Natal

Lecture cursive : | Aimé Césaire, Cahier d’un retour au pays natal. Charles Baudelaire, Les fleurs du mal. | Documents complémentaires et activités : | * La naissance de Vénus, Botticelli, 1495 * Extraits d’article sur la pléiade et la Renaissance, collection 128. * Recherche d’élèves sur la pléiade et Du Bellay * Analyse des « Correspondances » de Baudelaire  * Analyse d’un extrait du Cahier d’un retour au pays natal, « épisode du tramway », 1942 * Connaître une forme poétique :

| La création eut lieu pendant la Seconde Guerre Mondiale le 5 mars 1942 à Kouïbychev par l’orchestre du Théâtre Bolchoï de Moscou sous la direction de Samuel Samossoud. La symphonie est dédiée à la ville de Leningrad, la ville natale du compositeur. Selon Chostakovitch lui-même, elle est un témoignage d’un événement capital de l’histoire contemporaine : le siège de la ville de Leningrad par l’armée allemande. « Le premier mouvement décrit de quelle manière la guerre a fait irruption

oncle, du Bellay vivra une vie d'ennui, loin de la liberté qu'il espérait, il se retrouve aux beau milieu des intrigues de la cour du Pape. Il écrira là-bas Les Regrets, où il critiquera la vie romaine et exprimera son envie de rejoindre son Anjou natal, et Les Antiquités de Rome. En 1560, Du Bellay meurt d'une apoplexie, à sa table de travail dit-on, le 1er janvier 1560, à l'âge de 37 ans. Il est inhumé à Paris, en la chapelle de saint-Crépin. Publication posthume : Le Discours au roi sur la poésie

quitter son pays natal pour s'installer en Angleterre au début du XXe siècle. Connu sous le nom de Jacques Roston, il est le fondateur de l'Institut Linguaphone. Précurseur de l'enseignement moderne des langues vivantes, il utilise les nouvelles techniques d'enregistrement : d'abord les cylindres, puis les disques 78 tours, remplacés par la suite, par les microsillons 33 tours, les cassettes audio, le CD... Au nombre des 32 langues proposées, il avait tenu à faire une place à sa langue natale : le polonais

Jongleur de mots, "motsicien" comme il l'a dit parfois, bête de scène intarissable d'énergie, Claude Nougaro , qui maniait avec une délicatesse aujourd'hui encore inégalée l'art du verbe, nous retiendrons son amour pour le jazz et Toulouse, sa ville natale. Deux passions servies par une voix qui n'a eu de cesse de faire danser les mots dans ses oeuvres de : "Le jazz et la java", "Armstrong ", "Cécile, ma fille", "Toulouse" en passant par "Nougayork". Né d'un père chanteur lyrique et d'une mère pianiste

tendue. Madiba, partit de son village natal Qunu, ce verra attribuer un prix nobel de la paix en 1988 ainsi qu’une journée en son honneur, le 18 juillet. Des expositions revenants sur son parcours lui sont consacrées, dont une « De prisonnier à président » à l’hôtel de ville de Paris en juin 2013. Nelson Mandela c’est toujours considéré comme un country boy, « un enfant de la campagne », attaché a ses racines il s’était fait construire une maison dans son village natale a Qunu, plus precisement a Mvezo

démembrée, et que le poète essaie de recoller ces morceaux. : La femme devient une image du Québec sans identité à cause de la colonisation. Il ressent une réelle envie que la ville prenne vie, d’ailleurs, il fait une déclaration d’amour à sa ville natale dans laquelle il va utiliser un lexique populaire, québécismes : « j’aime/ que j’aime/ que tu t’avances » « tu es mon amour/ ma clameur mon bramement » la juxtaposition des substantifs mêle les traits et insuffle à l’évocation une légèreté échappant

l'identité noire et sa culture, d'abord face à unefrancité perçue comme oppressante et instrument de la comptabilité coloniale française (Discours sur le colonialisme, Cahier d'un retour au pays natal). Césaire l'emploie de nouveau en 1939 lors de la première publication du Cahier d'un retour au pays natal. Le concept est ensuite repris par Léopold Sédar Senghor dans ses Chants d'ombre, qui l'approfondit, opposant « la raison hellène » à l'« émotion noire » : « Nuit qui me délivre des raisons des

me chercher sur le pont arrière de se bateau pour m’amener dans ma cabine, et chaque soir, après avoir attendu une vingtaine de minutes, je retournais à l’arrière du navire pour contempler l’étendue d’eau qui me séparait de plus en plus de ma terre natale. Par n’importe quel temps, malgré le vent, la pluie ou l’orage, je restais des heures et des heures, avec l’enfant dans les bras, elle était bien la seule de nous deux à être paisible. Toutes les personnes présentes sur le navire avaient été arrachées

fracas du monde à espérer à résister Nous avons le regard brisé et nos mains sont vides Les heures les nuits les saisons et la douceur des choses voici soudain qu’elles nous échappent Mais qui nous entendra ? qui nous rendra enfin la mémoire du pays natal ? L’oubli du temps l’effacement du temps sont peut-être notre unique chance de survivre… Soleil des jours tu as calciné un à un nos rêves Depuis nous te guettons en vain dans le froid mortel de l’exil Tellement loin de la vie qui bat là-bas… Tellement