Nicholas Kaldor

des mesures protectionnistes pour protéger les industries naissantes contre les industries à haute productivité des concurrents étrangers. Cela lui laissera le temps de bâtir un avantage comparatif et de s’appuyer sur son marché intérieur. ◦ NICHOLAS KALDOR : Le protectionnisme défensif a pour but de protéger les industries stratégiques, d’assurer la reconversion d’un secteur menacé, de protéger les industries satisfaisant les besoins vitaux. ◦ Le marché : C’est le lieu de la rencontre réelle

peut se définir comme l'achat (ou la vente) de biens avec intention de revente (ou de rachat) à une date ultérieure, lorsque l'action est motivée par l'espoir d'une modification du prix en vigueur et non par l'avantage lié à l'usage du bien » (Nicholas Kaldor, "Spéculation et stabilité économique", 1939). L'activité de spéculation sur les marchés financiers consiste à vendre ou à acheter des actifs dans le seul but de réaliser une plus-value à court terme. Elle se distingue d'une opération de placement

avec une élévation du niveau de risques auquel étaient soumises leurs opérations. L'élévation du niveau de risques correspond, en tous points, à l'adoption d'un comportement de plus en plus spéculatif. On définira ce dernier, à la suite de Nicolas Kaldor, comme un ensemble d'opérations d'" achat ou vente de biens avec intention de revente (ou de rachat) à une date ultérieure, lorsque l’action est motivée par l’espoir d’une modification du prix en vigueur et non par l’avantage lié à l’usage du bien"

première, qui « consiste à prévoir le rendement escompté des actifs pendant leur existence entière », tend à s’effacer devant la seconde qui elle s’emploie à « prévoir la psychologie de marché » (Keynes, 193 : 173). Dans son article de 1939, Nicholas Kaldor poursuit et complète la définition de Keynes : la spéculation est un achat ou (une) vente de bien avec intention de revente (ou de rachat) à une date ultérieure, lorsque l’action est motivée par l’espoir d’une modification du prix en vigueur

en faire une méthode de régulation permanente des marchés. Les prolongements de l'école keynésienne sont : le keynésianisme ou macroéconomie traditionnelle la théorie du déséquilibre : Edmond Malinvaud le courant post-keynesien : Nicholas Kaldor, Joan Robinson, Roy Forbes Harrod, ... la nouvelle économie keynésienne : George Akerlof, Joseph Stiglitz, Janet Yellen, Stanley Fischer... l'école de la régulation : Michel Aglietta, Robert Boyer, Alain Lipietz... A l'occasion de la

a) Les politiques conjoncturelles relèvent du court terme Mobilisent le budget de l’Etat (pol budg) et ls instruments de contrôle de la création monétaire (pol mon) pr réguler l’activité éco, obj finals st ceux du carré magique formalisé par Nicholas Kaldor : Xce du PIB, ↗ ds prix, tx de chô et solde de la balance com ou de la balance courante. b) La politique monétaire Différents instruments : - le desserrement de l’encadrement du crédit : l’Etat aX le montant ds crédit que ls banques st autorisées

évaluation Olivier Barbié - Université Paris Sud 2/40 I- Les situations de croissance (les indicateurs éco) et les situations de crise économique (chomage, inflation, déséquilibre des balance commerciales) 1. Les situations de croissance Nicholas Kaldor : caractérisation de la conjoncture économique. a) Qu'est-ce que la croissance ? La richesse créée chaque année est la valeur ajoutée. Depuis David Ricardo (1824), son mode de calcul n'a quasiment pas évolué. On n'intègre à la valeur ajoutée

vise à remédier à court terme aux dysfonctionnements de l’économie. C’est de cette dernière catégorie que relèvent les politiques de stabilisation, dont les objectifs ont parfois été illustrés par le « carré magique » de l’économiste britannique Nicholas Kaldor (1908-1986) : croissance (forte) + inflation (faible) + chômage (réduit) + commerce extérieur (en excédent). Ces politiques sont mises en œuvre dans les situations de : • récession (ralentissement du taux de croissance du PIB) • stagflation (simultanéité

avant qu’une nouvelle crise cardiaque l’emporte en 1946. On doit souligner que l’héritage de Keynes séduit plutôt le partis de gauche, la droit préférant les néoclassiques. Un autre Cambridgien deviendra célèbre et conseiller des travaillistes : Nicholas Kaldor (1908-1986), il convient d’ajouté le Polonais Michael Kalecki (1899-1970), les Britanniques Meade (né en 1907), Schakle (né en 1903), et les Américains Chamberlain et Sydney Weintraub. Partons de l’analyse de la concurrence imparfaite, les

régulation permanente des marchés. Les prolongements de l'école keynésienne sont : * le keynésianisme ou macroéconomie traditionnelle * la théorie du déséquilibre : Edmond Malinvaud * le courant post-keynesien : Michal Kalecki, Nicholas Kaldor, Joan Robinson, Roy Forbes Harrod, Evsey Domar... * la nouvelle économie keynésienne : George Akerlof, Joseph Stiglitz, Janet Yellen, Stanley Fischer... * l'école de la régulation : Michel Aglietta, Robert Boyer, Alain Lipietz...