Nuit des Longs Couteaux

Cristal (Novembre 1938) = violent pogrom - Dachau (1933) = camps d’extermination. - Auschwitz-Birkenau  = camps d’extermination. - Nuit des Longs Couteaux (Juillet 1934) = assassinats perpétrés par les nazis au sein même de leur mouvement (contre SA). Führer (= chef/guide) pour désigner Hitler. Endoctrinement de la jeunesse Hitlérienne. Le mouvement

d’autre part les complicités que d’Annunzio a pu rencontrer auprès de responsables politiques. Mussolini, qui a bien observé le déroulement de cette affaire, en tire alors les leçons. Il retient par exemple le rituel que d’Annunzio a mis en place : les longs dialogues avec la foule, l’uniforme noir des Arditis… Il retient surtout la formule qui lie le sentiment national aux préoccupations sociales. Mais il se rend aussi compte de la nécessité d’avoir à sa disposition une organisation politique disciplinée

Nous sommes-nous déjà rencontrés, Ruth? — Je ne crois pas. Ruth était convaincue qu'elle avait un visage banal, un nez retroussé, des yeux gris... On pouvait très bien le confondre avec celui de quelqu'un d'autre. Son seul trait remarquable était ses longs cheveux épais, couleur châtaigne, qu'elle gardait généralement relevés en queue-de-cheval. — Mais j'ai vécu à Denver la plus grande partie de ma vie, reprit-elle. Il est possible que nous nous soyons croisés. — J'ai l'impression de vous avoir déjà

suprêmes, Le Poète apparaît en ce monde ennuyé, Sa mère épouvantée et pleine de blasphèmes Crispe ses poings vers Dieu, qui la prend en pitié : – « Ah ! que n’ai-je mis bas tout un nœud de vipères, Plutôt que de nourrir cette dérision ! Maudite soit la nuit aux plaisirs éphémères Où mon ventre a conçu mon expiation ! Puisque tu m’as choisie entre toutes les femmes Pour être le dégoût de mon triste mari, Et que je ne puis pas rejeter dans les flammes, Comme un billet d’amour, ce monstre rabougri, Je ferai

suprêmes, Le Poète apparaît en ce monde ennuyé, Sa mère épouvantée et pleine de blasphèmes Crispe ses poings vers Dieu, qui la prend en pitié : – « Ah ! que n’ai-je mis bas tout un nœud de vipères, Plutôt que de nourrir cette dérision ! Maudite soit la nuit aux plaisirs éphémères Où mon ventre a conçu mon expiation ! Puisque tu m’as choisie entre toutes les femmes Pour être le dégoût de mon triste mari, Et que je ne puis pas rejeter dans les flammes, Comme un billet d’amour, ce monstre rabougri, Je ferai

suprêmes, Le Poète apparaît en ce monde ennuyé, Sa mère épouvantée et pleine de blasphèmes Crispe ses poings vers Dieu, qui la prend en pitié : – « Ah ! que n’ai-je mis bas tout un nœud de vipères, Plutôt que de nourrir cette dérision ! Maudite soit la nuit aux plaisirs éphémères Où mon ventre a conçu mon expiation ! Puisque tu m’as choisie entre toutes les femmes Pour être le dégoût de mon triste mari, Et que je ne puis pas rejeter dans les flammes, Comme un billet d’amour, ce monstre rabougri, Je ferai

occultée par la réaction que suscita sa première représentation. Aujourd’hui encore, l’intrigue d’Hernani est largement méconnue : rares sont ceux chez qui ce titre rappelle la légende des deux amants qui meurent volontairement par le poison la nuit de leurs noces, ou la fable d’un bandit qui retrouve son rang à la cour d’Espagne. Dans la plupart des esprits, Hernani évoque une formidable bataille littéraire, une date décisive dans la lutte mythique qui opposa les classiques aux romantiques

juan »· date : 1867· Genre : nouvelleRésumé de l’œuvre le pouvoir diabolique d'une sensation de la honte et du peche Comme c'est toujours le cas de Barbey d'Aurevilly, il raconte ses souvenirs, ceux de la jeunesse qui ont pour decor soit la nuit, soit le petit matin, donc une periode ou les sens sont epuises au bout d'une veillee forcee de plaisir ou de volupte ou dans l'attente de l' inconnu sous la forme d'un voyage. Ce conte met en scene un souper, un drole de souper organisees par douze

|63 | |Gonzague-Pelletier Louise de, Mon Qébec |64 | |Grandbois Alain, « Que la nuit soit parfaite » |65 | |Haeck Philippe, Pour l'action (extraits) |66

travailles-tu, McCoy ? Un sourire finaud apparut sur le visage de Willie, comme s’il savait quelque chose que j’aurais dû savoir aussi. — Ça ne te regarde pas. Il y a beaucoup de fric en jeu. Pour enquêter sur ces meurtres, nous cherchons un oiseau de nuit. — J’ai vu les cadavres, Willie. Et j’ai donné mon avis à la police. — Ton analyse ? Les mains posées à plat sur mon bureau, il se pencha en avant. Ses ongles étaient blancs, presque exsangues. — J’ai fait un rapport complet, que j’ai remis aux flics