Noblesse Clergé Tiers état

COMMENTAIRE DE TEXTE Texte : Le tiers état se proclame Assemblée nationale, 17 juin 1789 Cette proclamation de l’Assemblée nationale a lieue en France le 17 juin 1789. Elle arrive suite à l’ouverture des Etats Généraux le 5 mai 1789 sur ordre du roi. En effet, les parlementaires et l’assemblée des notables ont refusé de voter les lois sur l’établissement d’impôts fonciers payables par tout le monde des différents ministres tels que Necker et Turgot, en disant que le seul organe compétant

inégaux : le clergé, la noblesse et le tiers état. Cette séparation reposesur une idéologie et non sur des critères de fortune ou de mérite personnel. Les ordres étaient en théorie fermés, mais une frange de la bourgeoisie pouvait échapper à son état de naissance par différents moyens. La société d'Ancien Régime est aussi une société coutumière et catholique. Les trois ordres de la société française :Sous l'Ancien Régime, la société française est profondément inégalitaire. Le clergé demeure le premier

rejoindre la nation, corps d’égaux, sans voir sa propre destruction, l’existence de la noblesse et pour lui une atteinte à la dignité du tiers puisque à la ligne 7 et 8 il cite que «  entravé et opprimé  », « un tout libre

latin absolvere : délier ou dégager des liens donc libre de liens et indépendante. La souveraineté absolue signifie qu’il n’existe aucun autre pouvoir pouvant l’empêcher le souveraine décider en dernier ressors ni à l’intérieur ni l’extérieur d’un état car le roi est indépendant à l’égard de l’étranger et particulière du pape et de l’empereur germanique car ils revendiquent une supériorité sur tous les princes européens. En France on dit que le roi est empereur en son royaume car il est indépendant

dernier mot au cours d'une séance appelée «lit de justice». Il doit respecter les privilèges: -du clergé comme la perception de la dîme -de la noblesse (droits seigneuriaux) -des villes qui sont exemptes de la taille -des provinces qui ont conservé des etats provinciaux. Les états généraux:Il s'agit d'une assemblée de représentants des trois ordres de la société (noblesse, clergé, tiers etat).Le monarque à l'initiative de la convocation ou non des états généraux, en principe en cas de crise

monarchie absolue 1.3Échec des réformes politiques 21789 : fin de la monarchie absolue et de l’Ancien Régime 2.1Révolution juridique (mai-début juillet 1789) 2.1.1Campagne électorale pour l'élection des députés aux États-généraux 2.1.2Les députés du tiers état s'opposent au roi 2.2Été 1789 2.2.1Genèse de la révolte 2.2.2Première journée révolutionnaire (14 juillet) 2.2.3Après la victoire populaire 2.2.4Grande peur dans les campagnes françaises et nuit du 4 août 1789 2.2.4.1Paris de nouveau capitale 3Échec

classe cultivée, avec des privilèges - Clergé : clergé séculier, clergé régulier - tiers-Etat : 98% de la population pas représentée - société d’ordres qui n’est plus vraiment d’actualité à la veille de la révolution : essor de la bourgeoisie, etc b) Rapprochement et solidarité horizontale - haut clergé et noblesse (même origine, cad sont tous deux des nobles ; ont des privilèges ; haut clergé et petite noblesse veulent garder leurs privilèges) - bas clergé et bourgeoisie (ne sont pas nobles ;

1790, 1791 » du Marquis de Ferrières. Une question se pose donc, comment ces députés du tiers état ont-ils pu en aussi peu de temps bouleverser le système politique et donc monarchique en place depuis des siècles ? Pour répondre à cette interrogation, nous allons baser notre réflexion sur 2 grands axes. Un premier traitant du comportement monarchique et le rapport de force ouvert avec les députés du tiers état. Puis, un second la prise de pouvoir progressive de ces derniers, que l’on qualifiera de

— notamment les épisodes dauphinois de la journée des Tuiles (7 juin 1788, à Grenoble) et de la constitution d’une assemblée à Vizille (21 juillet). En 1788, la crise des finances publiques paraissant insurmontable, Louis XVI est acculé d’en appeler aux État Généraux, qui ne s’étaient plus réunis depuis 1614. Aussi, le 8 août 1788, les états généraux sont appelés par un décret de Loménie de Brienne. Les classes populaires attendaient énormément de réformes suite à la campagne électorale des parlements

en attendant que Louis XV soit majeur. Cette période est caractérisée par une réaction contre l'austérité qui avait marquée la fin du règne de Louis XIV. Philippe d'Orléans essaie de réduire les dettes en donnant plus de pouvoirs à la grande noblesse et au parlement. La situation ne s'améliore pas et il fait appel à John Law, un écossais, qui met en place le papier monnaie en 1716 et crée une banque royale en 1718. Mais tout ceci est inutile et Philippe d'Orléans n'est plus très crédible