Nirvana

diable l'emporte sur Dieu, l'orange devient alors révolte, mensonge, trahison, calomnie, diffamation, traitrise, indigestion. Si on met plus de jaune, l'éternité remporte sur mortalité, le orange devient sublimation, révélation de l'amour divin, du nirvana, la robe orangée des bouddhistes. Complémentaire du orange le bleu donc si l'homme arrive à atteindre son équilibre il gagne sa liberté. Vert (jaune et bleu) = éternité + dématérialisation = couleur de l'immortalité. C'est le renouveau dans

le propre du désir c’est qu’il est un manque et se désire. La souffrance (engendrée par le désir) est une contrainte. Partie 2 : Epictète :  «La vraie liberté c’est le refus des désirs » (cf Bouddhisme ( refuser ses désirs pour parvenir au nirvana) Difficulté : Vouloir ne pas vouloir, c’est vouloir quand même. Sans la raison les désirs sont des esclavages. Sans le désir la liberté est vide et s’éclipse. Je cherche un moyen terme conceptuel pour concilier les deux. Pour ça, on rapproche

volume du vent (2ème vague) Je parle de deux vagues comme de deux périodes; durant ces deux vagues, j'ai appris un peu plus qui j'étais, ça a été mes premiers vrais choix musicaux, considérant que chez moi, depuis mon enfance, Pink Floyd, Harmonium, Nirvana et Jean Leloup jouaient chaque jour. Et le vinyle de babar, aussi. J'avais beau adorer la musique qui faisait vibrer la maison, je n'avais pas l'impression que c'était ma musique. b) Et au pire, on se mariera, Sophie Bienvenu (1ère vague) Les Justes

incomparables charmeresses s’envolant sur les « Ailes de la danse », de Judy Garland, à Barbra Streisand, de Cyd Charisse à Ginger Rogers, Shirley Mac Laine… Quant à vous, mes seigneurs, de quoi oseriez-vous vous plaindre ? N’avez-vous pas déjà atteint le Nirvana, en tenant entre vos bras à fleur de peau, virtuellement s’entend, d’exquises et pulpeuses créatures, vilains infidèles ? Vous qui aspirez, en affreux polygames patentés, à leur susurrer au creux de l’oreille : «Troublez-moi ce soir » ? Heureux élus

et frôle l’incorrection. Dans un premier temps, elle se moque « Je ne veux pas être modeste, moi, me contenter d’un petit morceau si j’ai été bien sage » puis menace même dans un élan de quasi-folie de « mourir » ligne 82 si elle n’atteint pas le nirvana qu’elle vise. Alors qu’Antigone se damne pour défendre ses idées, Créon fait quand à lui pâle figure devant cette remise en question du bonheur… Devant les arguments utopiques mais séduisants d’Antigone, Créon à du mal à faire entendre ses idées

Street (Passage des rêves) 5°)Thème Friday The 13th (Passage course poursuite début et fin) 6°)Thème Halloween Michael Myers (Passage de la 1ère visite de la maison) 7°)Everly Brothers all I Have to do is dream (passage ou Tommy se réveille) 8°)Nirvana – Smell Like Teen Spirit (Générique de Fin) 6°)Scénario : SCENE 1 : Le film s'ouvre sur une voiture contenant le monde qui arrive à la forêt et tout le monde descends les affaires : Alice :Rappelez moi pourquoi on doit camper !? C'est vrai

devoirs Bakté ou dévotion = adorer un dieu Jnana ou la connaissance = méditer pour atteindre l’Un Prières : Sermon de Bénarès : 1° « Je » n’existe s 2° Tout attachement est souffrance 3° Se détacher de tout 4° Pratiquer la méditation Nirvana (extinction) = absence de tout désir, du changement qui peut faire mal Octuple Voie : 1) compréhension juste = ce qu’est la souffrance) 2) attitude juste (générosité et compassion pour les êtres) 3) Parole juste = se taire quand

d'équanimité. Dans le bouddhisme ancien, selon l'enseignement du Bouddha, cette vision de l'amour n'apparaît pas. Le Bouddha insiste surtout sur le détachement qui conduit à la suppression du désir, et donc au bonheur durable (cessation de la souffrance, nirvana). Ce n'est qu'entre les I° et IVème siècles apr. J.-C. qu’émergera le bouddhisme Mahayana pour lequel l’action de compassion et d’amour envers l’autre prime sur l’ascèse et la méditation. Pour les bouddhismes issus des développements du Mahayana

construisent eux-mêmes tour à tour l’histoire. Des hommes et des femmes excessifs et criards, parfois grossiers et vulgaires. Dans cette atmosphère très bariolée et baroque, où le personnage principal te regarde et te fait un clin d’oeil en te promettant le nirvana, on perçoit qu’une partie de l’humanité risque de se perdre, engloutie par elle-même, prisonnière des choses, séduite par les marchandises au point de se façonner à leur image, un produit griffé qui cherche à fasciner le consommateur en camouflant

**** - FRANZ FERDINAND – TAKE ME OUT *** - JAMES BROWN – BAD TO THE BONE ** - JET – ARE YOU GONNA BE MY GIRL *** - JOAN JETT – I LOVE ROCK N ROLL **** - QUEEN – WE WILL ROCK YOU ** - MADNESS – ONE STEP BEYOND *** - NENA – 99 LUFTBALLONS *** - NIRVANA – SMELLS LIKE TEEN SPIRIT *** - PLACEBO – THE BITTER END ** - THE ROLLING STONES – START ME UP ** - THE WHITE STRIPES – SEVEN NATION ARMY * - U2 – SUNDAY BLOODY SUNDAY *** Les musiques CHRIS ANDERSON & DJ ROBBIE – LAST NIGHT (LE MADISON) ****