Métaphore Dans Midi

dans les année 90 où la publicité et le cinéma en font une mode. 3 Observation Studio 1 : ART CORPUS 4 *Observation autorisé Metro : Réaumur-Sébastopol +5 TATOUERS Observation + interviews : environ 8hs. (Mardi après-midi, jeudi soir, samedi après-midi et soir).        La pièce fait environ 21m2. L’ambiance est plutôt décontractée. La décoration est assez chargée. Les murs sont peints en noir et il y a beaucoup de tableau et de cadre avec des dessins ou

« nègre » n'étant pas une question de couleur de peau pour Maunick qui se dit métis d'état civil. Sa poésie est « vouée à dire la complexité du sang, les mélanges de la race, les échanges de l'île et de la mer (tout ce que peut suggérer la belle métaphore des manèges de la mer) ». « La fragmentation de cette poésie tient [...] à sa volonté de lyrisme elliptique », un lyrisme sans complaisance pour creuser l'essentiel, au cœur de sa nécessité d'écrire. Selon Joubert, l'exil chez Maunick « n'est pas

faire des noms) : « le dormir, le manger et le boire» les place sur un pied d’égalité qui montre pr le financier que tt peu s’acheter -> confusion des valeurs. Attitude moqueuse et caractère hautin v.30 : « riant de sa naïveté ». Métaphore v.31 « je vous veux mettre aujourd’hui sur le trône » : pr le financier l’argent est source de pouvoir. 2 impératifs v.32 « prenez et regardez » : qui montrent la soumission du savetier. Façon brutale de s’adresser au Savetier « en son

par metaphore a des domaines non spatiaux pour structurer ´ ´ ´ ` et conceptualiser ceux-ci. On utilise ainsi des expressions et des concepts spatiaux pour parler du temps. Or, d’un cote, le suedois se sert moins que le francais de ˆ ´ ´ ¸ metaphores temporelles comportant l’equivalent du verbe avancer (ainsi la journee ´ ´ ´ n’avancait plus est traduit par dagen hade inte forandrats ‘la journee n’avait pas ¸ ¨ ¨ ´ change’, CA, p. 194) et, de l’autre, lorsqu’il y a metaphore, le

l'écorce moussue, Sinistre et fatigué, revient à pas égaux. Il va, frottant ses reins musculeux qu'il bossue ; Et, du mufle béant par la soif alourdi, Un souffle rauque et bref, d'une brusque secousse, Trouble les grands lézards, chauds des feux de midi, Dont la fuite étincelle à travers l'herbe rousse. En un creux du bois sombre interdit au soleil Il s'affaisse, allongé sur quelque roche plate ; D'un large coup de langue il se lustre la patte ; Il cligne ses yeux d'or hébétés de sommeil ; Et, dans

de texte consacrée à la description du décor surpasse de beaucoup celle consacrée à Rosanette. Cette structure se retrouve dans la deuxième partie de l’extrait, avec toutefois certaines différences, comme nous allons le voir par la suite. Un après-midi à Paris La deuxième partie de l’extrait présente Frédéric et Rosanette, se promenant dans les rues de Paris, puis entrant dans une pâtisserie. Ce passage peut à mon sens prendre une valeur de tableau, tout comme la première partie de l’extrait. En

n'est qu'un outil, pour Buzzati, il l'utilise pour décrire le réel qui lui est fantastique. Extrait « Monsieur Stefano Merizzi, cinquante-quatre ans, directeur d'une entreprise pétrochimique, jouait au golf sur le terrain de Morisenda un après-midi d'été avec son ami Giacomo, sa fille Lucia et le compte Gianangelo Giunchi qui allait devenir son gendre. C'était une journée merveilleuse. Merezzi était un homme corpulent, lourd et peu fait pour les exercices physiques, mais il pratiquait le golf

sueur de ton travail Le travail de l’esclavage L’esclavage de tes enfants Afrique dis-moi Afrique Est-ce donc toi ce dos qui se courbe Et se couche sur le poids de l’humilité Ce dos tremblant à zébrures rouges Qui dit oui au fouet sur les routes de midi Alors gravement une voix me répondit Fils impétueux1 cet arbre robuste et jeune Cet arbre là-bas Splendidement seul au milieu de fleurs blanches et fanées C’est l’Afrique, ton Afrique qui repousse Qui repousse patiemment obstinément Et dont les fruits

qui éveille la nature “J’ai embrassé l’aube d’été.”→personnification, octosyllabe (comme le dernier vers→annonce surprenante car impossible). “Rien ne bougeait encore au front des palais.”→récit en analepse (retour en arrière); lexique mélioratif; métaphore pour maison→immobilité et impression de merveilleux. “L’eau était morte.”→calme, étrange et silencieux. “quittaient“→imparfaits→il fait encore nuit→impression de durée. “J’ai marché→Verbe d’action du “je” “les pierreries regardèrent“→personnification

avec brio quelques affaires en suspens depuis des semaines et constata que plusieurs employées se retournaient sur son passage dans les corridors, sans compter que l'une d'elles lui avait adressé quelques mots. Il quitta le bureau au milieu de l'après-midi pour aller dans un pub voisin où il commanda un Canada Dry, le dégustant avec la mâle assurance du buveur de whisky certain de ne pas dévier dans l'ivresse. Et rien qu'en jetant un vague regard derrière lui, il repéra immédiatement une jeune femme