Nourrir La Planète

CHOUBI à BEDEL, à Bragrabroute Je suis en région Parisienne depuis trois mois maintenant et je suis impatient de renter vous raconter les plus grands détails de ce que j’ai vécu. Lorsque l’on compare notre planète à la leur, on préfère nettement rester chez nous. Nous sommes joviale et tous solidaire. On vit au jour le jour, chaque jour est notre dernier. On n’a pas besoin de se préoccuper de ce que va nous donner notre voisin puisque l’on sait qu’il nous donnera sans attendre quelque chose

les travers de leur temps et nourrir des espoirs pour des lendemains meilleurs.    Espoirs?   Certains voudront se moquer des rêves fous de ces penseurs en traitant leurs projets d’« utopiques », c’est-à-dire d’« irréalisables » ou de «chimériques ». Qu’à cela ne tienne!   L’adversité les fera redoubler d’ardeur dans cette conquête du pays à bâtir dont les contours se reconnaissent d’emblée à ce qui suit :   [pic]      Un lieu retiré Les îles, les forêts ou les planètes éloignées sont des lieux privilégiés

moyenne de la planète tels que les mammifères, les oiseaux, et les reptiles de grande taille comme le crocodile ou l’alligator. Peut-être que certaines seront sauver grâce au zoo. Par exemple l’éléphant, une espèce emblématique. Mais certaines espèces comme les « sans-grades » qui sont des espèces non-connus des scientifiques disparaissent sans bruit. l’HOMME DANS TOUT ça ? L'être humain modifie énormément son environnement. Celui-ci agit sur la quasi-totalité de la surface de notre planète et même

laissent tomber trop d'enfants et chaque jour apporte de nouvelles preuves que la façon dont nous utilisons l'énergie renforce nos adversaires et menace notre planète. Ce sont les signes de la crise en termes statistiques. Mais, si elle n'est pas aussi tangible, la perte de confiance dans tout le pays n'en est pas moins profonde, nourrie de la crainte tenace que le déclin de l'Amérique soit inévitable et que la prochaine génération doive diminuer ses ambitions. Je vous dis aujourd'hui que les

sein de la Voie lactée, plusieurs générations d’étoiles se sont succédé. Le Soleil s’est condensé une dizaine de milliards d’années plus tard, soit, en reprenant le chronomètre à partir du présent, il y a 5 milliards d’années. Assez rapidement, les planètes se sont agglomérées, les datations les plus précises sur l’âge de la Terre indiquant 4,56 milliards d’années. La vie aquatique a surgi dès que l’intense bombardement météoritique initial a cessé et que la Terre s’est refroidie : des organismes monocellulaires

Une nécessité de plus en plus forte de souscrire à une assurance-dépendance En cette année 2012, notre planète a atteint les sept milliards d’habitants. Ce nouveau record est dû notamment à une longévité en hausse de nos seniors grâce aux améliorations faites dans la médecine, dans le confort quotidien et dans les aides aux personnes. Ce phénomène de papy-boom génère donc une augmentation du nombre de personnes âgées, qui en vieillissant perdent parfois leur autonomie. Aujourd’hui près d’un

dʼautres congénères pour résister aux maux de la Nature toute puissante. Les humains se regroupent donc, et créent les conditions dʼune vie sociale. Ce sont les premières sociétés primitives : la famille sʼimpose comme la base de vie puisquʼil faut nourrir les bébés, sʼen occuper, et répondre aux autres besoins de la bande ou de la tribu. Ces sociétées là sont nomades et répondent à leurs besoins vitaux de survie. Jean-Jacques Rousseau montre quʼensuite apparaît une vie sociale plus organisée, sédentaire

fabriquer des outils, afin de chasser par exemple. Ainsi l’Homme a pu apprendre à maitriser la nature. C’est le travail qui fait que l’Homme se différencie de l’animalité. Ainsi, le première fin recherchée lorsque l’on travail est de pouvoir se nourrir. Vient ensuite la nécéssitée de se loger (fabriquer un abri) etc. Afin de subvenir à ses besoins les plus basiques, l’Homme doit de toutes manières travailler. Le problème à la maitrise de cette nature est que l’Homme se sent au-dessus de celle-ci

oui,mais on dépense beaucoup plus d'argent à détruire qu 'à nourrir,des sommes considérables sont consacrées à la guerre ou à sa préparation font une ponction très importante dans les budgets nationaux et viennent annihiler une grande partie des efforts déployés pour éradiquer la pauvreté,les budgets militaires ne cessent d'augmenter en repoussant ainsi à plus tard la poursuite des objectifs de l’ONU pour l’établissement de la paix ou son maintien par un développement économique juste, équitable

profondeur. 2. La vie dans les abysses. On a longtemps pensés que la vie y était impossible, pourtant dans les années 70, on y a découvert une forme de vie. A présent, nous savons que les abysses représentent le plus grand habitat de la planète. Ces animaux se nourrissent des détritus organiques tombant du dessus. Il s’agit de la neige abyssale : elle correspond aux apports en matière organique. On trouve des invertébrés et des poissons sur les fonds, des poissons parfois bioluminescents