Néolibéralisme

nations, il examine également longuement les fonctions que l’Etats doit assumer dans les économies. En ce sens, la métaphore de la main invisible de Smith se retrouve dans les théories néoclassiques. Pour autant, il n’est pas le maître à penser du néolibéralisme, bien que certains s’en réclament. Cette métaphore repose sur l’idée selon laquelle la recherche de l’intérêt personnel concoure à l’intérêt général. C’est la supériorité de l’individualisme sur le holisme. On en revient au principe de concurrence

Tiers monde. (NPI du Sud Est asiatique) Les réponses : Des politiques néo-keynésiennes : déficit budgétaires pour relancer la machine économique par la consommation par ex (France dans les années 80)=> « politiques de relance » Néolibéralisme (USA- R.U.) : désengagement de l’Etat => privatisation, déréglementations, réduction des dépenses sociales => réussite éco mais fort prix social !! [pic] Sur la situation en France voir p250-251 doc 4, 5 et 6 => politique de rigueur

être qu'une représentation manipulable, puis une légitimation : proclamation d'une forme d'autorité et enfin une intégration : une même représentation du soi collectif. II. Le globalisme A. Le phénomène d'agrégation Hayek (un des pères du néolibéralisme) donne l'idée de ce que le globalisme, fondé sur l'idée du marché théorique général, relève d'une idéologie. Les conditions théoriques nécessaires à l'établissement de lois de l'équilibre (que tous les acteurs du marché soient également informés

les principes sont la collaboration, la complémentarité et la solidarité entre ses membres au nom du bien-être de la majorité de ses citoyens. Toutefois, ce socialisme contemporain à la polarisation idéologique, s’il peut devenir une réponse au néolibéralisme, devra immanquablement faire face aux jeux des marchés avec l’émergence des pays comme le Brésil ou la Chine, loin de se placer en tête du capitalisme mondial. Et puis la diplomatie du conflit politique entre impérialisme et socialisme pourraient

vérité. Tout est fait pour responsabiliser les victimes, voire les faire payer deux fois, dans une sorte de double-peine hallucinante, et déresponsabiliser le communicant. Mais qui évalue les conséquences d'un appauvrissement de la population ? Le néolibéralisme prétend que faire fonctionner tous les systèmes humains selon un mode marchand rend l'entreprise mondiale plus performante : c'est une profession de foi, une idéologie, qui ne cesse de prouver sa fausseté. Mais on continue pourtant de l'appliquer

aucun doute soumis au diktat conjoint des marchés et des règles européennes actuelles. Ne pas y céder et provoquer, si nécessaire, une crise de l'Union européenne serait alors la condition nécessaire pour entamer un processus de rupture avec le néolibéralisme.   Bibliographie www.wikipédia.org www.lemonde.fr www.france.attac.org/articles

200 milliards d’euros dans l’Union Européenne (1,5 %du PIB) 26 milliards d’euros en France (1,3% du PIB) Relance par des investissements « verts », par les dépenses de recherche, l’aménagement du réseau ferré ? Le courant néoclassique et néolibéralisme depuis les années 1980 Ronald Reagan (1981-1989) : Un gouvernement, c’est comme un bébé. Un tube digestif avec un gros appétit à un bout et aucun sens des responsabilités de l’autre. Margaret Thatcher (1979-1990) Une économie fonctionnerait

la théorie classique.tentative de récupération de la théorie keynésienne de la part des néoclassiques , la courbe de ISLM. L’autre attaque c’est la pensée néolibérale, qui est la plus importante aujourd’hui, représenté par Hayek. Le principe du néolibéralisme c’est de reprendre le principe du laisser faire. -

Maison-Blanche. Élu en 1980, il est réélu en 1984 avec le chiffre record de 525 grands électeurs. Sa présidence marque le début de la Révolution conservatrice appuyé par un « New Deal à l'envers » consistant en une baisse de la fiscalité et un néolibéralisme sans faille, les Reaganomics, une politique de relance basée sur l'économie de l'offre, qui produit de très bons résultats, de la croissance économique forte à la maîtrise de l'inflation, comme à la réduction du taux de chômage. Son premier mandat

». Or, des auteurs très en vogue à l’heure actuelle tel que Milton Friedman et Friedrich Von Hayek démontrèrent des théories très critiques à l’égard des politiques keynésiennes en prônant un état minimal pour un marché maximal. Ces ténors du néolibéralisme témoignent d’un combat théorique toujours inachevé. Toutefois, l’agression contre l’État-providence, quant à elle, est bien réelle. Enfin, nous ne voyons que la pointe du Iceberg…