Métaphore Sartre

Fidèle au carpe diem, Ronsard considère que le temps passe trop vite et que l'homme doit profiter le plus possible des avantages de la jeunesse avant que la vieillesse ne le rattrape. C'est ce qu'il tente de faire comprendre à Cassandre dans la métaphore suivante : " Cueillez, cueillez votre jeunesse " (vers 16). En fusionnant l'idée de cueillir des fleurs à celle de profiter de sa jeunesse, l'auteur crée une image à la fois révélatrice et réjouissante qui traduit directement le carpe diem (qui veut

naturalisme et la rêverie poétique. I- La chute des feuilles et la pluie Le poète commence à la fin de la saison de l’automne qui n’est plus qu’une ‘’tisane froide’’. On est au début du poème dans un processus déjà amorcé. La saison est comparée par une métaphore, celle de la tisane à une préparation culinaire ou médicamenteuse. Notons ici, que cette tisane est froide, en cela, conforme à la température de saison. Le poète utilise un comparant humain. On a ensuite une explication de cette comparaison avec

conduite à risque. Un temps verbal : le futur antérieur. - Cet automobiliste aura eu une conduite à risque. Un vocabulaire péjoratif ou mélioratif. - Cet automobiliste a une conduite condamnable. Des figures de style : analogies (comparaisons, métaphores), périphrases, antithèses, euphémismes… - Cet automobiliste conduit à tombeau ouvert. Des verbes modaux : falloir, devoir, pouvoir. - Cet automobiliste doit avoir une conduite à risque. - Il se peut que cet automobiliste ait une conduite à

profit des fenêtres : « est toujours moins intéressant que… ». Dernière antithèse récapitulative : trou noir ou lumineux. • Un tableau : on pense au clair–obscur baroque… • Une scène de théâtre : la distance de la salle à la scène grandie par la métaphore « des vagues de toits » ; la nuit de la salle/l’effet lumineux de la scène ; la présence d’un personnage agissant… et souffrant – dimension pathétique du spectacle… • Formules impersonnelles de départ : démonstratif Celui qui, sujets indéfinis

inconscient ) libérés du contrôle de la raison et en lutte contre les valeurs reçues. Sous toutes le formes possibles par des poèmes, l'écriture automatique, les jeux surréalistes, les collages, calligrammes, associations d'idées ou d'images, et métaphores chocs. II – Thèmes : L'amour fou et la femme. La révolte. La magie des villes et les recontres insolites. L'inconscient, le rêve, l'imagination. III – Originalités : Expression de l'inconscient, rôle du hasard

graissée ». Les rôles sont donc inversés et bientôt , on ne distingue plus l'homme de la machine. Mes-Bottes rêve de fusionner avec elle. Il voudrait « qu'on lui soud[e] le bout du serpentin entre les dents ». L'acool est appelé « vitriol » cette métaphore suggère que cette boisson est un poison. Dans ce passage, par une présentation picturale à la fois naturaliste et fantastique, Zola montre bien la fatalité qui s'abat sur les personnes dans la misère. Le choix de l'alambic comme figure centrale

| |Le champ lexical | |Les métaphores  | |L’organisation syntaxique 

‘mers’, ‘navire’, ‘avirons’, etc. Dans le poème, Baudelaire compare le poète à l’albatros, oiseau des mers par des métaphores propres à l’albatros, il nous montre un poète exclu et incompris de la société comme l’albatros l’est avec les hommes de mer. Cette comparaison est présente tout au long du poème : ‘Le poète est semblable …’, ‘Ses ailes de géant (parlant du poète via une métaphore liée à l’albatros’ … Les trois premières strophes du poème concernent l'albatros et la dernière s’applique au

cabinet l 18, fiacre l41, séjour l 57 | Champs lexical de l’aristocratie | Hôtel particulier, le décor symbolise l’arrivée de julien dans un monde nouveau | Séjour splendide suite de grand salon, magnifique pendule dorée l 43 Superbe appartement | Métaphore filé du luxe, de l’apparat | Une description hyperbolique des lieux qui indiquent au lecteur sur quoi repose l’émerveillement de Julien ce qui l’attire du luxe, de la richesse | 2) allusion inquiétante L 7 : se moque de vousL 11 : ils vont essayer

La Curée : Le cadre spatio-temporelle : Le Second Empire Le 2 décembre 1851, Louis-Napoléon Bonaparte s’empare du pouvoir par un coup d’Etat. Prenant le nom de Napoléon III, il instaure le Second Empire. Comme l’a relaté Zola dans le premier volume des Rougon-Macquart, l’armée prend place dans les rues et en expulse le peuple, à Paris comme en province. Les libertés disparaissent et l’idéal républicain s’effondre. Le Second Empire est donc en place quand commence La Curée. L’Empereur apparaît