Métaphore Filée

L’imagination même du poète, sa personnalité, adhère et se personnifie cependant, « en mon jardin », en une juste récolte des émotions, de la traversée de la vie, balayé par les pluies et les tempêtes. Mais tandis que le quatrain joue sur la métaphore filée, le poème constate et inspecte : il reste « bien peu de fruits ». Cette charge d’accumulation métaphorique, en fin de jeunesse, tirent vers le « bien peu », le presque rien, à l’image d’un « orage », un « tonnerre », une « pluie » dans un « jardin

symboliste de la fin du XIXème siècle, est connu pour son recueil de poèmes les Fleurs du Mal. Six poèmes fut censurés pour immoralité. Le titre révèle déjà les projets poétiques de Baudelaire : fondé sur un oxymore, Baudelaire y associe les Fleurs, métaphore de la beauté, au mal. Baudelaire lie l’idéal poétique au mal-être et pense qu’il faut extraire le mal de la poésie pour en cultiver quelque chose de bien. Ainsi Baudelaire est partagé dans ce recueil, entre le spleen et l’idéal, le gouffre de la

CELEBRATION A L’AMITIE ? I- La métaphore filée du bateau Brassens file la métaphore du bateau à la première strophe avec le champ lexical du bateau. Le bateau a pour nom le titre du texte : « les copains d’abord » . le bateau renvoie au copains et inversement. Le comparant : le bateau, le comparé est signalé dans la deuxième strophe. Ce bateau est donc la métaphore de l’amitié, l’esprit de groupe, les valeurs d’entraide et de solidarité sont parfaitement adaptés à la métaphore du bateau. Navigation qui

caractérise par une métaphore du subconscient «vaisseau» (v.10) et par une métaphore des troubles qui lui sont lié «bon vent», «tempêtes» et «convulsions» (v.11). Chez ces deux auteurs, le rôle de la musique est celui d'une catharsis. Dans Spleen et idéal, Charles Baudelaire voit la musique comme un moyen d'évasion. Ce poème se construit par le biais d'une métaphore filée comparant la musique à la mer. L'auteur utilise le champs lexical du domaine maritime pour développer sa métaphore «mer» (v.1)

I. le cadre figuré de la bataille Dans cet extrait de roman, on peut observer que Zola condamne la spéculation notamment grâce à l'allégorie de la guerre dont il nous fais part. Ici, en effet, nous pouvons observer que l'auteur créé une vaste métaphore filée du combat avec la présence notamment du champs lexical de la guerre comme par exemple, L.5 "chaque jour ammena sa bataille" ou encore L.14 "En chef d'armée" et également L.16 "sacrifiant ses derniers soldats". L'utilisation de cet effet est surprenant

étudier la tirade de Créon, roi de Thèbes. Nous allons voir qu’une image forte est ici peinte: Dans un premier temps, nous étudierons la métaphore filée, puis comment celle-ci représente le rôle du monarque. Ensuite, nous présenterons le personnage de Créon: un personnage engagé dans son rôle, malgré son dilemme. Le roi de Thèbes énonce une longue métaphore filée: Il est le capitaine d’un bateau qui coule lors de la tempête, tandis que son équipage se sauve. « Cela prend l’eau de toutes parts, c’est

divisions temporelles : "la nuit", "le jour", "l’aurore", "le soir", "les heures", "l’année", "moments", "l’éternité" et présence d'adjectifs significatifs : "l’heure fugitive", "nuit éternelle". On observe la métaphore du temps du temps "l’océan des âges" (21, 35-36) assimilé à l’eau → métaphore filée du temps qui coule. L’opposition des temps verbaux (passé / présent) : le passé évoque le souvenir, l’expérience vécue (strophes 3 et 4). L' imparfait insiste sur la durée des actions et le passé simple

l’anaphore : « Tout est d’airain, tout est de fer ».(v.10) b- Un monde inhumain - Une métaphore filée dénonce par ailleurs l’horreur de ce travail : la machine est assimilée à un monstre effrayant « Accroupis sous les dents d'une machine sombre, Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l'ombre » La métaphore du monstre se poursuit v.17 (« souffle étouffant» qui évoque une sorte de dragon) Ccl : La métaphore souligne ainsi l’aspect inhumain de ce travail. c- Les conséquences désastreuses

Cette description va du cadre général du jardin puis a un plus précis qui est la description des arbres. 2) Les Arbres On trouve une métaphore filée qui compare des arbres avec des oiseaux “les petits arbres y balançaient les plumeaux ennuyés de leurs têtes, mais la tortue infligée, dans certaines plates-bandes, aux arbres fruitiers l’arrêtait.”; cette métaphore filée pourrait être interprète d’une manière ou le narrateur mélancolique voit les arbres qu’on des formes pas traditionnels comme des oiseux

Charogne pas entière  évocation de la chienne qui lâche un morceau Opposition entre « beau matin » et « charogne » a. Une description effroyable Adjectifs suscitants l’effroi  « horrible » « infâme » Registre épique  hyperboles ; images guerrière (métaphore) Verbes de mouvements impression de vie pour la charogne Apparition de musique  amplifie l’horreur de la scène Le terme « étrange »  vision de la charogne en rêve I. Une déclaration d’amour peu conventionnelle a. Le registre lyrique 1ère personne