Nicolas Machiavel Le Prince Chapitre Xvii

tentation. Même si le roman n'a rien de commun avec ces ouvrages didactiques (les traités savants) où les chapitres enchaînent par divisions et subdivisions, par alinéas et paragraphes, des thèses, des points de doctrine (ce qui est le fondement, par ailleurs, de la dissertation critique si appréciée au lycée). Par exemple, Nicolas Machiavel [1469-1527], dans son célèbre traité politique Le Prince (Il Principe, publié en italien en 1513) préconise toute une série de règles de conduite pour ceux qui

dans l’école américaine des cérémonialiste. Denis Richet « La France Moderne (l’esprit des institutions) » un très grand livre d’histoire. P. Guery et R. Descimon, «  Un État des Temps Moderne ? » Arlette Jouanna « Absolutisme Français Nicolas le Roux « Le Prince de la France de la Renaissance » Table des matières 1. Le Roi, la Reine et la Cour ii. Stratégies matrimoniales et perpétuation de la dynastie 2. Mise en image et mise en scène du pouvoir royal 3. Rex Lex 4. Naissance de la philosophie

| | | |Nicolas MACHIAVEL (1515) | |

politique, les similitudes entre le marketing politique et le marketing commercial : stratégie du marketing politique. Enfin, dans une dernière partie, l’interrogation sur les faits des élections présidentielles de 2007 en France. Le Président Nicolas Sarkozy peut-il être assimilé à un pur produit du marketing politique ? I- LE MARKETING Qu’est ce que le marketing Etude de marché, concept de vente, publicité, stratégie, science et étude du comportement du client, marchandisage, attirer

construction d’une réalité commune,formant un groupe, la Nation. Les média ont un rôle immense.) La collectivité n’est pas que la somme des individus mais a ses réactions psychologiques propres. L’origine de la plupart de nos mots en politique. CHAPITRE 1 – LA CULTURE POLITIQUE CLASSIQUE Section 1 - Héritage grec Les grands textes politiques nous sont parvenus à travers des cours d’université : Ecrits de Platon, professeur à l’académie d’Athènes, et les cours d’Aristote. Rome a produit des écrits

..................................................10 Remerciements............................................................................12 Introduction Générale....................................................................13 CHAPITRE I ETAT MODERNE ET LES COLLECTIVITES TERRITORIALE..........16 SECTION I.- L'ETAT MODERNE.................................................................16 A. SON FONDEMENT THEORIQUE .....................................16 B. CONDITION

dithyrambe, la plupart des airs de flûte et de cithare, toutes ces espèces sont, en général, des imitations. Mais, dans ces imitations, il y a trois différences : les moyens avec lesquels on imite, l'objet qu'on imite, et la manière dont on imite. »chapitre 1 Dans sa la Poétique, Aristote distingue deux types de mimèsis : la simple imitation de la nature et la stylisation de celle-ci. Aristote propose également trois façons d'imiter : comme les choses sont, comme on les dit et comme elles devraient

et constitutionnelle des stoïciens. La monarchie apparaît comme idéale. Le roi ne sera plus le délégué du peuple mais le favori de Dieu. Marc-Aurèle réalise l’idéal du philosophe roi fondant la politique sur la morale et devenant le premier anti-machiavel. Ensuite anarchie avec les invasions barbares qui mettra fin à ce système, précipitée par l’idéal conservateur du stoïcisme. C’est l’installation d’une monarchie absolue de droit divin. Le pvr monarchique s’installe ds l’empire romain. Apparition

littéraire à part entière. Rabelais et bien d’autres exploitent le genre de l’éloge paradoxal, remis au goût du jour par Érasme. Dans le prolongement de cette réflexion, les humanistes (Érasme, Castiglione, Budé, Machiavel, Ronsard…) rédigent des traités d’éducation à l’usage des princes qui posent les bases d’une nouvelle réflexion. Pour tous ces auteurs, la quête du savoir n’a de sens que si elle mène à la sagesse, vertu indispensable aux grands de ce monde (« Science sans conscience n’est que ruine

la sociologie politique alors qu’elle n’est même pas une discipline constituée. Raymond Aron justifie ce choix en affirmant : « on pourrait dire que la science politique considérée globalement se confond avec la sociologie politique. Elle est le chapitre politique de la sociologie. » La préférence terminologique, de l’emploi de la notion de sociologie politique, symbolise la volonté de replacer les phénomènes politiques dans l’ensemble des phénomènes sociaux, c'est-à-dire redéfinir les phénomènes