Noblesse d'Empire

met en avant la frustration ressentie par les paysans français qui sont propriétaires mais en même temps soumis au pvr des seugneurs : ils vont supporter des charges seigneuriales alors que les nobles n’administrent plus vraiment le village = la noblesse perd ses droits mais préserve ses privilèges c’est ce qui est insupportable pour le paysan ( les restes de la féodalité) Théorie de la frustration : l’amélioration d’une situation rend insupportable à ses bénéficiaires le maintien d’éléments inchangés

donc affirmer que ce document fût rédigé par un ministre sous l'autorité de Louis XIV lui même. Le texte nous apprend que les nobles de souches ou fraîchement anoblis refusaient d'exercer certains commerce en gros de peur de perdre leur titre de noblesse ou leurs privilèges. Se rendant compte de l'importance du commerce pour l'économie, L'état décida de mettre « à plat et en public » une loi autorisant le négoce en gros pour les nobles. Cet édit signé en 1701 pendant le règne de Louis XIV et au sortir

cette cérémonie, puis nous nous intéresserons à cérémonie proprement dites, avant de conclure sur l'aspect symbolique de celle-ci. I. Les trois ordres Au Moyen Age, la société est divisée en trois ordres : ➢ le clergé, ou ceux qui prient ➢ la noblesse, ou ceux qui combattent ➢ le reste de la société, ou ceux qui travaillent Or d'après les documents du corpus, nous pouvons voir que ces trois ordres sont réunis lors du sacre d'un roi. a) Le clergé La présence du clergé est tout d'abord avérée

à Versailles ce qui représente déjà un nombre extrêmement important. Jusqu'au mois de juillet de 1789, 1177 furent habilités à siéger dont 604 appartenant au Tiers-Etat, 295 au clergé et 278 à la noblesse. Au final, ils furent au nombre de 1315 pour 663 du Tiers-Etat, 330 du clergé et 322 de la noblesse. Ainsi, ces chiffres témoignent du nombre important qu'il fallait réunir et on suppose une difficulté pour y arriver. Des témoignages révèlent le caractère impersonnel durant les séances et les réunions

disparaît devant la peur ». Son cynisme éclate dans la valorisation de ce sentiment qui rend les hommes lâches et capables de toutes les compromissions : «  ce beau sentiment, sans alliage, pur et désintéressé » est pour lui « un des seuls qui tire sa noblesse du ventre », niant ainsi toute dimension humaniste « Honnêteté, respectabilité (…), rien ne veut plus rien dire ». Caligula fait ici l’éloge de l’abandon des valeurs morales. La cruauté morale se double chez Ubu de celle des actes. Il vient d’accéder

de Madame de La Fayette, est une femme de lettres française née le 16 mars 1634 à Paris et morte le 25 mai 1693. C'est à elle que l'on doit le tout premier roman historique français: La Princesse de Clèves.Elle est née dans une famille de petite noblesse, en contact avec l’entourage du cardinal de Richelieu. Sa mère, fille d’un médecin du roi, est au service de la duchesse Marie-Madeleine d'Aiguillon. Son père, lui, était écuyer du roi. Il mourut alors que Marie-Madeleine n’avait que quinze ans.

Molière : « Le Bourgeois Gentilhomme » * Dans le Bourgeois Gentilhomme, Molière présente une situation qui suscite le fou rire, en effet M. Gourdain qui est amené à renier sa conditions sociale c'est-à-dire la bourgeoisie, adopte des comportements de la noblesse, son langage ainsi que son apparence vestimentaire, mais il est confronter à sa servantes Nicole qui se moque de lui et qui ne parvient pas à calmer son fou rire tellement l’habit que porte M. Gourdain ne lui convient pas et le rend totalement grotesque

Acte 1 : 1. Le compte camoufle son identité à Rosine puisque étant noble, il ne veut pas qu’elle l’aime pour son titre de noblesse mais bien pour ce qui est réellement. Dans le vers suivant, on voit à quel point il croit en cette amour en lui cachant son identité sous un déguisement : «Il est si doux d’être aimé pour soit même ! Et si je pouvais m’assurer sous se déguisement… Au diable l’importun!» De plus, une autre citation le démontre clairement: «M. figaro! Je n’ai qu’un mot à vous dire :

Biographie de Montesquieu * Vrai nom : Charles-Louis de Secondat, baron de La Brède et de Montesquieu. * Né le 18 Janvier 1689 au château de La Brède, en Gironde, dans une famille de la noblesse de robe (rassemblait tous les nobles qui occupaient des fonctions de gouvernement, principalement dans la justice et les finances), fils de Jacques de Secondat, baron de Montesquieu (1654-1713), et de Marie-Françoise de Pesnel, baronne de La Brède (1669-1720) * Philosophe et écrivain français

Chambord, pour le divertissement du Roi, en collaboration avec Lully, un célèbre compositeur du XVIIème siècle. Molière a mis en scène dans cette pièce M. Jourdain, un riche bourgeois qui rêve de grandeur et fait tout son possible pour côtoyer la grande noblesse qui le fascine tant. Il a aussi en tête de marier sa fille à un jeune noble nommé Dorante, qui profite de la crédulité de M. Jourdain en lui empruntant beaucoup d’argent étant donné que, malgré son titre, il manque sérieusement d’argent. Tout ne