Non Respect Des Règles De La Bienséance Le Cid

scientifique. Le pays passe par plusieurs régimes politique, notamment le Ier Empire, la Restauration, La Ière République ce qui entraîne une instabilité et permets un deuxième coup d'état. L'art se développe également, et son but principal est de rompre les règles du classicisme imposées par la monarchie qui était en vigueur avant 1789. C'est sous ce climat incertain que naît celui qui deviendra l'un des plus grands auteurs français, Victor HUGO. D'origine hispanique, comme on le voit dans Hernani, il est

période baroque, apprécie par son éclat et son foisonnement, il se voit remis en question dans l’esthétique classique à cause de son caractère invraisemblable (une des caractéristiques du théâtre classique est la raréfaction des monologues par souci de respect de la règle de vraisemblance, on lui préfère alors le dialogue avec le confident qui met face au héros un interlocuteur de chair). La scène nous offre une pratique déviante de la communication. Dans la vie, un homme qui soliloque est ridicule parce

Durant sa jeunesse, il réalisa des études de droit et devînt par la suite, avocat à Rouen. En 1629, Corneille écrit sa première pièce, comédie nommée : ”Mélite”. Il écrivit ensuite d’autres œuvres tels que des tragédies, (Cinna, 1641) ou (Le Cid, 1637) qui connurent alors, un véritable succès. Le contexte socio-historique, spatio-temporel : En France, le XVIIe siècle est appelé : le “Grand Siècle”, il s’y passe de nombreux conflits religieux. C’est durant cette période, que notre pays connût

restitue pas vraiment telle qu'elle est. Ainsi, des pans entiers de la vie réelle ne contiennent rien qui puisse intéresser un récit : ne pas en rendre compte, c'est donc déjà tricher avec le réel. « Le réaliste, s'il est un artiste, cherchera, non pas à nous montrer la photographie banale de la vie, mais à nous en donner la vision plus complète, plus saisissante, plus probante que la réalité même. Raconter tout serait impossible, car il faudrait alors un volume au moins par journée, pour énumérer

insistent sur ces émotions de Don Salluste : froid avec la reine + + grince des dents > colère + mépris. Mais il va aussi rire : il se moque violemment d’elle car il l’a hait pour ce qu’elle lui a fait, il prend même de haut la reine, manque de respect, il prend plaisir à l’humilier > compris dans les nb didascalies.…Il va dévoilé les raisons de son plan, la source de sa vengeance et se moque de la reine pcq elle s’est fait avoir. Il la menace de dévoiler son secret pour que Madrid tout entier

après, à Saragosse dans le palais d'Hernani, qui est redevenu Don Juan d'Aragon, les noces de Doña Sol et d’Hernani ont lieu. Tous deux goûtent un instant de bonheur ineffable. Mais le son du cor retentit : Don Ruy Gomez, implacable, vient exiger le respect du pacte fatal. Hernani est prêt à boire un poison, mais Doña Sol le lui arrache et le boit avant lui ; tous deux expirent, et Don Ruy Gomez, frappé par I'horreur de son geste, et pris de remords, se poignarde alors sur leurs corps. Analyse Sources

Ouvre la scène sur d’autres horizons. Arrière-plan qui n’est pas montré. Les deux temps du théâtre Temps de la représentation = temps de l’action. Les classiques veulent donner l’illusion que si, les auteurs contemporains soulignent sans cesse que non. Au théâtre nous manipulons le temps comme un accordéon, à notre plaisir. (Un perso du Soulier de Satin, Claudel) I.D.2 La division en actes L’unité temporelle de l’acte La division en actes permet de ne représenter que les moments marquants. Un

question « Comment les œuvres se succèdent dans le temps ? » fait toujours débat. Cependant une particularité de la réception des ses œuvres géniales complexifient l’étude de l’histoire littéraire, elles connaissent tout d’abord une certaine hostilité et non-reconnaissance et n’acquièrent leur statut de chef-d’œuvre qu’après une certaine période. Tout d’abord incompris elles suscitent ensuite l’admiration. Nous voyons bien que pour Chateaubriand il n’y a pas de hasard mais « des maîtres suprêmes » puis

Sénèque (4 av. J.-C.– 65 ap. J.-C.) et ses œuvres - dont Médée, Phèdre - construites sur le modèle grec mais centrées sur le discours, la rhétorique. que celui que peut embrasser le regard. Les bienséances s’imposèrent au XVIIe siècle, afin de ne choquer ni la moralité ni le goût des spectateurs. Pour respecter la noblesse des personnages et du propos, l’unité de ton exige que l’on exclue de la scène le recours à la violence et au style bas. Les traités poétiques de l’époque définissent avant tout la

domaine culturel. Doctes et littérateurs regroupés dans diverses académies inventent alors une esthétique fondée sur des principes assez contraignants qui amèneront la critique moderne à assimiler, de façon souvent réductrice, classicisme et respect des règles qui doivent permettre la production d'œuvres de goût inspirées des modèles de l'art antique marqués par l'équilibre, la mesure et la vraisemblance. Le classicisme concerne la littérature du XVIIe siècle, en particulier le théâtre, mais aussi