Nana Zola Caractère

parisien chez Balzac, Zola, Aragon et Céline [pic] Evelyne Pénia-Fodor French and Francophone Studies University of California, Los Angeles jeudi 24 décembre 2009 Membres du comité Laure Murat, Chair, French and Francophone Studies Eric Gans, French and Francophone Studies Andrea Loselle, French and Francophone Studies Thomas Harrison, Italian Studies L’ « espace autre » des passages : variations autour d’un objet architectural parisien chez Balzac, Zola, Aragon et Céline

devaient aussi d'accomplir des exploits extraordinaires pour mériter ce titre. Aujourd'hui, le héros de roman ne désigne plus que le personnage principal d'une histoire et ce statut peut être assumé par des personnages médiocres, voire des antihéros. Zola prétendait que « le premier homme qui passe est un héros suffisant ». Cette évolution, remettant en question la définition et la nature du héros, nous amène à nous demander si, pour intéresser le lecteur, le roman doit mettre en scène des héros accomplissant

qui dure : grâce à la légitimité dont bénéficie cet ordre social inégal. · La cohésion sociale est garantie par le roi . · Il revêt un caractère divin et suscite l’amour et le respect des sujets (caractère paternaliste). · Les nobles qui ont la passion de l’honneur se présentent comme les protecteurs du peuple. Ce sont les défenseurs des libertés par rapport aux excès du pouvoir royal. Selon Tocqueville, ils ont de « grands

capacité à épouser les formes économiques les plus actuelles, à l'intérieur de grands groupes planétaires et financiarisés, en marge des formes religieuses monumentales du passé que furent par exemple les cathédrales ou les résidences du pouvoir. Le caractère mouvant et protéiforme du luxe rend non seulement compte de la grande diversité de ses expressions, mais aussi de la possibilité d'en explorer d'autres, marginales et à l'écart des échanges – le temps, la liberté, la solitude, le silence. De surcroît

nouveau mode de vie pour lequel on développe des produits spécifiques ? Pourquoi vos meilleurs potes sont-ils tous célibataires ? Pourquoi l’êtes-vous, alors que vous êtes un être humain avide d’amour comme tout le monde ? Est-il si facile de ramener une nana à chaque fois que l’on sort en boîte ? Les donnes de l’amour et de la séduction en particulier sont complexes et mouvantes selon les époques ; les filles ont changé, et vous aussi. Elles sont restées les mêmes, et vous aussi. Elles veulent

(extrait des Misérables de Victor HUGO, 18451862) Texte n°2 : Un novice au feu (extrait de la Chartreuse de Parme, 1838, STENDHAL) Texte n°3 : Le forgeron au travail (extrait de l’Assommoir d’Emile ZOLA, 1877) Texte n°4 : Le peuple en grève/ La révolte des mineurs (extrait de Germinal, 1885, Emile ZOLA) Texte n°5 : La modification (1957, Michel BUTOR) Conclusion/Synthèse sur l’évolution du personnage de roman 2ème séquence : Voyage au bout de la nuit, Louis-Ferdinand CELINE, 1932, roman de la

l’inconnu sans doute mais aussi d’éventuels regrets d’une vie qui passe trop vite. D’ailleurs, pour les naturalistes elle symbolise également la décadence des sociétés modernes, le « modern hache » de l’écrivain Thomas Hardy, comme la jeune Nana du roman éponyme (1880) de Zola. Prostituée très tôt, elle entrainera dans sa chute tous les hommes qu’elle côtoie et attire. Là encore, l’artiste et plus largement l’homme, en tant que récepteur de l’œuvre, n’arrive pas à se détacher de la dichotomie « vierge/putain »

l'idéal font place à un certain réalisme dans le style et les sujets traités. Ce réalisme est déjà présent dans les oeuvres de Balzac et de Flaubert, mais il s'affirme plus encore avec les écrits de Maupassant, des frères Goncourt, et plus tard d'Emile Zola, le chef de file du naturalisme, une vision de la littérature censée rendre compte de la société et de ses phénomènes avec le maximum de vérité et d'objectivité. A partir de 1860, un certain libéralisme politique s'installe progressivement en France

calvaire Eviter la souffrance du premier désir est exclu. Pourquoi ce mariage provoque t-il la jalousie, la fureur ? · le narrateur est célibataire· «  un mariage en amène un autre » M. de Peyrehorade. II. La Vénus d’Ille et Lokis. Le narrateur a un caractère projectif. « Alphonse mériterait bien d’être haï ». En effet, il est grossier avec son épouse. Le narrateur est sous sa première impression qui ne s’est jamais effacée. Il est jaloux. C’est la jalousie œdipienne. Le narcissisme primitif est l’illusion

« le ronflement égal et continu produit par les coups de canon », les « décharges » choquent Fabrice (« il était surtout scandalisé ») et lui font « mal aux oreilles » : l’abondance de précisions sur le volume sonore de la bataille souligne le caractère assourdissant de la scène. Ce passage est donc marqué par un net refus d’esthétiser la guerre. Une phrase d’introduction rappelle l’idée directrice de la 1ère partie ; les axes qui commandent les deux sous-parties sont annoncés. La première phrase