Nitrification

Demande Biologique en Oxygène après 5 jours à 20oC (DBO5 en mg/l), qui exprime la quantité d’oxygène nécessaire pour oxyder par voie biologique les matières organiques de l’eau avec l’aide des bactéries à 20oC ; audelà de 5 jours, le processus de nitrification aérobique commence. la Demande Totale en Oxygène (DTO), qui caractérise la quantité d’oxygène consommée par des composés dissous dans l’eau lors de la combustion à 900oC en présence d’un excès d’oxygène et d’un catalyseur ; sa détermination est

La décomposition initiale est effectuée par des microorganismes mésophiles prospérant à des températures modérées. Les bactéries mésophiles prédominant sont les bactéries oxydant l’hydrogène, oxydant les sulfures, les bactéries établissant la nitrification et les bactéries fixatrices d'azote. Leur population augmente de façon exponentielle au cours de la première phase de compostage puisqu’elles utilisent les composés simples facilement disponibles tels que les sucres et des amidons. La chaleur est

thermophiles sont des bactéries qui ont besoin d'une température élevée pour vivre. Photohétérotrophe : Bactéries ayant besoins de matières organiques qu'elles assimilent par la photosynthèse. Nitrifiante : Se dit d'une bactérie qui produit la nitrification, transformation de l'ammoniac en nitrate (engrais pour les plantes). Photoautotrophe : Fonctionnant par photosynthèse, elles assimilent le dioxyde de carbone présent dans l'air, elles peuvent vivre dans un milieu très pauvre en matières organiques

de traitement de N et P (60 et 80%). Nous retiendrons des filières à aération prolongée pour le projet. Cette filière est également mise en œuvre en Algérie dans d’autres sites. Le traitement de l’azote est relativement aisé et consiste à une nitrification dénitrification avec une zone anoxique en tête (filière retenue à Constantine) ou par syncopage de l’aération. Le traitement du phosphore peut se faire par voie biologique et/ou physico-chimique. La voie biologique est plus délicate à piloter et

engrais ammoniacaux contiennent des ions ammonium (NH4+) ; ceux-ci ne sont assimilables par la plante qu’une fois transformés en ions nitrate par les bactéries du sol. – Les engrais uréiques. Ils subissent une hydrolyse dans le sol, puis une nitrification (transformation en ions nitrate). • Les engrais phosphatés simples contribuent au développement des racines et accroissent la résistance de la plante. Ils proviennent principalement de minerais phosphatés traités à l’acide pour être utilisables

d’une unité de traitement des pollutions azotées. Inaugurée le 29 septembre 2011 en présence du Ministre en charge de l’environnement, cette nouvelle unité combine, à une échelle en volume d’eau traitée unique en Europe, deux procédés : - la nitrification qui transforme l’azote ammoniacal en nitrates ; - la dénitrification qui transforme les nitrates en azote gazeux (composant naturel de l’air). Cette unité répond à deux objectifs : - redonner à la Seine une qualité inconnue depuis plus d’un

permettent également une analyse précise de la densité de groupes fonctionnels, notamment ceux impliqués dans le cycle de l’azote, en étudiant les gènes bactériens à l’origine des enzymes impliqués dans chaque partie du cycle (ammonification, nitrification, dénitrification, etc.). En revanche, on ne sait pratiquement rien des microorganismes impliqués dans le cycle du phosphore. Tout cela montre combien il reste de recherches à mener avant de pouvoir relier organismes et fonctions et de pouvoir trouver

papier (1996) 22 S.N 44 Génotoxicité : un choix entre le test pleurodèle (Jaylet) et le test xénope (1995) 22 A.G 45 Conception des stations d'épuration urbaines : les 50 recommandations (1996) 22 A.G 46 Etude du procédé biostyr : nitrification / dénitrification (1996) 22 A.G 47 Référentiel de l'utilisation des bioadditifs dans les milieux aquatiques (1996) 22 A.G 48 Impact de la nouvelle directive européenne relative à la qualité des eaux destinées à la consommation humaine (1996)

travers les déchets. Celleci se charge de polluants organiques, minéraux et métalliques, par extraction des composés solubles (lixiviation facilitée par la dégradation biologique des déchets).4 Le traitement des lixiviats se fait en 3 étapes 4 : • Nitrification-dénitrification. On oxyde l'ammoniaque et on l'élimine par l'intermédiaire de bactéries spécifiques qui le transforment en azote gazeux. Cette première étape n’élimine pas la DCO. La Demande Chimique en Oxygène (DCO) est la consommation en oxygène

d'azote présent dans les eaux usées. Pour satisfaire aux normes de rejet en zones sensibles, des traitements complémentaires doivent être mis en place.L'élimination de l'azote est, le plus souvent, obtenue grâce à des traitements biologiques, de "nitrification-dénitrification".Les procédés physiques et physico-chimiques d'élimination de l'azote (électrodialyse, résines échangeuses d'ions, "strippage" de l'ammoniaque) ne sont pas utilisés dans le traitement des eaux résiduaires urbaines, pour des raisons