Normal Ou Pathologique

fonctionnement interne. 3. La question du normal et du pathologique Il ya deux modèles de maladie et on ne va pas catégoriser ni traiter de la même manière selon les eux modèles de maladie. Ces deux modèles coexistent, l’un n’a pas raison et l’autre n’a pas tord. En psychanalyse, Freud passe par le modèle pasteurien pour arriver à un modèle hippocratien. Il y a donc deux manières de définir le normal et le pathologique. Pour déterminer la normale, le premier grand critère est l’adaptabilité

sans porter implicitement des jugements de valeur ? On distingue formes de vie normales et formes de vie pathologiques. La distinction, ici, est-elle comme le croit le sens commun, le seul fait de la nature ou bien l'homme a-t-il sa part de responsabilité dans la construction de la normalité biologique et des formes de vie jugées en écart par rapport a cette normalité ? (cf. Canguilhem, "Le normal et le pathologique", Foucault, "Histoire de la folie à l'âge classique") II) Dégagement des problèmes

que l’équilibre du moi soit un miracle. Souvenons-nous que Freud a construit ses hypothèses à partir de cas pathologiques, considérant que toute pathologie est, en quelque sorte, un miroir grossissant du comportement dit « normal ». Cette théorie du sujet pose au philosophe certaines interrogations : - Peut-on, comme le dit Freud, induire scientifiquement le normal du pathologique en considérant qu’il s’agit d’une différence de degré et non de nature ? - Peut-on dire que la volonté

sociologique1 (1898) que la sociologie française a connu une forte impulsion à la fin du xixe siècle. Né à Épinal en 1858, Durkheim appartenait à une lignée de rabbins de huit générations2. Agnostique il refuse de devenir rabbin, et entre à l'École normale supérieure. Il rencontre des hommes comme Henri Bergson ou Jean Jaurès et décide de défendre Dreyfus. Il obtient l'agrégation de philosophie en 1882. Cette éducation lui permet de s'inscrire dans une double tradition culturelle judaïque et classique

fortuite (parents) ou systématique (médecin) d’une masse abdominale est le mode de révélation habituel (80 %) : o indolore, ferme, lisse. o volumineuse à développement antérieur, dans l’hypochondre o rapidement évolutive (l’examen était parfois normal quelques semaines avant) o fragile et devant être examiner avec précaution car pouvant se rompre o isolée, chez un enfant en bon état général. Corpus Médical – Faculté de Médecine de Grenoble http://www-sante.ujf-grenoble.fr/SANTE/ 3/9 Photo

hystérie, schizophrénie).  Paramimie : mimiques inappropriées traduisant une discordance entre les mimiques et les affects, qu'on observe dans la schizophrénie (par exemple des rires immotivés). §Contact[modifier | modifier le code]  Réticence pathologique : attitude du sujet qui refuse le contact, l'évite manifestement, refuse de parler, etc. Cela peut masquer un délire sous-jacent, tenu secret, ou bien entrer dans le cadre d'une démence. La réticence prolixe est une logorrhée permettant au patient

de façon pathologique qui peut entraîner de l'anémie. La microsphérocytose est une maladie qui donne une forme anormale aux globules rouges ou des antigènes anormaux à leur surface. L' hémoglobinopathie est une maladie qui peut dénaturer ou rendre anormale l'hémoglobine. Maladies liées aux leucocytes : Une hyperleucocytose est due a une augmentation des globules blancs ; elle peut être normale, physiologique suite à un effort physique par exemple et devient anormale voire pathologique dans les

compensateurs de près www.strabisme.net Théorie de l’angle (sujet normal) • Aa = PA • Aag (ag + curares) = Aa + Iag • Angle de base ou de repos (éveillé, conscient et sans objet de fixation) : Ar = Aag + Tev (= Ir) + Hyst + Ic • Angle de loin avec fixation (les deux yeux ouverts) : Alf = Ar + Mcl • Angle de près avec fixation (les deux yeux ouverts) : Apf = Alf + Mac + MVprox + Mcp www.strabisme.net Théorie de l’angle (sujet pathologique) • Aa = PA + Dan • Aag (ag + curares) = Aa + Iag • Angle de

A. Etymologie et évolution des pensées Le terme « mythomanie » est un néologisme formé à partir de racines grecque et latine : « muthos » pour mythe désignant la fable, et « mania » qui désigne la folie. La mythomanie est donc une tendance pathologique à la fabulation et au mensonge. Cette tendance a fait l’objet d’une évolution de pensée depuis le XIXème siècle, qui, a cette époque, signalée comme une allégation mensongère et une exubérance imaginative, a été retrouvée dans plusieurs formes

biologique inné. Il faut aussi distinguer un langage des usagers d’un langage abstrait. La différence se fait également au niveau de la prise en charge des patients : pour rééduquer il fallait comprendre le langage, arrêter la comparaison du normal au pathologique. Cette rencontre pose la nécessité d’une nouvelle logique d’appréhension du langage et d’un nouveau type de clinique. Cependant les chercheurs se heurtent à un problème épistémologique, et n’arrivent pas à trouver la spécificité du langage