Notre Armée Et Notre Pays Sont Renforcés Par La Pensée De Staline

la totalité1. » L'expression vient du fait qu'il ne s'agit pas seulement de contrôler l'activité des personnes, comme le ferait une dictature classique. Le régime totalitaire va au-delà en tentant de s'immiscer jusque dans la sphère intime de la pensée, en imposant à tous les citoyens l'adhésion à une idéologie obligatoire, hors de laquelle ils sont considérés comme ennemis de la communauté. Les caractéristiques habituellement retenues pour définir le totalitarisme sont : un monopole idéologique

décadente car pays des droits de l’homme, et à partir de 36 gouvernée par Blum. Le seul pays avec lequel Hitler recherche accord est la GB (peuple anglo-saxon donc race supérieur, peuple « cousin ») jusqu’en 1941 et ne souhaite pas de combat avec celle-ci. Hitler estime beaucoup plus GB que Italie ou Japon. Il garde toujours les mêmes objectifs mais ça ne l’empêche pas de procéder à des revirements tactiques : - pacte Germano-soviétique, assorti d’un partage de la Pologne avec Staline (août 1939)

 La Seconde Guerre Mondiale matrice d'une Europe de paix ? (1940-1962) Bien avant la seconde guerre mondiale, E. Kant, J-J. Rousseau, ou même Proudhon prônaient déjà l'avènement d'une Europe pacifiée et fédérée. Ces pensées visionnaires étaient jugées comme utopiques dans un continent européen engagé dans une succession de rivalité de puissance. A l'entre-deux guerres, la montée des périls fasciste et nazis a eu raison du projet Briand, qui avançait l'idée d'un lien fédéral entre les

chiffres, comparaison pays…), le traumatisme moral est profond et du à la découverte, à l’ampleur, et à la nature du génocide. La contestation de la présence mondiale apparaît au saint des possessions coloniales. 2) les deux grands parviennent à s’entendre sur la réorganisation de l’Europe . Yalta = accords ambigus mais réels (ex : organisation d’élections libres) .Coupure de l’Europe en deux, établit en novembre 1944 lors de la rencontre de Moscou entre Churchill et Staline. La conférence de

motivations ne sont pas uniquement la recherche des faits historiques, mais cachent des arrière-pensées politiques ou partisanes. Le terme "négationnisme" a été créé par l’historien Henry Rousso en 1987 afin d'éviter l'ambiguïté avec l'utilisation inadéquate du mot "révisionnisme" par ceux qui niaient la réalité du génocide. L'expression publique du négationnisme est sanctionnée par la loi dans de nombreux pays. Une résolution de janvier 2007 des Nations Unies condamne la négation du génocide des Juifs

moyens sauf par le contact direct. C’est le président Truman qui déclara celle-ci par un texte, elle va durée presque 50ans car en 1991, le système russe tombe tout seul. Le monde pendant ces années là a vécu au rythme des relations entre les deux pays. Il s’est bipolarisé, deux blocs se sont formés. C’est d’abord l’histoire des relations entre les deux grands (américano-soviétique). Elles ont été plutôt tendues, mauvaises mais elles ont fluctué. Il y a eu des périodes en allant du très mauvais au

Russie mobilise partiellement son armée. l'Allemagne soutient l'Autriche-Hongrie et déclare la guerre à la Russie et à la France. La guerre débute en août à l'ouest. Il y a deux camps: en rouge – les pays belligérants dès 1914 en noir – les pays belligérants après 1914 Empires centraux: Autriche-Hongrie Allemagne Empire Ottoman Bulgarie Alliés: Russie France Royaume-Uni (entre en guerre car l'Allemagne envahit la Belgique, pays neutre, ce qui menace le commerce

au Japon. Diffusion de cet idéal démocratique dans les pays colonisés. Cet idéal démocratique a été étendu au pays du bloc soviétique. Cette démocratie reste néanmoins relative et elle demeure un combat perpétuel, et ce même dans les pays où elle est fortement établie. Le 20ième siècle a aussi été le mythe de révolutionnaire, principalement issu du marxisme. Révolution en Russie en 1917 qui a ensuite servit de modèle dans de nombreux pays. Le mythe révolutionnaire on le retrouve en 1966-1964 avec

ils meurent avec la fin de la Deuxième. Trois axes de réflexion peuvent être dégagés pour cette période : - En premier lieu, les « séquelles » de la Première Guerre mondiale. Les séquelles économiques et sociales sont inégalement ressenties d’un pays à l'autre, mais compromettent grandement la stabilité politique. Le mythe et l'illusion du « retour à la normale » apparaissent, dans les démocraties libérales, comme une véritable obsession des années 1920. D'autre part, les rancunes héritées de

se réclamaient du marxisme ont eu un tout autre sort. Staline et Mao, utilisant le vocabulaire du marxisme, ont mené une révolution industrielle dans leurs pays au mépris absolu des droits humains les plus élémentaires et des intérêts les plus minimes des travailleurs. La quasi-totalité de la gauche a fini par rejeter leur héritage. Pour sa part, Fidel Castro a pu garder une certaine réputation de libérateur à cause de la résistance de son pays contre l’impérialisme américain. Pourtant, les travailleurs