Notre Liberté Est Elle Un Fardeau Philosophie

Bac Blanc n°2 Philosophie Explication de texte Analyse du texte de Séneque, De la brieveté de la vie Dans la foule des vieillards = > jugement dépréciatif : pk ? J’ai = > intentions personnelles, pensées de l’auteur Envie = > désir : pk ? Attraper = > violence Un = > pas plusieurs, un seul suffit De lui dire = > dialoguer, transmettre un message (nature ?) « Nous te voyons = > je + toi Qui ? Association à sa pensée Arrivé au terme de la vie humaine

PHILOSOPHIE Le refus de travail a-t-il un sens ? Le refus du travail est-il uniquement une décision de rester inactif ? Les grèves par exemple, sont une expression de refus de travailler dans un but précis, celui de faire pression sur des dirigeants de société ou sur un gouvernement. Ce cas de refus de travail temporaire permet d’affirmer un mécontentement, de rejeter certaines décisions. Toutefois, c’est l’individu qui ressentira l’impact du refus de travailler plus que la société, il perdra

ces possibles ultimes sont ceux qui doivent toujours nous être présents lorsqu'il s'agit d'envisager une situation. Faute de m'y être soustrait, je l'ai choisie. » SARTRE, L'Être et le Néant, Gallimard Philosophie Sartre utilise dans cet extrait plusieurs notions qui sont la liberté, les choix et leurs responsabilités. Ce texte suppose que comme je suis libre ce qui m'arrive ne peut venir que de moi. Tout d'abord, l'auteur annonce comme une vérité générale que tout homme est libre. Ensuite

NOM ET PRENOM : NASSIBA ANOUN NUMERO DU GROUPE : 3010 TITRE DU COURS : PHILOSOPHIE L’AMOUR SELON LYSIAS « Un autre point. Ceux qui sont amoureux font le bilan en considérant et celles de leurs affaires qu’ils ont mal réglées du fait de leur amour et le bien qu’ils ont fait; et, parce qu’ils y ajoutent la peine qu’ils ont prise, ils estiment qu’ils ont depuis longtemps acquitté leur dette de reconnaissance envers ceux qu’ils aiment. Au contraire, ceux qui n’aiment pas n’ont lieu

d’oublier est une nécessité pour l’H. On ne peut pas vivre face à sa finitude mais la façon dont on cherche à l’oublier est contingente. Ne cherche t on pas à fuite cette conscience à travers diverses passions ? Penser est exceptionnel mais c’est un fardeau. Penser fait souffrir (penser nous empêche-t-il d’être heureux ?). On envie parfois l’insouciance des enfants ou des animaux qui ne savent pas la mort. Le divertissement nous éloigne de ces préoccupations. On se cache ce qui nous effraie. Pourquoi

concepts clés de notre argumentation. Nous allons donc effectuer une analyse conceptuelle, et nous argumenterons sur cette thèse, qui représente pour nous une grave erreur de jugement. En premier lieu, selon le dictionnaire philosophique La philosophie de A à Z, la morale provient du latin mores, « mœurs » et spécialement de moralis. La morale est une doctrine raisonnée indiquant les fins que l’homme doit poursuivre et les moyens d’y parvenir. La morale nous aide aussi à répondre aux questions

l’idée de liberté comme absence de contrainte : pour être libre, il faudrait ne pas avoir de passé. Mais la liberté peut être conçue autrement : comme autonomie, pouvoir de décider et d’agir par soi-même avec raison, ce qui exige connaissance et maîtrise de soi. Le passé ici semble nécessaire : mon passé me caractérise et donne sens à mon histoire individuelle, il est moi. D’où la question posée par le sujet : peut-on vraiment penser qu’un homme sans passé puisse être libre ? Sa liberté ne se

* Zaza (Élisabeth Mabille), sa meilleure amie qui lui a fait abandonner son personnage d’enfant sage. Sa mort tragique culpabilisera beaucoup De Beauvoir, qui, ayant cessé de croire en Dieu bien des années auparavant, pensait avoir payé sa liberté de la mort de Zaza. * Après la première G.M., son grand-père est déclaré banqueroutier, La famille baisse d’un rang social et est contrainte de changer de mode de vie en commençant par déménager dans un appartement beaucoup moins cossu. Son père

suicide. Juger la vie vaut ou ne vaut pas la peine d’être vécue, c’est répondre à la question fondamentale de la philosophie ? » Voici en effet l’une des questions la plus fondamentale en philosophie qui, jusqu’à date, n’a pas encore été épuisée et à laquelle une réponse ferme mérite d’être apportée : La vie vaut-elle la peine d’être vécue ? Jean Paul Sartre dans Les chemins de la liberté a fait cette assignation : « Je n’essayais pas de reprendre mon existence à mon compte, ça me semblerait tellement

sens, elle est donc un perpétuel travail. Et avant tout, toute naissance d’un être humain est annoncée par les douleurs de l’enfantement qu’on appelle « travail » ( salle de travail ) MAIS Le travail n’est-il pour l’homme qu’un mal nécessaire, un fardeau dont il faudrait s’accommoder ? Est-il par définition 1'activité exercée à contrecœur, malgré soi, alors que le jeu serait au contraire la seule activité libre ? chacun sait aussi combien on peut être fier d’un travail bien fait, de sa réussite