Nana Manet

François Zola obtient un contrat à Aix en Provence et s’y installe. Emile Zola y fait la connaissance de Paul Cézanne, (qui restera son ami durant de longues années) à qui il doit de rencontrer des peintres tels que Monet, Renoir, Sisley, Pissarro et Manet. 1847- Mort du père d'Emile Zola qui met sa famille dans une situation financière difficile.  Emilie, sa mère entoure l’orphelin de sept ans de tout son amour, avec la grand-mère de l’enfant, Henriette Aubert. Elle a fortement influencé son œuvre

Claude. Il rencontre Gabrielle-Alexandrine Meley qu'il épousera en 1870. 1866  Emile Zola quitte Hachette et devient chroniqueur littéraire à l'Evénement. Il publie également des articles sur la peinture. Il défend avec beaucoup de conviction Manet et des peintres qu'on appellera bientôt les impressionnistes par opposition aux peintres académiques 1867 Publication de Thérese Raquin 1868  Publication de Madeleine Férat Il imagine le cycle des Rougon-Macquart qui prévoit une vingtaine de volumes

une relative misère avec son père. Dès son plus jeune âge il connut et fréquenta de nombreux artistes comme Cézanne, Pissarro, Monet et Manet puisque vers ses 18 ans il partit vivre à Paris. Echouant dans ses études, il vivait d’articles dans la presse jusqu’à ce qu’il s’inspire de Balzac et écrive « l’Assommoir » en 1877 qui fut son premier succès ainsi que « Nana » et « Germinal ». Par la suite il vécut à Médan, d’où il créa un club littéraire et fit naître le terme de naturalisme. De plus, il était

famille que les aléas de la vie a rendu modeste, il se sait vouer à un destin d’écrivain et de romancier. A l’âge de 18 ans, il quitte sa province pour rejoindre Paris et fréquentera pendant quelques années les peintres de l’époque comme Cézanne, Manet ou Renoir. Dans la première moitié des années 60, il prend un travail aux éditions Hachette et met un pied dans le monde des livres. Il se lance alors dans le journalisme littéraire, faisant la critique des ouvrages de l’époque mais aussi en publiant

ces 6 écrivains. L’attaque du moulin représentait la contribution de Zola. Le 9 aout 1878, annonce à Flaubert qu’il vient de terminer le plan de Nana. Dès sa publication, le succès de Nana fut immense. Cependant les attaques contre Zola redoubla. Ceux qui avaient applaudi L’assommoir, parce qu’on y montrait les tares des milieux ouvriers, sifflèrent Nana, qui dévoilait les faiblesses des milieux bien-pensants. Mais de quel droit lui interdirait-on de parler de ce qui existe ? En 1882 parait Pot-bouille

Hachette en tant que commis. Zola devient ensuite responsable de la publicité, il en profite pour nouer des relations avec certains écrivains et peintres. Il se construit une réputation de critique avant-gardiste en prenant la défense de peintres comme Manet. Après les Contes à Ninon, il publie en 1865 son premier roman, la Confession de Claude, avant de démissionner un an plus tard pour se consacrer à l’écriture. Il se mit alors a écrire les Rougon-Macquart, un monument de la littérature française en

publie ses premières chroniques dans la presse Il est naturalisé français. 1866 : Emile Zola quitte Hachette et devient chroniqueur littéraire à l'Evénement. Il publie également des articles sur la peinture. Il défend avec beaucoup de conviction Manet et des peintres qu'on appellera bientôt les impressionnistes par opposition aux peintres académiques 1870 : Il épouse Alexandrine Méley. Départ pour Bordeaux où il travaille à la délégation du gouvernement provisoire. 1872 : Il se lie d'amitié avec

autobiographique : "La Confession de Claude". Rencontre avec Gabrielle-Alexandrine Meley. 1870 : Se marie à Gabrielle-Alexandrine Meley. 1866 : Chroniqueur littéraire à l'Evénement. Publication d'articles sur la peinture. Il défend avec beaucoup de conviction Manet et les futurs impréssionistes. 1867 : "Thérese Raquin". 1868 : "Madeleine Férat". Il écrit dans des journaux d'opposition à l'Empire des articles de plus en plus virulents. 1870 : Premier titre des "Rougon-Macquart" : "La Fortune des Rougon". La

Claude. Il rencontre Gabrielle-Alexandre Meley qu’il épousera en 1870. En 1866, Emile Zola quitte Hachette et devient chroniqueur littéraire à l’Evènement. Il publie également des articles sur la peinture. Il défend avec beaucoup de conviction Manet et des peintres qu’on appellera bientôt les impressionnistes par opposition aux peintres académiques. En 1867, publication de Thérèse Raquin. En 1868, publication de Madeleine Férat. Il imagine le cycle des Rougon Macquart qui prévoit une vingtaine

La Conquête de Plassans, Charpentier, Paris, 1874. La Faute de l'abbé Mouret, Charpentier, Paris, 1875. Son Excellence Eugène Rougon, Charpentier, Paris, 1876. L'Assommoir, Charpentier, Paris, 1878. Une page d'amour, Charpentier, Paris, 1878. Nana, Charpentier, Paris, 1880. Pot-Bouille, Charpentier, Paris, 1882. Au Bonheur des Dames, Charpentier, Paris, 1883. La Joie de vivre, Charpentier, Paris, 1883. Germinal, Charpentier, Paris, 1885. L'Œuvre, Charpentier, Paris, 1886. La Terre, Charpentier