Nicolas de Condorcet

atlantique a été pratiquée par les Européens ; c’est-à-dire les Anglais, les Français, les Hollandais, les Portugais, et aussi d’autres pays. En 1441, ce sont les Portugais qui ramenèrent dans leur pays les premiers esclaves noirs. En 1452, le pape Nicolas V donna sa bénédiction pour la conquête des terres africaines et l’exploitation de ce peuple. Henri le navigateur, prince du Portugal mis en place les premières expéditions en Afrique ; c’est Vasco de Gama qui découvrit la route des épices. Les

passe chez un fabricant de peintures, au pont Notre-Dame, qui l’emploie, avec quelques autres apprentis, à copier, en nombreux exemplaires, des images religieuses et des tableaux de genre, notamment une Vieille Liseuse de Gerard Dou, et un Saint Nicolas, très recherché par les dévots. Tout en se livrant à cette besogne insipide moyennant « trois livres par semaine et la soupe tous les jours », Watteau se lie avec un peintre d’Anvers, Jean-Jacques Spoëde, élève de l’Académie royale, et avec Claude

opposition, il faut se rappeler qu'il existe une double lecture de Smith : l'une "conservatrice" avec Edmund Burke, l'autre "progressiste" avec Thomas Paine, Mary Wollstonecraft ou encore James Mackintosh22. Emma Rotschild rapproche Smith de Nicolas de Condorcet et elle se réclame d'un "libéralisme progressiste". C'est peut-être cela qui l'amène à minimiser le rôle de la main invisible. Philippe Raynaud23, dans une recension de ce livre, doute qu'on puisse évacuer aussi facilement la « main invisible

l’étrange conviction que, dans l’ordre du temps, ce qui vient après doit être mieux que ce qui précède. C’est le postulat d’une bonté du devenir, la croyance que le nouveau est synonyme de meilleur. L’un des plus importants disciples de Voltaire, Nicolas de Condorcet (1743-1794), dans sa dernière œuvre Esquisse d’un tableau historique des progrès de l’esprit humain passait en revue tous les progrès déjà accomplis par l’humanité et établissait le programme des progrès encore à venir. Il y prévoyait, en

famille appartient à la bourgeoisie française. Ses parents arrivent à Paris en 1850, lorsque M. Verlaine obtient sa retraite de l’armée. Ses parents veulent offrir les meilleures études à Paul. Il étudiera donc au lycée Bonaparte ( aujourd’hui Condorcet ) et découvrira à 16 ans Baudelaire et l’absinthe. Le capitaine Verlaine décède en décembre 1850. C’est à cette période que Verlaine rencontra celle qui sera sa future épouse : Mathilde Mauté (qui lui inspira la bonne chanson ). Il fréquente les

ne se débarrasse pas de la criminalité, on la traite. On ne “tourne pas la page”, on la lit d’abord. La tentation est grande, sur ce sujet, de personnaliser le débat et de le réduire à une simple discussion des propositions du ministre-candidat, Nicolas Sarkozy. Héraut indéfectible et parfois pathétique d’une politique sécuritaire tous azimuts, il occupe, grâce à un marketing politique inédit et une couverture médiatique sans précédent, une place majeure dans ce débat. Discuter, aujourd’hui, son

féministes. Jean-Antoine-Nicolas de Caritat marquis de Condorecet, un français du XVIII eme siècle, a ouvertement pris position pour l’instruction scolaire des filles. Il présenta à l’assemblée son « Rapport et projet de décret sur l’organisation générale de l’Instruction publique », dans lequel on retrouve ce principe même de l’égalité des filles et des garçons en matière d’instruction. Ainsi, dans cette période, plusieurs figures comme celles de Wollstonecraft ou Condorcet, prônaient déjà l’éducation

socio-économique, cette époque est marquée par la deuxième Révolution industrielle : l’Empire britannique domine le monde, d’autant que le 1er Empire français a disparu. Condorcet Jean Antoine Nicolas Caritat, marquis de Condorcet, est né le 17 septembre 1743 à Ribemont, en Picardie, dans une famille noble. Il est décédé en 1794. Pour Condorcet, l'objectif de l'éducation était de rendre l'expansion la plus large possible de la pensée scientifique. L'éducation religieuse fut remplacée par la confiance dans

celle des esclaves"1. A travers cette citation, il apparaît que CONDORCET, dans son rapport sur l’instruction publique remis à l’Assemblée législative en avril 1792, défend une éducation permettant l’égalité entre les Hommes. Une éducation amenant à donner à tous, les éléments nécessaires pour développer leur esprit critique, défendre leurs idées par eux-mêmes et assurer l’égalité politique prévue par la loi. La vision de CONDORCET, c’est l’éducation comme levier d’émancipation sociale et politique

toutes les communes françaises » 22. Il est important de comprendre que les personnes à l’origine de ces structures d’éducation populaire sont soit des catholiques soit des membres de la Ligue de l’Enseignement 23 souhaitant prolonger les idées de Condorcet sur l’instruction publique 24. Les UP se sont surtout développées de 1898 à 1902 à Paris et en province 25. L’Affaire Dreyfus a révélé pour la première fois l’engagement des universitaires. En effet, pour un certain nombre de professeurs, les