Naturalisme Et Liberté

les enfants devaient être élevés ensemble et que, très jeune, on allait voir chez ces enfants leurs qualités et tempérament réel. Puis on pourrait les orienter vers une fonction qui correspond à ce qu’on estime être leur nature profonde => pas de liberté pour définir son avenir : indiv doit se soumettre a cette vérité supérieur. Le but de tt cela c’est que règne la justice. Si on est un philosophe, on sera dégouté de l’activité politique. Si vraiment qqun est sage, rien ne l’effraiera plus que

antipopulaire (le peuple est senti comme une masse dangereuse). L’idéologie bourgeoise repose sur une confiance dans le progrès, une liberté de pensée et un anticléricalisme. C’est elle qui va engendrer le réalisme. -Le naturalisme : (1850-1900) ce courant a été défini par Emile Zola dans son Roman expérimental (série d’articles de Zola regroupés), il dira à ce propos : «  le naturalisme est purement une formule, la méthode analytique et expérimentale. […] on vous demande de chercher et de classer votre part

documentation, des desciptions Auteurs : Balzac, Flaubert, Stendhal, Maupassant, Zola Le Naturalisme : 1860-1890 Mouvement littéraire qui prolonge le réalisme et qui s’attache à peindre la réalité en s’appuyant sur un travail minutieux de documentation et en s’inspirant notamment de la méthode expérimentale du physiologiste (qui étudie les organismes vivants) Claude Bernard Chef de file du Naturalisme : Emile Zola Procédé narratif récurent : description, discours indirect libre 3. Analyse de

Fiche de lecture Auteur : Émilie ZOLA Dates : né le 2 avril 1840 à Paris et mort le 29 septembre 1902 à 69 ans à Paris Biographie : Écrivain français, fondateur du naturalisme (en littérature) . À partir de 1858, Zola s’établit à Paris. Il entre aux Éditions Hachette. En 1865, il rencontre Alexandrine Meley qui va devenir sa femme. En 1867, son premier succès vint avec Thérèse Raquin, qui annonce, le cycle des Rougon-Macquart. Deux branches rivales d’une même famille, les Rougon et

vaste courant de pensée européen, résulte des mutations suite à l’invention de l’imprimerie, réuni des textes antiques et profanes, donc lettres « humaines » par opposition aux textes sacrés ou lettres « divines ». ↳ L’homme dans son corps, sa liberté et sa dignité, s’opposant aux fanatismes de l’époque. Auteurs, œuvres : Érasme, l’Anglais Thomas More (Utopia). ↳ La curiosité encyclopédique se répand. Auteurs, œuvres : Rabelais (Gargantua), Marguerite de Navarre (L’Heptaméron), Montaigne (Essais

1800 et 1850. Le romantisme se construit en opposition au classicisme. C'est un mouvement littéraire qui prône l'exaltation des sentiments, de la sensibilité et la recherche de la liberté. Symbolisme : Apparu à la fin du XIXe siècle, avec la France et la Belgique pour foyers principaux, il s'oppose au naturalisme et remet l'imaginaire et le fantastique au goût du jour. Le symbolisme propose d'explorer l'invisible du monde, non sans un certain mysticisme, et fait prévaloir l'idée et la subjectivité

Büchner, qui est devenue une pièce du répertoire classique, tout comme "la Mort de Danton" Le romantisme en France : En France, A sa tête, il y a Victor Hugo, ouvre avec la Préface de "Cromwell" (1827) la grande vogue romantique et proclame la liberté totale de l'invention et de la forme théâtrale « le libéralisme en littérature ». Puis viennent Théophile Gautier, Gérard de Nerval, Alexandre Dumas, Alfred de Vigny, Alphonse de Lamartine et Jacques Michelet. Alfred de Musset a un génie plus théâtral

thèmes favoris de la littérature romantique. C)      L’engagement politique ·         La plus grande liberté des formes littéraires et du langage est mise au service de l’engagement social et politique. Pour Victor Hugo, le mot est une arme poétique. Le langage noble ne doit plus dédaigner le langage simple et populaire. ·         Les auteurs romantiques luttent bien souvent pour plus de libertés et de justice dans la société. Victor Hugo est le symbole de la gauche républicaine et l’incarnation

troublée. En examinant les grands courants littéraires du XIXe siècle, on trouve différentes réactions à la nouvelle vie de l’époque. Dans le cadre de ce travail, trois de ces grands courants seront présentés : le romantisme, le réalisme et le naturalisme. Pour expliquer leur émergence et leur développement, on s'intéressera au contexte social. Le premier grand courant qu’on peut identifier au XIXe siècle est le romantisme. Selon Ferran/Schvalberg (2001) le but de la génération romantique française

du romantisme, d'abord avec Chateaubriand, puis avec Victor Hugo, du réalisme avec Stendhal, Honoré de Balzac, Gustave Flaubert et du naturalisme avec Émile Zola. Le romantisme et son foisonnement peuvent trouver partiellement leur cause dans certains points de vue. Certains mettent l’accent sur l’élan de liberté qu’a suscité la Révolution française, élan de liberté suivi d’un désordre, d’une confusion entraînée par l’instabilité, l’incertitude politique qui émane de la première moitié du siècle.