Noblesse Clergé Tiers état

société française divisée en trois ordres A. Le Clergé, minoritaire et privilégié Jusqu'à la Révolution, le clergé est le premier des deux ordres privilégiés. En raison du respect attaché au caractère sacré de ses fonctions, son autorité est grande. Solidement structuré, hiérarchisé, discipliné, il est le corps social le mieux organisé. Partagé entre clergé «régulier», comprenant les religieux et religieuses des abbayes et monastères, et clergé «séculier», prélats et prêtres de paroisse, il représente

l’armée de son baillage ou sénéchaussée et la conduire vers celle du roi. Maintient l’ordre public, fait respecter les droits du roi. Les roturiers : tous les individus qui appartienne ni à l’église, ni à la noblesse, alors que les baillis puis ensuite les sénéchaux sont recrutés dans la noblesse, dans l’entourage direct du roi. L’ancienne cour du roi à donner lieu à plusieurs organes : Le parlement de Paris : Issue de la cour du roi, plusieurs compétences Il doit débattre des affaires judiciaires

rents groupes sociaux à  travers toute la France. Ils existèrent dès le XVe siècle et ils représentaient les revendications et  les plaintes émises au niveau local par chaque ordre (noblesse, clergé et tiers état) lorsque le  roi décidait de faire appel aux Etats Généraux. Les plus nombreux étaient ceux du tiers état : en  fait, il y avait deux niveaux de rédaction des cahiers. Chaque paroisse rurale ou chaque corps  de métier en ville rédigeait un premier cahier lors d'une assemblée de paroisse ou de métier

beneficiaient dune portion du budget de letat. Le roi et la cours Clergé - Haut clergé (évêques et abbés) Nobles -Bas clergé (curés et vicaires) roturiers Nobles - vieille noblesse(noblesse militaire) - noblesse de robe(noblesse poilitque) -anoblis(noblesse financiaire) -noblesse provinciale il y avait même des inégalités à l'intérieur des niveaux sociaux. bas contre haut clergé et chacune de noblesses se detestaientTiers- Etat-Bourgeoisies(commercants, professions liberales, fermiers generaux

comme Adalbéron de Laon avaient au Moyen Age réparti les hommes en trois ordres, le Clergé, oratores, ceux qui prient au sommet de la pyramide, les serviteurs de Dieu étant dans une société croyante en position éminente puisqu’ils servent le dessin de Dieu, et que la fin ultime de la vie terrestre est de préparer la vie éternelle après la mort ; au second rang, les hommes de guerre, les chevaliers et donc la noblesse, les bellatores, chargés dans une société violente de protéger les autres ordres

ordres: Clergé, Noblesse Tiers-État, observé par l'évêque de Laon, Adalberon, au XI ème siècle: Les plus dignes,les Oratores, au service de Dieu Les Bellatores, ceux qui font la guerre Les Laboratores, ceux qui travaillent la Terre Distinction, au moyen Orient, comme dans la Civilisation Égyptienne. Témoignage, analyse sur les dignité: répartition, s'est cristallisée, pour devenir privilèges: ceux du Clergé, de la Noblesse, et ceux qui ont pas de privilèges, le Tiers-État. Privilèges:

3 ordres comprenant le clergé (prie), la noblesse (combat et commente) dont 2 % de la population et 50 % qui occupent les terres, le Tiers États (travaille) dont 98 % de la population et 50 % qui occupent les terres. Cependant, la société de l’Ancien Régime est inégalitaire, car le clergé et la noblesse sont des privilégiés, ils ne payent pas d’impôts et ont des emplois réservés (officiers militaires, administration). B. Les revendications du tiers état. Le Tiers État réclame l’égalité en droit

loyalement de prendre en compte les vœux du tiers état, qui se sent investi des espoirs et des revendications de la population. Cahier de doléance : sont des registres dans lesquels les assemblées chargées d'élire les députés aux États généraux notaient vœux et doléances. Dans ces recueils étaient consignées les représentations et protestations adressées au roi par les états généraux ou provinciaux. Les cahiers de doléances sont utilisés par le tiers état, ils lui permettent de savoir ce qu'il a fait

décisionnel et sont de simples techniciens. Le pouvoir est tiraillé entre deux logiques : la centralisation monarchique, et l'octroi de libertés provinciales matérialisées par les Parlements. La monarchie absolue est contestée : la bourgeoisie et la noblesse veulent une monarchie parlementaire où elles puissent partager le pouvoir du roi. Les parlements, en vertu de leurs droits de remontrance, peuvent refuser d’enregistrer les édits royaux ; car Louis XVI, à son avènement avait annulé la réforme

passait le sacre. Le roi prêtait (vermiş) une série (bir sıra) de serment (and), le roi s’engagé (işə salmaq) envers (qarşı) les évêques (rahib) de France, il s’engager à défendre (müdafiə) les privilèges (imtiyaz, ayrıcalıq) les bien et les membres du clergé (rahib), mais le roi promettait (vəəd) aussi d’accorder la paix et la justice au peule du royaume. Tout reposait (dinlənmək) sur un rite (ayin), l’onction (məsh) de l’huile (yağ) sainte (müqəddəs) et qui est symbole de l’origine divine (ilahi) du