Notre Jeunesse Charles Péguy

clérical, antiparlementaire et anti-intellectuel et est soutenu surtout par la classe moyenne commerçante et le monde paysan. I-Le nationalisme républicain: Maurice Barrès et Charles Péguy Pour le nationalisme républicain, son explication s'articule autour des personnalités de Maurice Barrès et Charles Péguy. Péguy et Barrès font partie de cette génération d'intellectuels, d'écrivains marqués par la défaite de 1871 et la volonté de revanche. Boulangiste à ses débuts Barrès accueille avec enthousiasme

amoureux (1977) La Défaite de la pensée(1987) Le Mécontemporain. Charles Péguy, lecteur du monde moderne (1992) Internet, l'inquiétante extase(2001) L'imparfait du présent. Pièces brèves (2002) Nous autres, modernes : Quatre leçons (2005) La Querelle de l'école (2007) Un cœur intelligent (2009) Et si l'amour durait (2011) L'identité malheureuse(2013) Influencé par Tocqueville, Renan,Rosenzweig, Arendt, Levinas,Lévi-Strauss, Kundera, Péguy A influencé Éric Zemmour, Bérénice Levet,Élisabeth Lévy Adjectifs

masse (ex : Paul Claudel ; Huysmans ; Charles Péguy). Science trouve ses limites : ne peut pas expliquer spiritualité. Engouement pour spiritisme, mages, ésotérisme. Regain d’intérêt pour le catholicisme. • 1ère GM confirme ce renouveau spirituel. Eglises pleines, gds. pèlerinages. • Se poursuit dans les années 1920’. • 2è effet : réconciliation Église/République • 3è effet : expérience, contact Église/République • => Catholicisme social : -Jeunesse Ouvrière Chrétienne (JOC) 1927

2004. ISBN 2252034297. Voir compte rendu p.115. George Sand, Victor Hugo : correspondance croisée, George Sand, Victor Hugo. Présentation Danielle Bahiaoui. HB Éditions, 2004. ISBN 2914581319. Voir compte rendu p.119. Correspondance, Victor Hugo, Charles-Augustin Sainte-Beuve. Éd. établie, présentée et annotée par Anthony Glinoer. Numéro 13, I vol. Champion Slatkine, 2004. ISBN 2745310879. Voir compte rendu p.112. ÉDITIONS Bug-Jargal / Tamango : Histoire d’esclaves révoltés, Victor Hugo, Prosper Mérimée

s’agit d’un mélange hétéroclite de pièces de prose poétique, où l’auteur rend hommage aux peintres hollandais et flamands (Rembrandt, Rubens, Adriaen Brouwer, Adriaen van Ostade, Cornélius Béga…) et à la poésie de François Villon. Si cette œuvre de jeunesse laisse encore deviner l’influence marquée du Romantisme – Gaspard de la Nuit d’Aloysius Bertrand – ou de la poésie moderne – les Petits poèmes en prose de Baudelaire –, elle témoigne cependant déjà d’un véritable talent d’écrivain réaliste et d’un

Sociale F.Ozanam FJT de Lagny et ses Environs FJT François Gomez Relais Jeunes Marne La Vallée Foyer Alsace Relais Jeunes des Prés FJT des Sept Mares FJT Marcel Callo Relais Accueil des J T Les Jeunes de la Plaine Foyer Victor Hugo A.F.J.B. Foyer Jeunesse La Maison d'Hôtes les VALCREAS Foyer les Hypoquets L'APPART' Asso. Logement Jeune 93 Foyer Municipal JT CARA FJT Les Villageoise de Cergy 21 rue Daubenton 7 bis rue Duguay-Trouin 9-11 av Beaucour 25 rue de Maubeuge Bat A Boîte 200 - 20 Bd Voltaire

« OÙ ALLEZ-VOUS JEUNES GENS ? » Émile Zola, « Humanité, vérité, justice. L’Affaire Dreyfus. Lettre à la Jeunesse », Paris, 14 décembre 1897. Repris dans La Vérité en marche, Paris, Bibliothèque-Charpentier, 1901, pp. 39-52. Réédité par Philippe Oriol dans Émile Zola, J’accuse ! et autres textes sur l’affaire Dreyfus, Paris, Librio, 1998, pp. 47-54. 2 Anatole France, funérailles d’Émile Zola, 5 octobre 1902. 25 3 4 Le Temps, 15 novembre 1897. « Le Syndicat » le 1er décembre 1897 et

la construit. Une éducation traditionaliste et érudite Né à Lille en 1890, Charles de Gaulle reçoit de sa famille une éducation conservatrice où catholicisme, patriotisme, admiration de l’Ancien Régime et érudition constituent les principales valeurs. Son père, professeur, le confie aux Jésuites et lui ouvre les portes d’une riche bibliothèque familiale que le jeune Charles dévorera, avec un intérêt particulier pour Péguy, Bergson mais surtout Chateaubriand. S’orientant rapidement vers une carrière

bras qui manquent pour reconstruire (5 millions en Allemagne ; 2 millions en Autriche ; 4 millions en France) et qui deviennent une charge pour la société ; pensez aux « gueules cassées » d’Otto Dix. – la disparition des élites (écrivains : Charles Péguy, Guillaume Apollinaire …) Proportionnellement, plus d’officiers sont morts que de fantassins, ils étaient recrutés dans les professions libérales. Egalement, disparition des forces productives, on pense là aux paysans… – l’angoisse du déclin

plus, les rapports d’influence réciproque entre la littérature et les beaux-arts n’avaient été si serrés, si vivants et si complexes. Pourtant le rôle des personnalités fortes ne s’en est pas trouvé amoindri, bien au contraire. Des créateurs comme PEGUY, CLAUDEL, PROUST, GIDE et VALERY sont proprement inclassables, et chacun d’eux nous a vraiment révélé un univers ; le nom d’APOLLINAIRE résume tout un ensemble d’expériences audacieuses ; le seul surréaliste orthodoxe est peut-être ANDRE BRETON ; JEAN-PAUL