Nœud coulant

d’une balle en pleine poitrine. Véra se retrouve seule et soulagée, mais étrangement fatiguée. En rentrant dans la maison, elle casse trois des quatre statuettes restantes et emporte la dernière avec elle. Elle va dans sa chambre, et voit alors un nœud coulant suspendu à un crochet, et une chaise en dessous. Véra réalise alors qu'elle vient de tuer un homme, et dans une sorte de délire, elle croit que son ancien amant, Hugo, désire qu'elle se suicide. Elle lâche la dernière statuette qui se brise sur

l’intensité émotionnellement parlant, mais que l’on ne peut pas imaginer. Aucune représentation mentale ne vient, ou alors celles qui viennent ne peuvent rester qu’à l’état d’hypothèses tant le sens est ouvert. Nous avançons pour notre part celle du nœud coulant, étayée par les « siècles pendus ». Le procédé de décontextualisation, puis de recontextulisation d’un énoncé est peut être à l’œuvre ici, mais de façon plus générale, nous dirons qu’il s’agit ici, et ce dans tout le poème, d’un effort pour présenter

! Quéquette et foufoune font du saut à l'élastique. Qui saute le premier? - C'est foufoune, parce que quéquette à les boules ! Quelle est la différence entre une femme enceinte et un pendu ? - Aucune, ils sont tous les 2 victimes d'un noeud coulant Que fait une vache les yeux fermés ?- Du lait concentré╭∩╮（︶︿︶）╭∩╮

de Barnabé), Lord DUNLEVY découvre que les parents de Martin sont peints aussi dans la chambre. 4ème mur : - 1 alpiniste + Catherine et sa mère Antoinette enceinte - Louis étrange Agricol à la Gasparine et Théophile tient une corde avec un nœud coulant (Agricol, le berger,ne s’est donc pas pendu mais a été assassiné par Louis) - Louis étouffe l’enfant nouveau-né (André, qui est donc le fils des amours de sa femme, Antoinette, avec le berger Agricol). - Des lignes de courbe et des lettres (initiales)

up  de temps. Il s’efforçait de penser à tout, de ne rien oublier. Il fallait avant tout préparer un  nœud coulant, le coudre au pardessus, affaire d’une minute », première partie, chapitre 6),  succède un labyrinthe de questions nerveuses et d’actes insensés rapportés par l’auteur sur des pages entières : Ʒ « Comment ai-je pu me rendormir alors que rien n’est fait  ? Bien sûr le nœud coulant y est  toujours ! Avoir oublié cela ! Une telle pièce à conviction ! » Il arracha la chevillière et la réduisit 

doutes. Nous avons le temps d'assister aux moindres détails, du nœud coulant réalisé par la mère, au dernier tressaillement des pieds du plus jeune enfant. L’aîné, qui ne semble pas plus âgé que huit ans, a une grande importance dans le déroulement de la scène. Tout d'abord, au début, le plus jeune résiste, il s'enfuit mais il est rattrapé par son frère. C'est lui-même qui tient les pieds de son cadet alors qu'il a la nœud coulant autour du cou, accélérant ainsi sa mort. Il semble extrêmement mature

mots pour créer des malentendus… Acte II, Scène 3 « AÏROLO : On me pend, laissez-moi tranquille. ROI : Est-il donc ivre ? Avec un geste de colère Qu’on le pende ! Il est trop insolent. S’arrêtant. À part. Suis-je fou ? Le même nœud coulant me serrerait le cou » (v.1117-1119) B-Représentation d’un monde en crise. Hugo avait commencé sa carrière littéraire comme poète officiel des Borbons. Après, il soutiendra la candidature de Bonaparte, mais avec le coup d’état il se sent trahi

I;...J NonTplus de supplices! nous, hommes de ce grand siècle, nous n'en voulons plus. Nous n'en voulons paspJus pour le coupable que pour le non coupable. Je le répète, le crime se rachète par le remords et non par un coup de hache ou un noeud coulant; le sang se lave avec les larmes et non avec le sang. E..J Tous les échafauds portent des noms d'innocents et de martyrs. Non, nous ne voulons plus de supplices. Pour nous la guilloti..'1e s'appelle Lesurques2l!, la roue s'appelle Calas, le bûcher

un monde aérien tandis qu’elle vit dans un monde liquide. De plus, c’est la femme qui demande en mariage donc il y a vraiment une inversion de rôle. * symbolique de l’anneau : enfermement, on ne peut pas changer de mari * « lacs » désigne le nœud coulant qui sert à enfermer les animaux. Ce mot piège désigne que le poète pourrait –être pris au piège dans le lac * tentative de séduction : on est dans un discours qui est entre le discours indirect et le discours narrativisé. Cela nous amène au discours

eux, plus ils se fragilent face au chantage de don Salluste et plus ils tomberont de haut, plus le scandale sera grand, plus dure sera la chute. L’ensemble fonctionne comme un piège où chaque effort de la victime pour se dégager resserre le nœud coulant qui l’étrangle. C’est donc ce à quoi Ruy Blas tient le plus, d’une part sa passion pour la reine et d’autre part son idéal politique qui entraîne la catastrophe. Comme dès lors lutter contre une entreprise funeste dont les victimes elles-mêmes