Nuits de Fourvière

quittés Deux matelots qui ne s'étaient jamais parlé Le plus jeune en mourant tomba sur le côté O vous chers compagnons Sonneries électriques des gares chant des moissonneuses Traîneau d'un boucher régiment des rues sans nombre Cavalerie des ponts nuits livides de l'alcool Les villes que j'ai vues vivaient comme des folles Te souviens-tu des banlieues et du troupeau plaintif des paysages Les cyprès projetaient sous la lune leurs ombres J'écoutais cette nuit au déclin de l'été Un oiseau langoureux

quittés Deux matelots qui ne s'étaient jamais parlé Le plus jeune en mourant tomba sur le côté O vous chers compagnons Sonneries électriques des gares chant des moissonneuses Traîneau d'un boucher régiment des rues sans nombre Cavalerie des ponts nuits livides de l'alcool Les villes que j'ai vues vivaient comme des folles Te souviens-tu des banlieues et du troupeau plaintif des paysages Les cyprès projetaient sous la lune leurs ombres J'écoutais cette nuit au déclin de l'été Un oiseau langoureux

quittés Deux matelots qui ne s'étaient jamais parlé Le plus jeune en mourant tomba sur le côté O vous chers compagnons Sonneries électriques des gares chant des moissonneuses Traîneau d'un boucher régiment des rues sans nombre Cavalerie des ponts nuits livides de l'alcool Les villes que j'ai vues vivaient comme des folles - 43 - Te souviens-tu des banlieues et du troupeau plaintif des paysages Les cyprès projetaient sous la lune leurs ombres J'écoutais cette nuit au déclin de l'été Un oiseau

quittés Deux matelots qui ne s’étaient jamais parlé Le plus jeune en mourant tomba sur le côté Ô vous chers compagnons Sonneries électriques des gares chant des moissonneuses Traîneau d’un boucher régiment des rues sans nombre Cavalerie des ponts nuits livides de l’alcool Les villes que j’ai vues vivaient comme des folles Te souviens-tu des banlieues et du troupeau plaintif des paysages Les cyprès projetaient sous la lune leurs ombres J’écoutais cette nuit au déclin de l’été Un oiseau langoureux

puis en tournée en France) Minetti de Thomas Bernhard avec Michel Bouquet (Théâtre des Célestins, Festival d’Avignon, Théâtre de la Ville – 2002, puis en tournée en France jusqu’en juin 2003) Le songe d’une nuit d’été de William Shakespeare (Nuits de Fourvière, Grand Théâtre – 2002) Cairn d’Enzo Cormann (Théâtre des Célestins, Théâtre de la Commune d’Aubervilliers, Comédie de Genève – 2003, 1ère création en France) Monsieur chasse ! de Georges Feydeau (Maison de la Danse à Lyon – 2004, puis Théâtre

qui ne s'étaient jamais parlé Le plus jeune en mourant tomba sur le côté Ô vous chers compagnons Sonneries électriques des gares chant des moissonneuses Traîneau d'un boucher régiment des rues sans nombre Cavalerie des ponts nuits livides de l'alcool Les villes que j'ai vues vivaient comme des folles Te souviens-tu des banlieues et du troupeau plaintif des paysages Les cyprès projetaient sous la lune leurs ombres J'écoutais cette nuit au déclin de l'été

jamais parlé Le plus jeune en mourant tomba sur le côté Ô vous chers compagnons Sonneries électriques des gares chant des moissonneuses agrandir l’image Guillaume Apollinaire Traîneau d'un boucher régiment des rues sans nombre Cavalerie des ponts nuits livides de l'alcool Les villes que j'ai vues vivaient comme des folles Te souviens-tu des banlieues et du troupeau plaintif des paysages Les cyprès projetaient sous la lune leurs ombres J'écoutais cette nuit au déclin de l'été Un oiseau langoureux

quittés Deux matelots qui ne s'étaient jamais parlé Le plus jeune en mourant tomba sur le côté O vous chers compagnons Sonneries électriques des gares chant des moissonneuses Traîneau d'un boucher régiment des rues sans nombre Cavalerie des ponts nuits livides de l'alcool Les villes que j'ai vues vivaient comme des folles Te souviens-tu des banlieues et du troupeau plaintif des paysages Les cyprès projetaient sous la lune leurs ombres J'écoutais cette nuit au déclin de l'été Un oiseau langoureux

plutôt que l’abbé Cotin — le modèle de ce Trissotin, trois fois Cotin et trois fois sot, qui donna effectivement un temps son nom à la pièce, au témoignage de Mme de Sévigné, entre autres. Ce Trissotin-les Femmes savantes avait été créé pour les Nuits de Fourvières, en juin 2015, enregistré par la télévision d’État Les vieux (pardon, Vincent Winterhalter, parfait Chrysale magnifiquement pleutre ! Pardon, Marie-Armelle Deguy, splendide Philaminte et harpie ménagère !) s’en tirent mieux. Mais ce ne sont

qui ne s'étaient jamais parlé Le plus jeune en mourant tomba sur le côté Ô vous chers compagnons Sonneries électriques des gares chant des moissonneuses Traîneau d'un boucher régiment des rues sans nombre Cavalerie des ponts nuits livides de l'alcool Les villes que j'ai vues vivaient comme des folles Te souviens-tu des banlieues et du troupeau plaintif des paysages Les cyprès projetaient sous la lune leurs ombres J'écoutais cette nuit au déclin de l'été