haussement d'épaules {draw:frame}

Je suffoque. Mon cœur se serre. Ma nuque se paralyse. Que se passe-t-il? Je crois avoir perdu la vue également, tout n'est que mouvements et ombres autour de moi. Qu'est devenu la grande ville qui m'entourait auparavant? Elle semble partie en fumée en même temps que je l'ai fait. Je semble n'être que dans un rêve mais la sensation d'engourdissement que je ressens, ces questions que je me pose, cette panique qui me tord les boyaux, ce sang que je sens couler de ma bouche entrouverte et que je ne saurais

dormeur du Val C'est un trou de verdure où chante une rivière,Accrochant follement aux herbes des haillonsD'argent ; où le soleil, de la montagne fière,Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons.Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue,Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant commeSourirait un enfant malade, il fait un somme :Nature, berce-le chaudement

Lennie et part à sa recherche avec les hommes du ranch. George part de son côté retrouver Lennie au lieu de ralliement prévu entre eux en cas de "problème". Sachant que son ami est condamné et ne voulant pas qu'il souffre, il le tue d'une balle dans la nuque

dans la pouponnière, dans son berceau. L’Auxiliaire de Puériculture se lave les mains, prépare le matériel et les vêtements propres de l’enfant dont elle a besoin. Une fois terminée, elle se relave les mains et récupère l’enfant, une main sur la nuque, l’autre sur le dos, puis pose le nouveau né sur la table à langer délicatement. L’auxiliaire vérifie la température de l’eau du bain une première fois puis déshabille le bébé, lui prend sa température et le pèse. Le nouveau né se raidit, commence

Ce poème est un sonnet composé de 2 quatrains ainsi que de 2 tercets.  La nature est omniprésente dans le 1 er quatrains et dans le 2 ème  tercets .   Cette oeuvre sollicite tout les sens ( du mot olfactif jusqu'au mot  parfum  vers 12) . Du mot tactile jusqu’à la phrase “nuque baignant dans le frais  cresson bleu” vers 6. Ce poème donne une impression de luminosité.  Grâce aux champs lexical de la lumière et aux métaphores. Mais on y  voit aussi la mort : “ deux trous rouge au coté droit” au allitération en “R”  et aux oxymores qui marque à partir de là

 Sur l’herbe  L'abbé divague. - Et toi, marquis, Tu mets de travers ta perruque. - Ce vieux vin de Chypre est exquis Moins, Camargo, que votre nuque. - Ma flamme... - Do, mi, sol, la, si, L'abbé, ta noirceur se dévoile! - Que je meure, mesdames, si Je ne vous décroche une étoile! - Je voudrais être petit chien! - Embrassons nos bergères, l'une Après l'autre. - Messieurs, eh bien? - Do, mi, sol. - Hé! bonsoir la Lune « Le déjeuner sur l’herbe », de Manet 1863

curiosité des voisines. Entre les volets rapprochés, Jean Pélouyere vit il -près de Mme. d'Artiailh, aiguë et grêle et qui filait l'arrière-train de coté, comme les chiens- cette robe de Noémi, cette robe un peu fripée qui ne s'épanouirait plus, cette nuque fléchie, fleur moins vivante, fleur déjà coupée ? p.53-54