Naïades

les naïades quittèrent les vagues dès qu'elles entendirent les sons mélodieux. Orphée tomba amoureux de l'une d'elles, l'emmena avec lui et l'épousa. La nymphe Eurydice était aussi jolie que ses chansons et pendant quelque temps ils vécurent très heureux. Un jour, Orphée dut s'absenter et Eurydice resta seule. Dans sa solitude lui vint la nostalgie des prairies vertes et douces où murmuraient les rivières et les sources. Là-bas dans les eaux scintillantes, vivaient ses sœurs les naïades. Eurydice

concernant Orphée et Eurydice: dans la version de Virgile, Eurydice perd la vie en fuyant Aristée dans les bois. Chez Ovide, Eurydice meurt d'une morsure de serpent mais c'est en se promenant dans les bois avec les Naïades: "car tandis que la nouvelle épouse, accompagnée d'une troupe de Naïades, se promenait au milieu des herbages, elle périt". Comme points communs: Orphée descend aux enfers et obtient de récupérer sa femme grâce à la beauté, à la magie de son chant "vaincues par ses accents"

(v.2, image, spectacle, ce rêve s’était tout pour l’œil v.50) 2/ Importance de la lumière (brillai v.48, lumière, éblouissant, astre absent, nul vestige du soleil), 3/ L’image du miroir (idée de la lumière, côté rêve réalité, reflet ou original, naïades, glaces reflétaient, merveilleux), C) Le merveilleux onirique 1/ L’aspect unique de sa vision (jamais mortel n’en vit, pierres inouïs (entendu), 2/ L’aspect magique (flots magique, féérie, prodige, merveilleux lyrique), 3/ Un côté un peu

9 dec 30 oct. ? ? " Qui est Lenovo, le nouveau numéro deux mondial du PC " ? Hors sujet (Khadafi) 5 nov. 2 dec. 9 dec. 12 dec. 4 janv. 12 20 dec.11 RECHERCHE COMMERCIAUX DESEPEREMENT.. Allianz en guerre contre la Prudence Créole « Naïade est mort vive le Lux : Island RESSORT» Business model et développement des ventes,le cas Qobuz Air Madagascar choisit Airbus Le classement des banques Réunionnaises Page 1 Fiches de lecture Retour au sommaire Nom : GARCIA Titre du journal

personnage androgyne : la neuvième muse ? Entre les « sources de l'Hélicon », montagne des Muses et la cité organisée du damier se trouve la main créatrice, traversée par la route des possibles. Mais ces jeunes femmes peuvent être aussi les Naïades « Ses sœurs, les Naïades, le pleurèrent et, ayant coupé leurs cheveux, les consacrèrent à leur frère » Enfin, la figure derrière les montagnes pourrait représenter un criquet ou une sauterelle presque cachée en arrière dans les montagnes, c’est un animal qui

(place Joachim du Bellay). Sa forme est celle d'un petit temple quadrangulaire, percé de 4 arcades dont les axes se croisent. Chaque face a un fronton triangulaire surmonté d'un attique, et le monument se termine par une coupole hémisphérique. Une Naïade, ,nymphe qui, dans la mythologie grecque, siégeait dans les rivières, en bas-relief occupe les entre-colonnements, et au dessus se trouvent 4 bas-reliefs relatifs aux divinités des fontaines. Au milieu du temple, une vasque sur un piédestal lance

réfère au fleuve sacré de l'Inde, qu'il démultiplie. L'aspect merveilleux du lieu est aussi mis en avant par la démesure soulignée par des termes hyperboliques. Ainsi, le poète parle de « palais infini », « d'immenses glaces », de « gigantesques naïades », soit les immenses statues représentant des divinités aquatiques, ou encore de « nappes d'eau s'épanch[ant] […]/ Pendant des millions de lieues » ; ici notons que la diérèse qui allonge le nom « millions » contribue à dilater encore davantage l'espace

raconte où et comment il rencontrera son amour. 1/ Version des métamorphoses d’Ovide : Le jour du mariage Hyménée le dieu qui protège les mariages arrive pour annoncer la nouvelle de la mort d’Eurydice. Lorsqu’elle marchait accompagnée d’une troupe de naïade elle se fit mordre par un serpent au venin mortel. Orphée pleure alors pendant des jours jusqu’à ce qu’il prenne la décision de descendre vers le Styx par la porte du Ténare. Il aborde Perséphone et se mets à chanter accompagné de sa lyre « Ô divinités

bassins », « cascades » (vers 15), « cataractes » (vers 17), «arbres » (vers 21), « étangs » (vers 22), « naïades » (vers 23), « nappes d’eau » (vers 25), etc. qui soulignent parfaitement cet aspect naturel et aquatique que le poète modèle dans son tableau. Afin de justifier la perfection de son paysage l’auteur va parler de « naïades » (vers 23) à l’aide d’une métaphore « Où de gigantesques naïades » (vers 23) d’abord au sens de plante, de végétal puis « comme des femmes se miraient » (vers 24), soulignant

cascades Tombant dans l'or mat ou bruni; Et des cataractes pesantes, Comme des rideaux de cristal Se suspendaient, éblouissantes, A des murailles de métal. Non d'arbres, mais de colonnades Les étangs dormants s'entouraient Où de gigantesques naïades, Comme des femmes, se miraient. Des nappes d'eau s'épanchaient, bleues, Entre des quais roses et verts, Pendant des millions de lieues, Vers les confins de l'univers: C'étaient des pierres inouïes Et des flots magiques, c'étaient D'immenses