Ne Desirons Nous

thèse de Descartes, cela voudrait dire que nos désirs peuvent être sans cesse renouvelés pour coller à la réalité. Selon Descartes il est bien plus facile de changer ces désirs que de changer le monde. Le monde ne peut nous offrir tout ce que nous désirons donc il faudrait que nous soyons raisonnables: réglons nos désirs sur l'ordre du monde et nos désirs auront une chance d'être comblés. Mais cette théorie se base sur deux points sensibles. Supposons qu’il soit préférable de modifier ses idées

PARTIE 2: L'emploi, une question de société Chapitre 3: La population active en mouvement Introduction: Afin de produire les biens et les services dont nous avons besoin ou que nous désirons, les entreprises font appel à de la main d'oeuvre. Cependant, la population toute entière n'est pas amenée à travailler. Cela ne concerne que ce que l'INSEE nomme la population active. Quelle est la composition de la population active? Quelles sont ses évolutions depuis les années 1950? I ) Qu'est-ce

aucun cas changer quoi que ce soit dans notre vie. Dès lors, il ne faut pas juger les dieux, ne pas juger c’est philosopher. Ensuite, le désir doit être consommé avec modération pour être heureux. Il est en lien avec le plaisir, parce que quand nous désirons quelque chose, quand nous l’obtenons, le plaisir apparait. Il peut aussi nous combler du désir en évitant de nous faire souffrir, effectivement, éviter la douleur nous permet d’être heureux. Définitivement, le plaisir est la finalisation du bonheur

la dépression car comme le dit Booba "La mort c'est la sœur de la paresse". La vie oisive est telle qu’elle mais la vie facile n’a rien de similaire à cela, nous nous détachons seulement des contraintes les plus difficile pour obtenir ce que nous désirons le plus vite et simplement possible puisque l’effort n’existe pas ou du moins très peux. Les deux formes de vies ne sont donc pas liées car la vie oisive finira tôt ou tard par nous affaiblir que ce soit mentalement, physiquement ou économiquement

l'attente, un autre ingrédient qui est la peur. Peur de revenir à l'état antérieur (la solitude), peur de s'abîmer au contact de l'autre (perversion), peur de ne pas recevoir autant que l'on a donné, peur de l'abandon... Dans le même temps que nous désirons tant aimer et être aimé, nous le redoutons.    Notre époque post-moderne a digéré tout cela et nous recrache, dans ses oripeaux clinquants et médiatiques, la face visible de l'iceberg : notre solitude, notre solitude et encore notre solitude.

afin de mieux nous informé. La documentaliste nous a bien reçu et nous a prêter de nombreuse œuvre. Nous avons visité le musée de la résistance et j'ai ramassé de nombreux prospectus en lien avec la jeunesse et la résistance. 27 Novembre: Nous désirons faire un journal intime après concertations.Nous obtenons un rendez vous avec une ancienne résistante. Je finit ma lecture sur le livre de Roger Zanielli et note des passages importants 4 Décembre: Nous débâtons sur comment créer certain aspect

une doctrine qui prône davantage l’individualiste que le bien de la communauté. En se concentrant sur soi-même et en essayant de combler nos plaisirs il est bien plus évident d’atteindre le bonheur. En tentant de définir qui nous sommes et qui nous désirons devenir, en cernant nos intérêts et nos projets, il devient bien plus facile de vivre ca vie afin de combler ces plaisirs présents mais également futurs. En se concentrant sur soi, il est bien plus facile d’atteindre le bonheur que si l’on cherche

j'ai besoin de ce qui me fait défaut. Or tout manque se traduit par une souffrance, celle-là même qui nous pousse à le combler, c'est-à-dire à le satisfaire, en sorte que la douleur semble être le symptôme du désir lui-même : nous savons que nous désirons quelque chose quand nous souffrons de ne le point posséder. Aussi la cause semble d'emblée entendue : on ne peut désirer sans souffrir. Mais si tout désir s'accompagne nécessairement de douleur, et d'une douleur plus grande à mesure qu'il est plus

ce qu'elle veut nous donner : le monde n'est alors qu'une entité qui structure notre vie, une raison universelle comme un « ordre divin » de qui on dépend. Comme il a pu le dire, « ne demandons pas que les choses arrivent comme on le désire mais désirons qu'elles arrivent comme elles doivent arriver ». Ainsi, une conception de fatalité, de destin fait son entrer, et nous ne pouvons pas combattre ce qui est déjà écrit. Donc acceptons juste ce qui ne relève pas de notre propre pouvoir et fuyons ce

Spinoza se rejoignent sur le point de la religion, il semble vraiment que Voltaire a su bien défendre sa position, ce qui lui donne une force supplémentaire à son argument. Selon moi, je crois que nous ne sommes pas libres de penser comme nous le désirons, tout comme Spinoza, car malgré ce qu’une personne peut penser, nous nous ferons constamment jugés par la société qui fera en sorte de jouer avec notre pensée et qui portera celle-ci à changer. Par exemple, une fille en 2022 qui tombe enceinte à