N échange T On Que Par Intérêt

La société et les échanges Un État, c'est un ensemble d'institutions politiques régissant la vie des citoyens. Mais qu'est-ce que la société ? Si la société n'est pas l'État, il serait tentant de la réduire à une simple communauté d'individus échangeant des services et des biens. La société aurait par conséquent une fonction avant tout utilitaire : regrouper les forces des individus, diviser et spécialiser le travail, régir les échanges et organiser le commerce. On peut douter cependant que la société

Européenne. Vous analyserez les difficultés de coordination des politiques économiques de l’Europe au coeur de la crise. Vous montrerez en quoi la crise a mis en évidence les difficultés auxquelles est confrontées l’Union Européenne. Vous montrerez les intérêts et les limites de la construction européenne. Vous montrerez comment l’intégration économique au sein de l’Europe a-t-elle mené à une intégration monétaire. ◊ Mobilisation de connaissances Comment l’UEM renforce-t-elle les interdépendances entre

la spécialisation risquerait de créer un avantage comparatif au lieu d’être une conséquence. 4) David Ricardo raisonne le cadre d'un commerce interbranche : L’échange s’effectue échange entre deux pays de spécialisation et éventuellement de développement différents (Angleterre et Portugal). Les produits échangés sont de nature différente (drap contre vin). Ce commerce correspond à la division internationale du travail traditionnelle. 5) Pour ces deux productions, le pays domestique est moins

des termes de l’échange due aux chocs pétroliers. La situation s’inverse à partir de 1982 ; la hausse du chômage (qui freine la croissance du salaire réel) et l’amélioration des termes de l’échange liée au contrechoc pétrolier conduisent à une augmentation de la part des profits. À ces déséquilibres macroéconomiques, s’ajoutent, selon les auteurs, trois facteurs qui contribuent à augmenter ou à maintenir une part élevée de la rémunération du capital : la hausse des taux d’intérêt dans les années

social. Cela se caractérise par l’essor des échanges qui transforme le monde vers un « village planétaire ». Ce la débouche sur une nouvelle organisation du monde marquée par un paradoxe : interdépendance/solidarité par facteurs économique, culturels et en même temps hiérarchisation qui exclut. I- Un monde en réseau A. Des espaces mis en relation par des flux croissants 1. Les flux internationaux de marchandises → Croissance considérables des échanges depuis fin Seconde Guerre mondiale. (x12)

NIVERSITÉ J EAN M OULIN LYON III Année 2010-2011 Cours de Bertrand Fayolle É CONOMIE INTERNATIONALE Sommaire 1. Introduction – panorama des échanges internationaux 2. Les avantages comparatifs 3. Les dotations factorielles 4. Les nouvelles théories de l’échange international 5. L’analyse économique du protectionnisme 6. L’organisation des échanges mondiaux Bibliographie —— "Découverte de l’économie – cahiers français n˚347 " La documentation française, 2008 —— "Mondialisation et commerce

biens étaient évalués en nature. (nombre d'objets). Plus on possédait de choses, plus on était riche selon lui.) de la Drématistique (production des richesses qui concernent les biens évalués en argent dont il faut se méfier et condamner le prêt à intérêt). 2) Aujourd'hui, la discipline économique s’intéresse peu à l'économie domestique et porte d'avantage sur le cadre dans lequel se déroule les activités d'échanges et de production au niveau d'une nation.Ce déplacement de l'économie de la famille

Les échanges extérieurs Section1 : les fondements théoriques : I- libre échange : A-définition : C’est une doctrine libérale qui préconise la liberté du commerce entre les nations et la suppression de toutes les entraves aux échanges internationaux. Le libre échange trouve son origine dans la théorie classique et néoclassique préconisant le « laissez faire, laissez passer ». B-les justifications théoriques : 1-les classiques : a-la théorie de l’avantage absolu d’Adam

son seul intérêt. Adam Smith exprime cela de façon très claire dans « …de la richesse des nations » : « L’homme a presque continuellement besoin du secours de ses semblables, et c’est en vain qu’il l’attendrait de leur seule bienveillance » (Flammarion 1991, page 82). Un peu plus loin, Smith confirme ce jugement : « Ce n’est pas de la bienveillance du boucher, du marchand de bière ou du boulanger que nous attendons notre dîner, mais bien du soin qu’ils apportent à leurs intérêts. Nous ne

Individualisme des agents tend vers libéralisme économique. Main invisible (A.Smith) = En voulant satisfaire son intérêt personnel, l’individu satisfait par le biais d’une main invisible (le marché) l’intérêt collectif. = socialisation du marché. Ex : Le boucher vend la viande, non pas dans la bienveillance de nourrir les hommes, mais ne pense qu’a son propre gain. La satisfaction des intérêts personnels se fait donc naturellement, L’état ne doit pas favoriser l’intérêt général. Son rôle : Etat