Notre Dame Quasimodo Chapitre V

condamnation (chapitres I-IX). Il décrit sa cellule qui ressemble déjà à un tombeau : sur les murs, les condamnés qui l'ont précédé ont griffonné des inscriptions (chapitres X-XII). Il assiste au ferrage des forçats et à leur départ pour le bagne de Toulon (chapitres XIII-XV). Il entend la complainte en argot que chante une jeune fille (chapitres XVI). Il ne souhaite plus qu'une chose : fuir, s'évader ! (chapitre XVII). On lui apprend que son exécution aura lieu le jour même (chapitres XVIII-XIX).

condamnation (chapitres I-IX). Il décrit sa cellule qui ressemble déjà à un tombeau : sur les murs, les condamnés qui l'ont précédé ont griffonné des inscriptions (chapitres X-XII). Il assiste au ferrage des forçats et à leur départ pour le bagne de Toulon (chapitres XIII-XV). Il entend la complainte en argot que chante une jeune fille (chapitres XVI). Il ne souhaite plus qu'une chose : fuir, s'évader ! (chapitre XVII). On lui apprend que son exécution aura lieu le jour même (chapitres XVIII-XIX).

…مرحبا بكم في موقع الشامل مادة : الفرنسية الدرس| مواقع إضافية | Partager | LE DERNIER JOUR D'UN CONDAMNÉ Présentation du roman Ce roman a été écrit par Victor HUGO en 1829, il est composé de 49 chapitres et il a 97 pages.Victor HUGO traite différents thèmes dans cette œuvre comme la liberté ou l’absence de liberté et la peine de mort à laquelle il s’opposait Victor HUGO parlait ainsi de la guillotine : « L’infâme machine partira de France, nous y comptons, et s’il

oeuvre s'est pleinement déclaré. Autour de 1830 On ne sait pas exactement qui a présenté Nerval à Hugo. Une lettre à Papion du Château fait remonter leurs relations à 1828. On estime que Nerval a commencé à être admis chez Victor Hugo, rue Notre-Dame des Champs, en 1829 : Ulrich Guttinger a noté dans ses mémoires manuscrits, à la date du 27 juin 1829 : "J'ai fait, chez Victor Hugo, la connaissance du jeune traducteur de Faust. C'est un esprit charmant, avec des yeux naïfs, et qui a des idées à

répartie en sept chapitres correspondant chacun à un jour de la semaine, comme les sept trompettes de l’Apocalypse évoquées par Saint-Jean. Et sept est aussi le nombre approximatif des victimes de l’abbaye comme nous le démontrerons. Et puis ces jours sont rythmés selon les différents offices de la journée (Matines, laudes, prime, tierce, sexte, none, vêpres, complies et nuit) ce qui renseigne temporellement le lecteur et le guide mieux dans l’intrigue. Chacun de ces chapitres est introduit par

les sept nains de Grimm. De même, des metteurs en scène ont pu adapter d'autres œuvres littéraires qui existaient déjà, indépendamment du cinéma : la splendeur des tragédies de Shakespeare a tenté un Laurence Olivier, qui porta au cinéma Hamlet, Henri V, Richard III, tout comme elle tourmenta Orson Welles qui s'est emparé de Macbeth et à'Othello. Le théâtre grec a séduit Cacoyannis qui a tiré de la pièce d'Euripide, Electre, un très beau film. Pour citer des œuvres moins "classiques", Alexandre Korda

..................................................................... 24 Les Misérables..................................................................................................................................... 25 Chronologie du combat de V. Hugo contre la peine de mort ................................... 26 Introduction Toute sa vie, Victor Hugo s’est fait le défenseur de l’inviolabilité de la vie humaine à travers ses écrits, ses combats politiques mais également sa production artistique1

du réel, lequel s'exprime à travers le destin des grandes figures de l’Histoire. Quant à Hugo, il même au détail pittoresque le souffle épique et une atmosphère quasi-mythologique, comme par exemple la description de la cour des miracles dans Notre-Dame de Paris: cet endroit était au Moyen-âge le repaire des mendiants et des truands et exista jusqu'en 1656. Hugo en fait une description pittoresque, recrée une ambiance et un mystère: " Qu'on ajoute (…) les querelles dans un coin, les baisers dans l'autre

(Sterne, Fielding) face au romance. La remise en question du héros absolu sera aussi l'affaire des romantiques, dont le théâtre déstabilise les codes de l'héroïsme en se donnant pour héros des marginaux (Les Brigands de Schiller, Hernani; cf. Notre-Dame de Paris). Aussi le romantisme retrouve-t-il par endroits, avec une ironie légère, des touches héroï-comiques: à peine entré en scène, voici Lucien Leuwen qui tombe de cheval sous les yeux de Mme de Chasteller, tandis que, chez Stendhal toujours, Fabrice

2001, p. 143) Le roman le Chevalier au lion est une quête amoureuse dans laquelle le héros accède très rapidement, dans la rapidité, sans réelle difficulté, au mariage. A ce moment, sur le thème de l’oubli, il perd tout et doit reconquérir sa dame. « Enfin, Chrétien ne se distingue pas seulement par l’orientation nouvelle qu’il donne au roman, mais aussi par un ton, un style, un type de narration qui ne sont qu’à lui. » (ZINK, 2001, p. 145) Michel Zink explique ainsi