Nœux-les-Mines

ils décident de vendre des produits de construction et des meubles à des prix accessibles. En 1960, la société prend le nom de Leroy Merlin. Le véritable envol se fait en 1966 avec la première surface de vente de bricolage en libre service à Noeux les Mines dans le Nord de la France. Le développement national s’amorce et les magasins Leroy Merlin se multiplient. A partir de 1979, année du rachat par le groupe Auchan, Leroy Merlin veut devenir un multi-spécialiste du bricolage ainsi qu’un leader mondial

qu’ailleurs surtout sur la fin du XX siècle, ce qui correspond à la fin de l’exploitation minière. De nos jours encore c’est l’une des régions à plus faible PIB. Cela résulte du cumul des difficultés supportées par la région : guerres, fermeture des mines, délocalisations et chocs pétroliers (le nombre d’emplois ayant de plus continuellement baissé à compter du premier choc pétrolier de 1973). Ainsi, on peut remarquer que malgré de grandes richesses, les difficultés subies par le territoire ont occasionné

moyen atteint 5,2 (le maximum pour EppeSauvage étant de 665,2). La hiérarchie des dix sites potentiellement les plus attractifs est assez surprenante bien qu'aisément compréhensible. Elle se présente comme suit : 1- Berck ; 2- Armentières ; 3- Nœux-les-Mines ; 4- Dunkerque ; 5- Aubigny-au-Bac ; 6- Bray-Dunes ; 7- Le Touquet-Paris-Plage ; 8- Calais ; 9- Eppe-Sauvage (à l’extrême sud est du département du Nord) ; 10- et Le Quesnoy (suivi de la Belgique en onzième position). Les sites à forts potentiels

industrielles peuvent se « targuer » d’avoir employé jusqu’à 220000 personnes1 sur un espace aussi réduit2 que le bassin minier du Nord-Pas-de-Calais3. Si l’on y ajoute les activités induites (cokerie, carbochimie, construction, etc.) et les retraités des mines, c’est quasiment l’ensemble de la population de ce territoire qui fut concernée de près ou de loin par l’extraction et l’exploitation du charbon4. Aussi, l’histoire de l’extraction, jusqu’au début de la récession dans les années 50, futelle celle d’une

les-Mines, Bouvry, Cambrin, Labourse, Noyelles-les-Vermelles, Sailly-Labourse, Vermelles, Vielaines. Canton de Carvin - Communes de Carvin, Courcelles-les-Lens, Courrières, Dourges, EvinMalmaison, Leforest, Montigny-en-Gohelle, Oignies. Canton dlHoudain - Communes de Barlain, Bougin, Bruay-en-Artois, Calonne-Ricouart, Camblain-Chatelain, Divion, Drouvin-le-Marais, Gosnay, Haillicourt, Hersin-Coupigny, Hesedigneul-les-Béthune, Houchain, Houdairi, La Cuissière, Maisnil-les-Ruitz, Marle-les-Mines, Noeux-les-Mines

qui devait faire de Lens la capitale du charbon A LENS : En juillet 1849, un premier sondage était ouvert à Annay-sous Lens. Par suite d'accident, il dut être abandonné. Dans le même temps, la Société de Vicoigne, qui sollicitait la concession de Noeux, établissait un sondage à Loos-en-Gohelle. Lens s'empressa d'en effectuer un à Vendin ; les deux atteignirent le charbon. Mais un peu partout, et malgré l'expérience acquise, les débuts furent difficiles. II fallut lutter avec les difficultés de terrain

03380 03190 03100 03100 03630 03430 03190 03420 03600 03100 03420 03190 03000 03230 03340 03400 71160 03290 03230 03400 03460 03320 03230 03230 03130 03000 03000 03400 03340 03130 03000 03130 03210 03230 BOURBON L ARCHAMBAULT CESSET BUXIERES LES MINES CHANTELLE CHAREIL CINTRAT CRESSANGES DOYET CHATEL DE NEUVRE LE THEIL ST POURCAIN SUR SIOULE COSNE D ALLIER ST HILAIRE ST POURCAIN SUR SIOULE TREBAN TRONGET LAFELINE MONETAY SUR ALLIER TRONGET EBREUIL YGRANDE LE VILHAIN CERILLY ROCLES NOYANT D ALLIER

63, 106 ISTELI 82, 107 ISTEM 35, 36, 39, 41, 100 ITEEM 57, 102 ITIAPE 58, 102 ITII/ENSIAME 56, 102 IUFM 47, 48, 107 KIENZ 31, 35, 39, 41, 45, 51, 68, 71, 74, 100, 105 LEM 71, 105 MAESTRIS 31, 35, 36, 39, 41, 68, 69, 71, 74, 81, 99, 100, 103 à 105 MINES DOUAI (ENSTIMD) 56, 102 POLYTECH’LILLE 57, 102 PIGIER 38, 71, 100, 105 RISE 35, 36, 39, 41, 51, 98 SANTELYS 69, 73, 105 SCFC 73, 93, 105 SEPIA 73, 96, 105 SIADEP (voir aussi INCP) 40, 103 SIUMPPS 111 SKEMA Business School 41, 102, 103 STUDIO 920 80

auprès de SaintGobain2. A la demande semble-t-il de cadres de la compagnie, au moins deux entreprises sont sollicitées afin de juger des résultats de sa méthode. En juin 1942, des représentants de Saint-Gobain sont envoyés aux Mines de Vicoignes, Noeux et Drocourt à Noeux les Mines et aux Ateliers des Forges et Aciéries d'Ugines. Dans la première entreprise, la mission Clark, pour laquelle travaillait Héranger, s'est déroulée de 1931 à 1936. Il s'agissait initialement de réorganiser le service d'entretien

(notamment en ce qui concerne les réseaux intelligents et le stockage). En outre, certaines hypothèses techniques proposées par Jeremy Rifkin devront être vérifiées avant d’être appliquées (Les terrils sont-ils capables d’accueillir les éoliennes ? Les mines peuvent-elles servir de réservoir d’eau ?...) La réglementation existante peut également freiner les projets d’installation des terrils classés par l’UNESCO ou la mise en place des smart grids (réseaux intelligents) et doit être prise en compte